1
ée consacrée à la fédération vint interrompre les
discussions
philosophiques provoquées par ces deux travaux. Avec la conférence de
2
ballon ou bien l’on poursuit hors du village une
discussion
toujours trop courte. Et les repas réunissent tout le monde dans la g
3
e plus important, on eut l’impression, durant les
discussions
entre de Saussure et Bertrand, que les orateurs exprimaient tour à to
4
toute sa souplesse pour maintenir l’équilibre des
discussions
et de sa propre personne. Et il y eut encore un dîner très démocratiq
5
culière de s’essayer ? Je ne puis amorcer ici une
discussion
de ces thèses subtiles, d’autant que la position de l’auteur dans cet
6
. Et puis surtout, l’heure est venue de clore des
discussions
énervantes où s’épuise vainement une dialectique dont l’objet fuit sa
7
t objectif, est aussi, mais à coups de faits, une
discussion
d’idées. Il est surtout la description d’une angoisse que le nihilism
8
parlait au nom d’une secte orientale. Aussitôt la
discussion
de reprendre, et l’on parla défense de l’Occident. L’ange s’enfuit pa
9
on bock, le Citoyen conscient et organisé pour la
discussion
. Il retrousse ses manches. Il s’apprête à cracher sur ce que je dirai
10
foi pas même consciente, cette lâcheté devant la
discussion
précise de leurs principes par quoi se signalent bien souvent nos tol
11
tains, en effet, tirent toute leur force dans les
discussions
de la tranquillité avec laquelle ils brouillent les faits et les prin
12
on bock, le Citoyen conscient et organisé pour la
discussion
. Il retrousse ses manches. Il s’apprête à cracher sur ce que je dirai
13
foi pas même consciente, cette lâcheté devant la
discussion
précise de leurs principes par quoi se signalent bien souvent nos tol
14
tains, en effet, tirent toute leur force dans les
discussions
de la tranquillité avec laquelle ils brouillent les faits et les prin
15
incités à juger, induits en tentation, induits en
discussion
. Je sais bien que tout changement de confession ramène les mêmes argu
16
plutôt le secret d’une communion que rompent les
discussions
, et qu’en tant d’autres pages de cette belle œuvre, d’une simple indi
17
iji Gakuin, près de Tokyo, dans une atmosphère de
discussions
philosophiques fort curieuse, où les doctrines bouddhistes, chrétienn
18
lles qu’on reçoit de sa famille. À la suite d’une
discussion
vive avec des étudiants chrétiens au sujet d’un de leurs camarades, E
19
moins cohérent. Ce serait alimenter de nouvelles
discussions
, exciter des oppositions stériles, purement intellectuelles, forcer c
20
que l’attitude du pessimisme actif condamne sans
discussion
et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre
21
par l’effet d’un snobisme inattendu, la mode des
discussions
éthiques, d’ailleurs purement intellectuelles la plupart du temps, et
22
! » En réalité, ils nous demandent des thèmes de
discussion
, c’est-à-dire des prétextes à différer toute action « pratique ». Ce
23
. La première note indique : « Introduction à une
discussion
organisée par la fédération au Foyer international, le 15 janvier 193
24
istes bourgeois savaient la détester. (Dix ans de
discussions
, chez les philosophes de Moscou, ont abouti, en 1932, à des définitio
25
ement irritant, et qui fausse dès l’origine toute
discussion
honnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et so
26
II.Personne ou individu ? (D’après une
discussion
) Première question. — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon
27
est bien lui que nous rencontrons dans toutes nos
discussions
avec les militants du Parti19, c’est lui qui fait trembler les bons b
28
que l’attitude du pessimisme actif condamne sans
discussion
et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre
29
é, du « genre humain » ? 39. Introduction à une
discussion
organisée par la Fédération des étudiants chrétiens au Foyer internat
30
ement irritant, et qui fausse dès l’origine toute
discussion
honnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et so
31
sur la journée de huit heures, etc.) qui vient en
discussion
dans l’hémicycle se trouvera forcément soumis aux petites métamorphos
