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’on a convenu de passer sous silence. C’est assez
drôle
de voir le malaise des chers confrères. Ils ne pardonnent pas à ce to
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u bien qui ne sont pas atteints par ces épithètes
drôles
ou quelconques. Mais la seconde partie du livre est admirable ; il su
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vent les deux), (pour emplir et vider ensemble), (
drôle
d’occupation), (après combien d’heures…) ; et il y avait toujours des
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qu’on aime rencontrer dans des farces où ils sont
drôles
, mais non point dans la vie courante où ils le sont beaucoup moins. L
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vent les deux), (pour emplir et vider ensemble), (
drôle
d’occupation), (après combien d’heures…) ; et il y avait toujours des
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ves s’accompagnent d’un coup de pied au derrière.
Drôles
de révolutionnaires que l’on séduit par le mépris. Certes, ils sont c
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s les gens de villes : « Ça ne doit pas être bien
drôle
à la longue ! » Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La neu
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ou le beau temps ? Sonnette. — Pfi ! comme c’est
drôle
! C’est moi qui fais la pluie et le beau temps. Lord Artur. — Certes
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s les gens de villes : « Ça ne doit pas être bien
drôle
à la longue ! » Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La neu
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ême de leur faire du tort en écrivant qu’ils sont
drôles
. (Des gens viennent vous dire : tenez, voilà qui vous fera rire. En g
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n Constant : on l’accusa de panthéisme. Constant,
drôle
de corps ironique, esprit exact dont les erreurs ne sont jamais que d
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la, l’antifascisme, les fascistes doivent être de
drôles
de gens. 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La maison de Si
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r ma religion. Ton athéisme devient prédication !
Drôle
d’aventure, pour un dialecticien ! Si tu dis que le chrétien est celu
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ela l’antifascisme, les fascistes doivent être de
drôles
de gens. 25 avril 1935 Communisme. — Dans la petite librairie
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gime. C’est un bolchévisme déguisé, répètent-ils.
Drôle
de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient
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gime. C’est un bolchévisme déguisé, répètent-ils.
Drôle
de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient
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ire : « L’État, c’est l’âme de l’âme », voilà des
drôles
de fédéralistes, des drôles de Suisses11. Je les estime intolérables,
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de l’âme », voilà des drôles de fédéralistes, des
drôles
de Suisses11. Je les estime intolérables, s’ils parlent en connaissan
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s ! 11. Intéressante précision du langage ! Un «
drôle
», c’est à la fois un comique et un malandrin. 12. Ceci ne veut pas
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ire : « L’État, c’est l’âme de l’âme », voilà des
drôles
de fédéralistes, des drôles de Suisses41. Je les estime intolérables,
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de l’âme », voilà des drôles de fédéralistes, des
drôles
de Suisses41. Je les estime intolérables, s’ils parlent en connaissan
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s ! 41. Intéressante précision du langage ! Un «
drôle
», c’est à la fois un comique et un malandrin. 42. Ceci ne veut pas
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al, pour le Jugement dernier. » Réponse à la fois
drôle
et profonde, dont on ne sait s’il faut admirer davantage la sévérité
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et sensorielles en seront toujours incapables. Ce
drôle
de petit cri dans la paille m’indique tout autrement que les formules
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s, à exiger des fonctionnaires décents, à trouver
drôles
plutôt que ridicules ceux qui ont d’autres allures que nous. Apprenon
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e État, et tous les trois disent la même chose.)
Drôle
d’occupation pour un militaire ? Pas si drôle si l’on songe que cette
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.) Drôle d’occupation pour un militaire ? Pas si
drôle
si l’on songe que cette guerre a précisément pour enjeu non point la
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ou sensorielles en seront toujours incapables. Ce
drôle
de petit cri dans la paille m’indique tout autrement que les formules
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ou sensorielles en seront toujours incapables. Ce
drôle
de petit cri dans la paille m’indique tout autrement que les formules
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s les gens de villes : « Ça ne doit pas être bien
drôle
à la longue ! » Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La neu
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ela l’antifascisme, les fascistes doivent être de
drôles
de gens. 25 avril 1935 Communisme. — Dans la petite librairie
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gime. C’est un bolchévisme déguisé, répètent-ils.
