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it d’une malédiction, pensait-il, il l’avait donc
dilapidé
, surtout en dons. Sa vie était très simple. Il travaillait une grande
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it d’une malédiction, pensait-il. Il l’avait donc
dilapidée
sans compter, mais surtout en dons généreux. À 27 ans, il terminait s
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ait d’une malédiction pensait-il, il l’avait donc
dilapidé
, surtout en dons. Sa vie était très simple. Il travaillait une grande
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oit se souvenir que tout grand héritier ignore ou
dilapide
les objets de son héritage, et n’hérite vraiment que l’intelligence e
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ge… mais toutes les belles régions de France sont
dilapidées
. Le problème n’est pas particulier à Ferney-Voltaire. Ce qui me frapp
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notre héritage, celle qu’il nous est possible de
dilapider
. Car ces vertus ne contraignent pas l’individu comme le fait un progr
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s voulu calculer la dépense. Nous avons naïvement
dilapidé
, dans l’euphorie du progrès matériel, un capital donné par la nature,
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olue et les moyens de refaire son immense fortune
dilapidée
, tout en « réservant pour Dieu son âme et sa vie ». Pareille « niaise