32
IIPersonne ou individu ? (d’après une
discussion
) Première question. — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon
33
est bien lui que nous rencontrons dans toutes nos
discussions
avec les militants du Parti14, c’est lui qui fait trembler les bons b
34
que l’attitude du pessimisme actif condamne sans
discussion
et sans appel. Et c’est peut-être vis-à-vis d’eux seulement que notre
35
sé du « genre humain » ? 32. Introduction à une
discussion
organisée par la Fédération des étudiants chrétiens au Foyer internat
36
ement irritant, et qui fausse dès l’origine toute
discussion
honnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et so
37
es intérêts immédiats du parti le commandent sans
discussion
. C’est l’homme qui délègue à la majorité le souci de ses décisions. E
38
tre cité et la nation des clercs. C’est mettre en
discussion
l’un des rapports fondamentaux qui définissent une société. C’est rec
39
où ce qu’on nomme l’esprit ne s’impose plus sans
discussion
. Lorsque l’État vient au secours d’une religion, c’est qu’elle est mo
40
en droit — et quels doivent être ses moyens ? Les
discussions
seront introduites chaque matin par l’exposé des principales tendance
41
a foi de l’auteur et utilisent la même méthode de
discussion
. Le livre, en soi, est assez décevant, malgré de réelles qualités ; m
42
e du complot !) Il faut éviter à tout prix qu’une
discussion
publique prolongée permette aux opposants de se reconnaître et de se
43
nt sa réunion annuelle inscrit à son programme de
discussion
: “la gymnastique est de la culture”, voilà où nous en sommes. La maj
44
lercs et le siècle entendaient et vénéraient sans
discussion
possible. Ici, les luttes mêmes qu’elle fit naître témoignent de sa p
45
nt sa réunion annuelle inscrit à son programme de
discussion
: “la gymnastique est de la culture”, voilà où nous en sommes. La maj
46
lercs et le siècle entendaient et vénéraient sans
discussion
possible. Ici, les luttes mêmes qu’elle fit naître témoignent de sa p
47
un « donné » inorganique ? Là-dessus s’engage une
discussion
sur le réel. S’il est « donné » ou s’il est seulement « pensé », — le
48
ce que l’on pourrait déduire, dans le fait, d’une
discussion
raisonnable, c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel ouvrier. On penser
49
issait de « l’histoire de notre département ». La
discussion
n’a vraiment démarré que lorsqu’on s’est mis à parler d’autre chose q
50
es journaux, des traditions et anecdotes locales.
Discussion
n’est d’ailleurs pas le mot : c’étaient surtout des questions, des af
51
avec tous les manuels, qu’elle est une langue de
discussion
, parce que toujours elle vise à la formule décisive, et ne s’accorde
52
et même très bien. Je me rappelle par exemple une
discussion
sur l’incroyance. L’orateur avait dit que la différence entre les chr
53
e l’entretien était le problème de l’autorité. La
discussion
dévia bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de partis pris, d’erreu
54
end ! Trois fois par jour, le bruit d’effroyables
discussions
nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et
55
c’est s’interdire de rien comprendre à la grande
discussion
millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a
56
le genre. Mais on s’aperçoit, sans tarder, que la
discussion
avec Érasme et sa Diatribe (souvent personnifiée) n’est, en fait, que
57
riques de cette opposition fondamentale, de cette
discussion
séculaire, de cette grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe
58
end ! Trois fois par jour, le bruit d’effroyables
discussions
nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et
59
té par la perte de cette belle-mère (sauf que les
discussions
avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à expri
60
ois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la
discussion
annoncée après la conférence d’A… me fera modifier ce jugement. J’en
61
s contradictions dans la Bible ». Suit une petite
discussion
tout à fait confuse et sans aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas
62
air intelligent. Je l’approuve et m’étonne que la
discussion