Drôle
de « rempart ». Ils se plaignent de ce que toutes les réformes soient
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t de l’occupation de la Rhénanie à la fin de la «
drôle
de guerre », nous fûmes livrés au pillage impuni de nos concepts. Plu
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Rousseau, Gottfried Keller, et beaucoup d’autres.
Drôle
d’occupation pour un militaire. Pas si drôle si l’on songe que cette
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res. Drôle d’occupation pour un militaire. Pas si
drôle
si l’on songe que cette guerre a précisément pour enjeu non point la
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nsky. Je sonne. K… vient m’ouvrir. « Vous avez un
drôle
d’ascenseur ! — Oui, quelquefois… C’est un peu Kafka. Comme tant d’au
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Russie et les États-Unis additionnés ! Ainsi la «
drôle
de paix » que nous vivons repose en fait sur quatre crises, sur quatr
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lui donner une forme et de le satisfaire. l. «
Drôle
de paix », Une Semaine dans le monde, Paris, n° 56, 7 juin 1947, p. 1
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rie devient un réquisitoire, et l’avocat fait une
drôle
de figure. Ou bien il faut acquitter Oltramare, mais alors il n’y a p
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rande affirmation centrale, le grand but de cette
drôle
de paix ? À quel plan nous vouer ? À quelle doctrine nouvelle consacr
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rie devient un réquisitoire, et l’avocat fait une
drôle
de figure. Ou bien il faut acquitter Oltramare, mais alors il n’y ava
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la pluie ou le beau temps ? Sonnette. Vous êtes
drôle
. C’est moi qui fais la pluie et le beau temps ! Lord Artur. Certes,
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er des fonctionnaires décents, à trouver les gens
drôles
plutôt que ridicules s’ils ont d’autres allures que nous. Apprenons d
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libertés organisées. Nous vivons aujourd’hui la «
drôle
de paix ». Il dépend de nous qu’elle se termine demain en paix-éclair
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rande affirmation centrale, le grand but de cette
drôle
de paix ? À quel plan nous vouer ? À quelle doctrine nouvelle consacr
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bertés organisées. Nous vivons aujourd’hui la «
drôle
de paix ». Il dépend de nous qu’elle se termine demain en paix-éclair
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n’y ont été nommés jusqu’ici que par L’Humanité.
Drôle
d’évidence. (C’est l’OECE qui est née du plan Marshall.) 4° M. Spaak
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enir ! », répéteront nos maniaques de l’Histoire.
Drôle
d’avenir, qui s’essouffle à rejoindre un « passé » rituellement dénon
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être homme, mis au défi et dépassé. Ce n’est plus
drôle
du tout. Il faut faire attention. Car la science a déjà devancé nos p
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r ma religion. Ton athéisme devient prédication !
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d’aventure, pour un dialecticien ! Si tu dis que le chrétien est celu
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enir ! », répéteront nos maniaques de l’Histoire.
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d’avenir, qui s’essouffle à rejoindre un « passé » rituellement dénon
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étant alors mobilisé à Berne. C’était encore la «
drôle
de guerre » : la plupart se refusaient à croire au pire, qui menaçait
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sensible : ses exclamations en schwyzerdütsch, si
drôles
chez un homme de fin parler français, cette connaissance intime des m
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: l’élocution bien déliée du Parisien, la chaleur
drôle
du Méridional et la retenue parfois un peu rêveuse du Genevois, voilà
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s l’excuse d’une « manière de parler » pour faire
drôle
. Cette mise au point, tout à fait superflue pour les lecteurs de mon
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ve. C’est sans doute ce qui justifie le mot, plus
drôle
que méchant, d’Emmanuel Mounier dans Esprit : « Rougemont écrit un
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plus faible qu’elle deviendrait plus européenne !
Drôle
de manière de reformer la « famille » dont parlait Churchill, que d’e