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e, voilà l’occasion ou jamais de répéter un vieux
dicton
: l’abus n’enlève pas l’usage. Nous nous sommes expliqués dès le débu
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à croire que le diable en est ravi. Car selon le
dicton
médiéval et renaissant, « le diable est bon théologien ». Notre incul
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nt, ce Mr. Time ? Ou bien la réciproque du fameux
dicton
n’est-elle pas vraie ? Assurément, elle ne l’est pas. L’argent n’est
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à croire que le diable en est ravi. Car selon le
dicton
médiéval et renaissant, « le diable est bon théologien ». Notre incul
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nt, ce Mr. Time ? Ou bien la réciproque du fameux
dicton
n’est-elle pas vraie ? Assurément, elle ne l’est pas. L’argent n’est
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ges. « Le ciel est la limite », disait alors leur
dicton
favori. La terre avait été durement conquise. Le ciel fut conquis en
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n récit de Jean-Paul. De même nous appliquons les
dictons
et proverbes aux occasions variées de la vie quotidienne, identifiées
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ges. « Le ciel est la limite », disait alors leur
dicton
favori. La terre avait été durement conquise. Le ciel fut conquis en
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curés barbus. Il n’attend rien qui ressemble aux
dictons
de l’occulte, attendant cela seulement qui ne ressemble à rien mais q
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t à leur tradition, aux coutumes ancestrales, aux
dictons
: signes enregistrés de l’inconscient collectif, et tenant lieu de ra
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deux concepts s’exprime sans ambage dans le sage
dicton
français : « Mon verre n’est pas grand, mais je bois dans mon verre »
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d nombre d’expressions composées, de proverbes et
dictons
populaires, issus de la Bible, transmis par des liturgies, et qui for
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ce glorieux « service de France » que remonte le
dicton
: « Point d’argent, point de Suisses. » Il apparaît au temps de la Fr
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la dialectique propre. On y retrouve le rythme du
dicton
« un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout », qui rappelle que la
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préparez. Dans la tradition antique, je trouve ce
dicton
latin : Utinam vates falsus sim (Plaise au Ciel que je sois faux