n’ait pas été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qu
63
ses astuces, qui n’est pas exactement celui des «
discussions
» qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui
64
mes critiques ci-dessus consignées, et mettre en
discussion
mes projets de réforme. Mais je sais bien ce qui m’arrêterait dès les
65
le temps, il n’est pas impossible de pousser la «
discussion
» sur un plan supérieur, d’aborder par exemple la question du capital
66
s grandes que notre statut se trouvent remises en
discussion
, bouleversées, brutalement niées. De ce double malentendu, il faudra
67
ois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la
discussion
annoncée après la conférence d’A. me fera modifier ce jugement. J’en
68
s contradictions dans la Bible ». Suit une petite
discussion
tout à fait confuse et sans aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas
69
air intelligent. Je l’approuve et m’étonne que la
discussion
n’ait pas été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qu
70
insistance impitoyable. Alors on se rabat sur des
discussions
politiques, ou sur la philanthropie. On parle du péril social créé pa
71
ses astuces, qui n’est pas exactement celui des «
discussions
» qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui
72
mes critiques ci-dessus consignées, et mettre en
discussion
mes projets de réforme. Je sais bien ce qui m’arrêterait dès les prem
73
le temps, il n’est pas impossible de pousser la «
discussion
» sur un plan supérieur, d’aborder par exemple la question du capital
74
ce que l’on pourrait déduire, dans le fait, d’une
discussion
raisonnable, c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel ouvrier. On penser
75
issait de « l’histoire de notre département ». La
discussion
n’a vraiment démarré que lorsqu’on s’est mis à parler d’autre chose q
76
des journaux, de traditions et anecdotes locales.
Discussion
n’est d’ailleurs pas le mot : c’étaient surtout des questions, des af
77
avec tous les manuels, qu’elle est une langue de
discussion
, parce que toujours elle vise à la formule décisive, et ne s’accorde
78
et même très bien. Je me rappelle par exemple une
discussion
sur l’incroyance. L’orateur avait dit que la différence entre les chr
79
atin. Des étudiants, des professeurs. Beaucoup de
discussions
dans de petits groupes. Très curieuse, cette reprise de contact avec
80
e l’entretien était le problème de l’autorité. La
discussion
dévia bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de partis pris, d’erreu
81
uteurs d’anarchie. Et cela finit toujours par une
discussion
de politique générale. Ils connaissent tous quelques moyens très simp
82
end ! Trois fois par jour, le bruit d’effroyables
discussions
nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et
83
té par la perte de cette belle-mère (sauf que les
discussions
avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à expri
84
c’est s’interdire de rien comprendre à la grande
discussion
millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a
85
r le genre. Mais on s’aperçoit sans tarder que la
discussion
avec Érasme et sa Diatribe (souvent personnifiée), n’est en fait que
86
èves, menaces de mort de la part des extrémistes,
discussions
épuisantes avec le syndicat, trésorerie en délire. C’était la « liber
87
plus rien n’est libre, mais tout marche. Plus de
discussions
. Le « Führer d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers
88
as, elles lui deviennent problématiques. D’où les
discussions
qu’elle engage avec les animaux parlants, créatures curieusement acha
89
uration des logiciens de l’école de Vienne. Et la
discussion
sur le temps, au cours du « Thé loufoque » où il est toujours cinq he
90
lisme délirant. Le pire, c’est que la plupart des
discussions
pèchent par l’absence d’un élément de commune mesure : d’où l’impress
91
se ou inobservée. (Ainsi la partie de croquet, la
discussion
avec le bourreau qui refuse de décapiter un chat dont la tête seule e
92
. Rageur, il fouille dans les mouchoirs. Nouvelle
discussion
à propos d’un numéro de revue allemande. Le ton monte. Cela va se gât
93
