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in de France, mais d’alcools pleins de démons, de
drogues
peut-être mortelles. ab. « Louis Aragon : Le Paysan de Paris (NRF,
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à lire les journaux, mais en même temps que cette
drogue
, elle devrait fournir son contrepoison. Au contraire, elle prépare de
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eilleront du cauchemar où les plongent toutes vos
drogues
: presse, ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique.
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r lire les journaux, mais en même temps que cette
drogue
, elle devrait fournir son contrepoison. Au contraire, elle prépare de
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eilleront du cauchemar où les plongent toutes vos
drogues
: presse, ciné, faux-luxe, suffrage universel, instruction publique.
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ns que l’intoxiqué est avant tout l’esclave de sa
drogue
. Psychologiquement, c’est un être déchu, dont les sens s’émoussent, d
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r mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta
drogue
est rapide. En un baiser je meurs. Le consolament de la Mort vient d
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ns que l’intoxiqué est avant tout l’esclave de sa
drogue
. Psychologiquement, c’est un être déchu, dont les sens s’émoussent, d
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r mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta
drogue
est rapide. En un baiser je meurs. Le consolament de la Mort vient d
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be atomique, qu’il tienne une certaine dose de la
drogue
romanesque (plus encore qu’érotique) nommé love interest, c’est faire
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ns que l’intoxiqué est avant tout l’esclave de sa
drogue
. Psychologiquement, c’est un être déchu, dont les sens s’émoussent, d
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r mon amour ! (Il boit.) … Honnête apothicaire Ta
drogue
est rapide. En un baiser je meurs. Le consolament de la Mort vient d
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be atomique, qu’il tienne une certaine dose de la
drogue
romanesque (plus encore qu’érotique) nommée love interest, c’est fair
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le plus dangereux des soporifiques, une véritable
drogue
du démon, l’un de ses nouveaux noms. Nous avons cru à la bonté fonciè
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le plus dangereux des soporifiques, une véritable
drogue
du démon, l’un de ses nouveaux noms. Nous avons cru à la bonté fonciè
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le plus dangereux des soporifiques, une véritable
drogue
du démon, l’un de ses nouveaux noms. Nous avons cru à la bonté fonciè
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le plus dangereux des soporifiques, une véritable
drogue
du démon, l’un de ses nouveaux noms. Nous avons cru à la bonté fonciè
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qu’il désire, ou pour une œuvre d’art, ou pour sa
drogue
. Tyrannie des passions, non de la technique en soi. Erreur sur la st
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n aux options religieuses. Et je n’imagine pas de
drogue
assez puissante pour en détourner le genre humain42. Je sais bien q
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n aux options religieuses. Et je n’imagine pas de
drogue
assez puissante pour en détourner le genre humain4. Je sais bien que
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qu’il désire, ou pour une œuvre d’art, ou pour sa
drogue
. Tyrannie des passions, non de la technique en soi. Erreur sur la st
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n aux options religieuses. Et je n’imagine pas de
drogue
assez puissante pour en détourner le genre humain85. Je sais bien qu
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cace, et comme on ne peut forcer la dose de cette
drogue
sans cesse édulcorée, on essaie de se rattraper en multipliant les pi
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énergies neuves, mais tyrannique à la manière des
drogues
. L’union fédérale de l’Europe, et j’entends bien : de toutes les forc
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ienfaits de notre apport. Nous leur donnerons des
drogues
sans mode d’emploi, et nos remèdes deviendront des poisons. Il est do
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ils vont parfois trop loin, même s’il y a trop de
drogues
à l’appui. C’est une réaction vitale de leur part contre ce monde qui
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ionnels, de notre apport. Nous leur donnerons des
drogues
sans mode d’emploi, et nos remèdes deviendront des poisons. Il est do
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utumance d’un confort tyrannique à la manière des
drogues
, non plus libérateur d’énergies neuves. Secret lui-même paradoxal, pu
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ien dans les cas graves (au surplus compliqués de
drogue
) comme celui de Tristan et d’Iseut. La passion une fois déclarée exig
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pliquée que les autres, jusqu’ici ? Passion et
drogue
La cause la plus fréquente de l’allergie est le contact avec certa
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nsumait l’image d’un être aimé dans le rêve de la
drogue
(« S’il m’aime, c’est par la poison »…), et quand l’amant se retrouve
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eur double illusion. Mais ce que l’analogie de la
drogue
fait bien sentir, c’est le caractère invinciblement solipsiste, narci
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d’évasion ou de régression infantile ou tribale —
drogue
, communautés hippies, communes sexuelles. À la lumière de cette derni
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sur « la Femme rêvée ». 250. Que pouvait être la
drogue
au xiie siècle ? Probablement l’ergot de seigle, dont les effets res
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amour-passion est une maladie de l’amour comme la
drogue
et l’alcoolisme sont des maladies de l’imagination ou plutôt sont les
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que les briser, et les oblige à s’évader dans la
drogue
, dans la révolution verbale des minorités vociférantes, ou dans l’imb
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allures un peu folles étaient admises, jamais la
drogue
. Breton ne l’eût pas toléré. Il régnait parmi nous une certaine tenue
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que les brimer, et les oblige à s’évader dans la
drogue
, dans la révolution verbale des minorités vociférantes, ou dans l’imb
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eure inavouable même s’il est fascinant comme une
drogue
. Et n’est-ce pas d’une intoxication — le « vin herbé » servi par une
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a raison d’Étatay, cet analogue du philtre, de la
drogue
. Comme Tristan, l’État-nation veut être seul au monde. Il ne reconnaî
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aventuriers de la finance, des armements ou de la
drogue
. Autour d’eux, le nihilisme étend ses terrains vagues, ses décharges
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attent. Pas seulement les poisons, propagandes et
drogues
que tous dénoncent, mais la fertilité incontrôlée, que le pape bénit.
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évroses, de psychoses, d’alcoolisme et d’usage de
drogues
de toute espèce, accompagnée d’une apathie civique croissante. La gue
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’Amour et l’Occident . La passion qui devient une
drogue
, qui nous prive de notre libre arbitre, nous aveugle, nous enchaîne,
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ionnels, de notre apport. Nous leur donnerons des
drogues
sans mode d’emploi, et nos remèdes deviendront des poisons. Il est do
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illage d’énergie, terrorisme, suicides, névroses,
drogue
, cancer1 et finalement bombe atomique » ? Le fait est qu’il est plus
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évroses, de psychoses, d’alcoolisme et d’usage de
drogues
de toute espèce, accompagnée d’une apathie civique croissante et en m
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ssion d’amour. Le fameux philtre est vraiment une
drogue
. Or, passion signifie souffrance, c’est ce que l’on subit, c’est le c