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s flots. Un formidable soleil fait resplendir les
dunes
éblouissantes, autour du « Haff »19 coloré de traînées d’algues pourp
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s flots. Un formidable soleil fait resplendir les
dunes
éblouissantes, autour du « Haff »11 coloré de traînées d’algues pourp
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asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des
dunes
qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague fl
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à écrire…) Février 1934 Les gens. — Du haut des
dunes
, je vois les terres divisées en parcelles minuscules. Sur ces parcell
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plus de vrais loisirs. 23 janvier (écrit sur la
dune
) Il ne faut pas se mettre en colère au mois de janvier. C’est une sai
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r quelques instants, et se coucher ensuite sur la
dune
, au vent doux. Villages blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte
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une autre fenêtre un coin de lande, et de petites
dunes
broussailleuses qui ferment l’horizon bas. Peu de terre et beaucoup d
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horizontal. Des voiles ocrées passent au ras des
dunes
basses qui ondulent à peine, en demi-cercle devant nous, marquant la
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ne autre fenêtre un coin de lande, et des petites
dunes
broussailleuses qui ferment l’horizon bas. Peu de terre et beaucoup d
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suivons des sentiers bordés de tamaris jusqu’aux
dunes
. Elles ne sont pas bien hautes, ces dunes, dix mètres au plus, mais c
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squ’aux dunes. Elles ne sont pas bien hautes, ces
dunes
, dix mètres au plus, mais c’est assez pour embrasser du regard une bo
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petits hommes noirs courbés. Et le village vu des
dunes
tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d’un peintre c
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asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des
dunes
qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague fl
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de n’être rien. 23 janvier 1934 (écrit sur la
dune
) Il ne faut pas se mettre en colère au mois de janvier. C’est une
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ctif. Février 1934 Les gens. — Du haut des
dunes
, je vois les terres divisées en parcelles minuscules. Sur ces parcell
16
r quelques secondes, et se coucher ensuite sur la
dune
, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mi
17
Une plage immense, en arc de cercle, au pied des
dunes
, très doucement inclinée, et sans une pierre. Merveilleuse piste de b
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s flots. Un formidable soleil fait resplendir les
dunes
éblouissantes, autour du « Haff3 » coloré de traînées d’algues pourpr
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horizontal. Des voiles ocrées passent au ras des
dunes
basses qui ondulent à peine, en demi-cercle devant nous, marquant la
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ne autre fenêtre un coin de lande, et des petites
dunes
broussailleuses qui ferment l’horizon bas. Peu de terre et beaucoup d
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suivons des sentiers bordés de tamaris jusqu’aux
dunes
. Elles ne sont pas bien hautes, ces dunes, dix mètres au plus, mais c
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squ’aux dunes. Elles ne sont pas bien hautes, ces
dunes
, dix mètres au plus, mais c’est assez pour embrasser du regard une bo
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petits hommes noirs courbés. Et le village vu des
dunes
tantôt ressemble à un dessin d’enfant, ou à l’esquisse d’un peintre c
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asphaltée. Je roulais comme en rêve, le long des
dunes
qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un brouillard vague fl
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de n’être rien. 23 janvier 1934 (écrit sur la
dune
) Il ne faut pas se mettre en colère au mois de janvier. C’est une
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ctif. Février 1934 Les gens. — Du haut des
dunes
, je vois les terres divisées en parcelles minuscules. Sur ces parcell
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r quelques secondes, et se coucher ensuite sur la
dune
, au vent doux. Villages blancs au-delà des lagunes transfigurés en mi
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Une plage immense, en arc de cercle, au pied des
dunes
, très doucement inclinée, et sans une pierre. Merveilleuse piste de b
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mand des plaines, coupé de la mer par les grandes
dunes
et n’ayant d’horizon qu’en profondeur, ou si l’on veut qu’en hauteur