1
fusion « lyrique », histoire de n’avoir pas l’air
dupe
. Mais il a des façons parfois bien désobligeantes de voir juste. Et q
2
uait un jugement !) Serons-nous longtemps encore
dupes
d’une conception de la littérature si pédante qu’elle exclut un de no
3
ations, farouchement idéaliste et pourtant jamais
dupe
de ses beaux sentiments lorsqu’il s’y mêle des motifs tout matériels.
4
s, destinées peut-être à indiquer qu’il n’est pas
dupe
, qu’il n’est pas si furieux que ça, que la littérature enfin garde se
5
épourvues de coquetteries. À force de se craindre
dupe
, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance q
6
épourvues de coquetteries. À force de se craindre
dupe
, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance q
7
nsuite que cet « individu » est un esclave et une
dupe
, car il n’y a pas d’exemple, dans l’histoire, que l’État ait pu assur
8
vient l’initiative ? Cependant, ne soyons pas
dupe
de notre image. N’allons pas lui permettre de se préciser à sa façon,
9
vient l’initiative ? Cependant, ne soyons pas
dupe
de notre image. N’allons pas lui permettre de se préciser à sa façon,
10
là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on
dupe
, et sur qui l’on rejette la faute : Les dieux m’en sont témoins, ces
11
pas plus que Pétrarque à la fin de sa vie, n’est
dupe
de la « religion » d’amour. Qu’on relise la grande lettre de Julie ma
12
là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on
dupe
, et sur qui l’on rejette la faute : Les dieux m’en sont témoins, ces
13
pas plus que Pétrarque à la fin de sa vie, n’est
dupe
de la « religion » d’amour. Qu’on relise la grande lettre de Julie ma
14
là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on
dupe
, et sur qui l’on rejette la faute : Les dieux m’en sont témoins, ces
15
pas plus que Pétrarque à la fin de sa vie, n’est
dupe
de la « religion » d’amour. Qu’on relise la grande lettre de Julie ma
16
tre le vice et la vertu. Nulle part l’homme ne se
dupe
mieux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus
17
e Dieu — pas même aux yeux du diable, toujours la
dupe
d’un acte de charité qu’il tiendra pour une sottise. C’est que Dieu s
18
tre le vice et la vertu. Nulle part l’homme ne se
dupe
mieux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus
19
e Dieu — pas même aux yeux du diable, toujours la
dupe
d’un acte de charité qu’il tiendra pour sottise. C’est que Dieu seul
20
tre le vice et la vertu. Nulle part l’homme ne se
dupe
mieux sur ses motifs et ne se paye plus aisément de sophismes cousus
21
Assez pour quoi ? C. Assez pour n’être point la
dupe
de vos phrases. Écrire, et surtout en français, ce n’est pas jouer du
22
épourvues de coquetteries. À force de se craindre
dupe
, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance q
23
r quoi ? Le critique. Assez pour n’être point la
dupe
de vos phrases. Écrire, et surtout en français, ce n’est pas jouer du
24
rospérité, mais qui ont beaucoup plus peur d’être
dupes
d’un projet difficile à réaliser, qu’envie de travailler à son succès
25
la confusion générale qui a suivi la journée des
dupes
du 30 août, les fédéralistes européens gardent une ferme orientation.
26
e plus nous rencontrer en Occident. Ne soyons pas
dupes
de leur artifice involontaire ; cherchons nous-mêmes à découvrir notr
28
veau Candide du 31 janvier. bb. « Une journée de
dupes
et un nouveau départ », Preuves, Paris, n° 145, mars 1963, p. 60-61.
29
eur langue maternelle aux petits Valdotains — pas
dupes
! L’allemand est brimé en Alsace, où une loi de 1946 interdit l’ensei
30
Ni l’empereur ni Constant n’ont changé. Nul n’est
dupe
, nul ne cherche à duper l’autre. L’un veut régner et s’il y faut abso
31
ces journées qui allaient se révéler journées des
dupes
, hélas. 89. Il deviendra notre collaborateur le plus actif au Centre