1 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
1 l Claudel et Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte !
2 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
2 nte simplicité qui peut s’accorder à la fois à la déclamation d’un chœur en marche et au dialogue, forcément sans nuances, de perso
3 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
3 l Claudel et Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte !
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
4 l Claudel et Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte !
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
5 orains de la Révolution En dépit des nombreuses déclamations des conventionnels invoquant le nom de l’Europe, pas un seul plan sér
6 1962, Articles divers (1957-1962). Le règne de Victoria (1962)
6 l Claudel et Arthur Honegger, cette bouleversante déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’espérance, qui est la plus forte !
7 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
7 ente simplicité qui peut s’adapter à la fois à la déclamation d’un chœur en marche et au dialogue du drame civique et spirituel. To