èves, menaces de mort de la part des extrémistes,
discussions
épuisantes avec le syndicat, trésorerie en délire. C’était la « liber
94
tout marche, assure-t-il, ou va marcher. Plus de
discussions
. Le « Führer d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers
95
e du complot !) Il faut éviter à tout prix qu’une
discussion
publique prolongée permette aux opposants de se reconnaître et de se
96
t tout la connaissance « objective » des faits en
discussion
, voilà qui, semble-t-il, ne souffre pas le doute un seul instant. Mai
97
de Turcs et de boucs émissaires). Introduisez la
discussion
, vous rendez impossible le régime totalitaire. Je revendique pour ma
98
nt, en déclarant ses critères, et en acceptant la
discussion
des faits. Dès lors, le départ entre « totalitaires » (conscients ou
99
le secret désir — avoué parfois dans le feu de la
discussion
, lors d’un congrès — de constituer enfin un vrai parti, un parti vrai
100
de la Croix »60. Mais alors pourquoi rejeter sans
discussion
l’ouvrage de Wechssler, qui soutient que les « théories amoureuses du
101
recque, considérée comme l’Auseinandersetzung (la
discussion
, la querelle, l’explication) entre la communauté et les puissances du
102
ent cela. I Depuis une dizaine d’années, une
discussion
générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et d
103
e la personne pour toute action dans la cité. Ces
discussions
, souvent encombrées de jargon philosophique, peuvent apparaître byzan
104
vraiment de nos affaires qu’il s’agit dans cette
discussion
. Nous y avons notre mot à dire, peut-être même avant quiconque, si l’
105
tité d’autres. » Mais alors pourquoi rejeter sans
discussion
l’ouvrage de Wechssler, qui soutient que les « théories amoureuses du
106
recque, considérée comme l’Auseinandersetzung (la
discussion
, la querelle, l’explication) entre la communauté et les puissances du
107
tité d’autres. » Mais alors pourquoi rejeter sans
discussion
l’ouvrage de Wechssler, qui soutient que les « théories amoureuses du
108
recque, considérée comme l’Auseinandersetzung (la
discussion
, l’affrontement, l’explication) entre la communauté et les puissances
109
ment ni fin imaginables, qui nous serait due sans
discussion
et même sans contrepartie, et qui représenterait, en somme, un privil
110
introduction, un plan de travail, une invite à la
discussion
. Je vous ferai part de certaines critiques et de certaines suggestion
111
ectivement cela. Depuis une dizaine d’années, une
discussion
générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et d
112
la personne pour toute action dans la cité4. Ces
discussions
, souvent encombrées de jargon philosophique, peuvent apparaître byzan
113
vraiment de nos affaires qu’il s’agit dans cette
discussion
. Nous y avons notre mot à dire, peut-être même avant quiconque, si l’
114
s grandes que notre statut se trouvent remises en
discussion
, bouleversées, brutalement niées. De ce double malentendu, il faudra
115
ment ni fin imaginables, qui nous serait due sans
discussion
et même sans contrepartie, et qui représenterait, en somme, un privil
116
e intempestive ? Depuis une dizaine d’années, une
discussion
générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et d
117
la personne pour toute action dans la cité64. Ces
discussions
, souvent encombrées de jargon philosophique, peuvent apparaître byzan
118
vraiment de nos affaires qu’il s’agit dans cette
discussion
. Nous y avons notre mot à dire, peut-être même avant quiconque, si l’
119
ux teams — symbolise simplement le principe de la
discussion
, indispensable à toute vie démocratique. Le fait qu’il n’y a que deux
120
idissent, se ferment à tout raisonnement, à toute
discussion
sérieuse, à tout recours aux vérités fondamentales sur lesquelles s’é
121
qui croient au diable et qui en parlent bien. La
discussion
de cette sentence inconfortable ne paraît que trop indiquée dans un l
122
istré par les pasteurs. Mais sans entrer dans une
discussion
du puritanisme, je voudrais indiquer ceci à sa décharge éventuelle :
123
’État pourront bien interdire nos discours et nos
discussions
