1 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
1 dés par leurs propres officiers jusqu’à l’échelon divisionnaire . Ensuite, ces divisions strictement nationales seront groupées en cor
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
2 ndre à lui répondre : « À vos ordres, mon colonel divisionnaire  ! » ou : « Oui, mon colonel commandant de corps ! » ce qui est d’un e
3 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). Un débat sur l’objection de conscience : entre Dieu et l’État (4 octobre 1969)
3 cation « Au nom du Dieu Tout-Puissant » ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — L’article 49 de la Constitution garantit la liberté relig
4 Denis de Rougemont. — Voilà le dilemme. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Dans les conseils de nos plus petites communes, chaque sé
5 tement, et c’est l’armée qui les juge. Le colonel divisionnaire Dénéréaz a commandé la section du recrutement. Dans quel cadre agisse
6 as 20 ans, qu’il n’est même pas citoyen ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Nous avons quelque 35 000 conscrits qui se présentent au
7 orité des gens plus ou moins malhonnêtes. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Jugez-vous des mineurs dans les tribunaux militaires ? Co
8 el Vaucher. — Si, nous pouvons les juger. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Mais le garçon de 18 ans peut obtenir un sursis… Michel B
9 s l’examen des circonstances atténuantes. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Je croyais qu’il pouvait attendre jusqu’à sa majorité. Co
10 sa majorité. Colonel Vaucher. — Non, non. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Alors, il y a quelque chose qui pour moi n’est pas très c
11 ine et l’infraction contre le Code pénal. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — J’aimerais que le colonel Vaucher parle du sursis.   Col
12 , nous excluons de l’armée et c’est fini. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Vous parlez de tribunaux militaires et de tribunaux civil
13 bien ! qu’il le fasse. Bernard Béguin. — Colonel divisionnaire Dénéréaz, vous commandez maintenant une division mécanisée. Vous êtes
14 s qui ont l’objection chevillée à l’âme ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Le Tribunal militaire ne juge pas l’objecteur de conscien
15 ou est-ce qu’il y a une autre dimension ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Je ne crois pas que tout cela soit dépassé. Je suis un of
16 les armes conventionnelles, certainement. Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Il n’est pas dit que la bombe atomique intervienne dans l
17 ’il y a un statut, c’est déjà un progrès… Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Ce n’est pas un progrès. Vous dites, la guerre est un mal
18 rotégeons mais que construisons-nous ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — Nous pourrions faire l’économie d’abandonner notre neutra
19 la question que nous pouvons nous poser ? Colonel divisionnaire Dénéréaz. — L’armée n’a jamais contesté l’aide au tiers-monde. Au con
20 titut universitaire d’études européennes. Colonel divisionnaire Dénéréaz, commandant de la division mécanisée 1. Colonel Vaucher, pré
4 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
21 r, vous voyez que ce n’est pas d’hier, le colonel divisionnaire Borel, officier très brillant qui allait faire pas mal de voix contre