1 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
1 maniaque. Le buisson ardent quitté par le feu se dessèche . Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’i
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
2 ans un terrain que l’instituteur a méthodiquement desséché .
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
3 ans un terrain que l’instituteur a méthodiquement desséché .  
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
4 maniaque. Le buisson ardent quitté par le feu se dessèche . Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’i
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
5 maniaque. Le buisson ardent quitté par le feu se dessèche . Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’i
6 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
6 un et l’autre adversaire — l’athée et l’orthodoxe desséché — M. Monod recourt au fait de son expérience intérieure. Après avoir
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 uilibre indifférent, entre deux autonomies qui se dessèchent . Or l’origine du relâchement est dans la pensée même. C’est elle d’ab
8 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 uilibre indifférent, entre deux autonomies qui se dessèchent . Or l’origine du relâchement est dans la pensée même : c’est elle d’a
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
9 de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché . Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’horizon. Et sur le petit toit
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
10 de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché . Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’horizon. Et sur le petit toit
11 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
11 qui l’ignore et croit pouvoir le ridiculiser, se dessèche et s’énerve bien vite. L’esprit conçoit en cruauté active les souffra
12 s qui atteignirent cette connaissance audacieuse, desséchée , exacte, et plus proche qu’on ne pourrait croire de la mystique négat
13 s fatales, et vos femmes adultères, et vos femmes desséchées de vertu, nous ont gâté la joie de vivre. Nous nous vengerons de vos
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
14 qui l’ignore et croit pouvoir le ridiculiser, se dessèche et s’énerve bien vite. L’esprit conçoit en cruauté active les souffra
15 s qui atteignirent cette connaissance audacieuse, desséchée , exacte, et plus proche qu’on ne pourrait croire de la mystique négat
16 s fatales, et vos femmes adultères, et vos femmes desséchées de vertu, nous ont gâté la joie de vivre. Nous nous vengerons de vos
13 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
17 qui l’ignore et croit pouvoir le ridiculiser, se dessèche et s’énerve bien vite. L’esprit conçoit en cruauté active les souffra
18 s qui atteignirent cette connaissance audacieuse, desséchée , exacte, et plus proche qu’on ne pourrait croire de la mystique négat
19 s fatales, et vos femmes adultères, et vos femmes desséchées de vertu, nous ont gâté la joie de vivre. Nous nous vengerons de vos
14 1946, Journal des deux mondes. Virginie
20 ut cet or ? Est-ce que l’or n’a pas le pouvoir de dessécher tout être humain, ou animal, ou végétal, qui s’en approche trop longt
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
21 maniaque. Le buisson ardent quitté par le feu se dessèche . Ce qui fut Hölderlin signe maintenant Scardanelli des quatrains qu’i
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
22 de cyprès, c’est la seule couleur vive du paysage desséché . Ciel gris mouvant, une barre jaune à l’horizon. Et sur le petit toit
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
23 ut cet or ? Est-ce que l’or n’a pas le pouvoir de dessécher tout être humain, ou animal, ou végétal, qui s’en approche trop longt
18 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
24 ville une église, une école, un hôpital Il fait dessécher les marais du pays Il établit des foires et des marchés Il nourri
19 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
25 fruits. »16 (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait  ; plus du tout, son feuillage et sa tige embelliraient, mais aux dépe
20 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
26 a ville une église, une école, un hôpital Il fait dessécher les marais du pays Il établit des foires et des marchés Il nourrit le
21 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
27 fruits41 » (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait  ; plus du tout, son feuillage et sa tige embelliraient, mais aux dépe
22 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
28 ue cette proie, tendre et pleine de sève, se soit desséchée , je veux belle encore, nourrir les tigres. Méprisable Europe ! ton pè
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
29 ue cette proie, tendre et pleine de sève, se soit desséchée , je veux belle encore nourrir les tigres. Méprisable Europe ! ton pèr
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
30 on des formes venues du dehors, qui peuvent ou se dessécher par déracinement ou, à la longue, le serrer et blesser ses membres et
25 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
31 veut se lever, j’arrose d’eau fraîche ses lèvres desséchées et sa langue durcie ; saisissant une poignée de charpie, je la trempe