, « étouffer la libre parole » : au point où elle en est, ce ne serait
124
aux dilemme rationalisme ou irrationalisme. Cette
discussion
a mal tourné, décidément. Elle a fait trop de bruit dans le siècle. I
125
idissent, se ferment à tout raisonnement, à toute
discussion
sérieuse, à tout recours aux vérités fondamentales sur lesquelles s’é
126
qui croient au diable et qui en parlent bien. La
discussion
de cette sentence inconfortable ne paraît que trop indiquée dans un l
127
istré par les pasteurs. Mais sans entrer dans une
discussion
du puritanisme, je voudrais indiquer ceci à sa décharge éventuelle :
128
’État pourront bien interdire nos discours et nos
discussions
, « étouffer la libre parole » : au point où elle en est, ce ne serait
129
aux dilemme rationalisme ou irrationalisme. Cette
discussion
a mal tourné, décidément. Elle a fait trop de bruit dans le siècle. I
130
idissent, se ferment à tout raisonnement, à toute
discussion
sérieuse, à tout recours aux vérités fondamentales sur lesquelles s’é
131
qui croient au diable et qui en parlent bien. La
discussion
de cette sentence inconfortable ne paraît que trop indiquée dans un l
132
istré par les pasteurs. Mais sans entrer dans une
discussion
du puritanisme, je voudrais indiquer ceci à sa décharge éventuelle :
133
’État pourront bien interdire nos discours et nos
discussions
, « étouffer la libre parole » : au point où elle en est, ce ne serait
134
tellement évidente que son rappel, au cours d’une
discussion
, figure presque une insolence. Cette maxime affirme en effet la néces
135
c’est s’interdire de rien comprendre à la grande
discussion
millénaire, à la grande tension spirituelle dans laquelle l’Europe a
136
r le genre. Mais on s’aperçoit sans tarder que la
discussion
avec Érasme et sa Diatribe (souvent personnifiée) n’est en fait que l
137
istes bourgeois savaient la mépriser. (Dix ans de
discussions
, chez les philosophes de Moscou, ont abouti en 1932 à des définitions
138
lectuels avec plus de compétence qu’ailleurs — la
discussion
sur l’avenir de la Bombe bat son plein. Bien entendu, l’opinion des s
139
uillement d’« un processus qui se poursuit » ? La
discussion
, comme on dit, reste ouverte. Souhaitons qu’elle le reste longtemps.
140
’est pas que les journaux américains craignent la
discussion
violente, la dénonciation personnelle ou le scandale. Quand ils s’y l
141
nt presque d’accord pour renouveler leurs petites
discussions
. M. Truman ajuste ses lunettes et veille sur son « dépôt sacré ». Le
142
t européen. On y a entendu des conférences et des
discussions
, des concerts, des récitals de poèmes, et assisté à des spectacles ly
143
cela qu’existe l’esprit européen : dans la libre
discussion
, nous confie Denis de Rougemont. La liberté d’opposition est typiquem
144
ette party n’était pas animée par la vivacité des
discussions
, la coquetterie des femmes, ou la célébrité des invités, mais par les
145
se de l’exposé et le méthodisme un peu pédant des
discussions
(qu’on dirait germaniques n’étaient les traits d’humour) caractérisen
146
en est fait, nous sommes embarqués. Et toutes nos
discussions
rétrospectives sont vaines. Il s’agit de faire face à ce qui vient, d
147
nt presque d’accord pour renouveler leurs petites
discussions
. M. Truman ajuste ses lunettes et veille sur son « dépôt sacré ». Le
148
lectuels avec plus de compétence qu’ailleurs — la
discussion
sur l’avenir de la Bombe bat son plein. Bien entendu, l’opinion des s
149
uillement d’« un processus qui se poursuit » ? La
discussion
, comme on dit, reste ouverte. Souhaitons qu’elle le reste longtemps.
150
en est fait, nous sommes embarqués. Et toutes nos
discussions
rétrospectives sont vaines. Il s’agit de faire face à ce qui vient, d
151
nt presque d’accord pour renouveler leurs petites
discussions
. M. Truman ajuste ses lunettes et veille sur son « dépôt sacré ». Le
152
lectuels avec plus de compétence qu’ailleurs — la
discussion
sur l’avenir de la Bombe bat son plein. Bien entendu, l’opinion des s
153
uillement d’« un processus qui se poursuit » ? La
discussion
, comme on dit, reste ouverte. Souhaitons qu’elle le reste longtemps.
154
ans tous les journaux, dans à peu près toutes les
discussions
publiques. »
155
aré que pour l’enseignement, en somme, exclu sans
discussion
de mon programme de vie. Quant à une carrière littéraire : je ne pens
156
totalitaires devint bientôt le pont aux ânes des
discussions
politico-philosophiques dans les jeunes revues. Au début de l’été je
157
ois qu’ils n’y pensent même pas. Peut-être que la
discussion
annoncée après la conférence d’A… me fera modifier ce jugement. J’en
158
s contradictions dans la Bible ». Suit une petite
discussion
tout à fait confuse et sans aucun rapport avec le sujet. Il n’y a pas
159
air intelligent. Je l’approuve et m’étonne que la
discussion
n’ait pas été plus longue : il y avait pourtant bien des auditeurs qu
160
insistance impitoyable. Alors on se rabat sur des
discussions
politiques, ou sur la philanthropie. On parle du péril social créé pa
161
ses astuces, qui n’est pas exactement celui des «
discussions
» qu’on peut entendre dans les cafés du port, au chef-lieu, mais qui
162
mes critiques ci-dessus consignées, et mettre en
discussion
mes projets de réforme. Je sais bien ce qui m’arrêterait dès les prem
163
le temps, il n’est pas impossible de pousser la «
discussion
» sur un plan supérieur, d’aborder par exemple la question du capital
164
ce que l’on pourrait déduire, dans le fait, d’une
discussion
raisonnable, c’est-à-dire truquée, avec tel ou tel ouvrier. On penser
165
issait de « l’histoire de notre département ». La
discussion
n’a vraiment démarré que lorsqu’on s’est mis à parler d’autre chose q
166
des journaux, de traditions et anecdotes locales.
Discussion
n’est d’ailleurs pas le mot : c’étaient surtout des questions, des af
167
avec tous les manuels, qu’elle est une langue de
discussion
, parce que toujours elle vise à la formule décisive, et ne s’accorde
168
et même très bien. Je me rappelle par exemple une
discussion
sur l’incroyance. L’orateur avait dit que la différence entre les chr
169
atin. Des étudiants, des professeurs. Beaucoup de
discussions
dans de petits groupes. Très curieuse, cette reprise de contact avec
170
e l’entretien était le problème de l’autorité. La
discussion
dévia bientôt vers le fascisme. Un beau chaos de partis pris, d’erreu
171
uteurs d’anarchie. Et cela finit toujours par une
discussion
de politique générale. Ils connaissent tous quelques moyens très simp
172
end ! Trois fois par jour, le bruit d’effroyables
discussions
nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et
173
té par la perte de cette belle-mère (sauf que les
discussions
avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à expri
174
. Rageur, il fouille dans les mouchoirs. Nouvelle
discussion
à propos d’un numéro de revue allemande. Le ton monte. Cela va se gât
175
èves, menaces de mort de la part des extrémistes,
discussions
épuisantes avec le syndicat, trésorerie en délire. C’était la « liber
176
tout marche, assure-t-il, ou va marcher. Plus de
discussions
. Le « Führer d’entreprise » n’a pas le droit de renvoyer ses ouvriers
177
avant tout la connaissance objective des faits en
discussion
, voilà qui, semble-t-il, ne souffre pas le doute un seul instant. Mai
178
de certains de nos antifascistes. Introduisez la
discussion
, vous rendrez impossible le régime totalitaire. Je revendique pour ma
179
e premier écrit : « R… enrichit sans nul doute la
discussion
féconde entre les deux peuples », un troisième intitule son article (
180
ette party n’était pas animée par la vivacité des
discussions
, la coquetterie des femmes, ou la célébrité des invités, mais par les
181
. Ils sont venus me proposer de fonder un club de
discussion
sur une démocratie fédérative à l’échelle de l’Europe d’après-guerre