1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 ussi bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est v
2 fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant la vocation de l’homme : le fond de la réalité n’est pas
2 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
3 endication personnaliste. Nous avons à relever le défi que fascistes et hitlériens sont justifiés à nous jeter. Nous ne le f
3 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
4 ns sympathique ; mais elle n’avait pas répondu au défi qu’ils lui adressaient. MM. Dupuis et Marc comblent aujourd’hui une l
4 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
5 romper. Il y avait là un homme, une puissance. Le défi de Marx et de Nietzsche était relevé. Le tirage du Römerbrief alla au
5 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
6 la terre décisive. L’heure est venue. Allons-y. Défi véritablement héroïque, et vocation orgueilleuse de l’homme ! Mais da
6 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
7 uvrirait-il à son amour ? Mais serait-ce amour ou défi  ? Empédocle n’a rien sauvé. Je garde ma raison. Et, pour le reste, sa
8 accepté la mort. Il peut aimer : ce n’est plus un défi , c’est une soumission à l’Éternel. « Christ est ressuscité ! » Le Nou
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
9 Supposez qu’un homme paraisse, et qu’il relève le défi collectiviste. Il soutient que le solitaire est plus grand que la fou
8 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
10 compromission avec le monde. Il n’est plus que le défi que l’humanisme total adresse à notre christianisme. Il nous met en d
9 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
11 éparent ne va-t-il point porter à notre audace un défi presque inespéré ? N’est-ce point là notre plus belle chance de grand
10 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
12 compromission avec le monde. Il n’est plus que le défi que l’humanisme total adresse à notre christianisme. Il nous met en d
11 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
13 éparent ne va-t-il point porter à notre audace un défi presque inespéré ? N’est-ce point là notre plus belle chance de grand
12 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
14 e au rôle que les autres puissances la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui lui soit propre, et
13 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
15 mépris tout simplement ? Ou bien plutôt, dernier défi , secrète angoisse de ne pouvoir parvenir lui-même à prendre le repas
14 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
16 sa haine, ni sa peur, ni sa joie, ni ses derniers défis . C’est ainsi qu’il exprime dans un style vraiment noble et tragique,
15 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
17 e au rôle que les autres puissances la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une conception de l’homme qui lui soit propre, et
16 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
18 els. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand dilemme que voici : — ou bien
17 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
19 els. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand dilemme que voici : ou bien n
18 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
20 els. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand dilemme que voici : ou bien n
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
21 il de notre conscience fédérale. Tout nous met au défi d’agrandir cette conscience aux proportions nouvelles des mystiques q
20 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
22 mpris le plan politique, ils ne répondront pas au défi du marxisme, qui s’en trouvera justifié pour autant. Je ne crois pas
23 ilisation chrétiennes. Tout cela se trouve mis au défi par l’exigence totalitaire, comme le prouve le spectacle de l’Allemag
21 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
24 osillent, ceux qui publient à son de trompe leurs défis ou leurs succès — prouvent qu’ils n’y croient pas totalement. Ils dem
25 frais une cigarette il s’est redressé d’un air de défi  : « Non, non. J’ai cessé de fumer depuis longtemps ! — Ça vous faisai
26 banales complaisances. Et le destin répond à ces défis , fussent-ils géniaux, par des énigmes ironiques. Au bout du compte, D
22 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
27 écisive pour son développement religieux. Mais le défi jeté à Dieu sembla porter bonheur au père de Kierkegaard. Il devint c
28 . Et cependant, dans le pire désespoir, jamais de défi , ni d’« hybris ». Pureté du chrétien, non du surhomme. Quant au « sér
23 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
29 -mêmes. Il est donc vital pour nous de refuser ce défi , de déjouer ce calcul, et de ne pas opposer à la violence une violenc
30 ective, un manque de foi réelle qui se déguise en défi , par désespoir. Mais là encore, je ne parle pas d’une compassion sent
24 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
31 e cynisme impuissant et lucide, mais non l’air de défi . Cela fait un curieux ricanement, en manière d’oraison funèbre. Et ap
25 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
32 n la raison — et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi , mais une patiente et tendre application. Le contraire absolu de tout
26 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
33 ent impressionné par le courage sérieux (sans nul défi ) que suppose hic et nunc une telle prédication, un chant puissant, so
34 tait révoltant dans les discours lancés comme des défis à l’étranger, devient presque touchant, à force de bonne volonté, dan
35 st Wessel Lied, quand il ne retentit pas comme un défi dans les rues martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer
27 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
36 ussi bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est v
28 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
37 sorte de polémique anxieuse, de méchanceté et de défi  : la main tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart. Non,
38 erra Nietzsche, cent ans plus tard, renouveler ce défi mortel. Mais quoi ? Faut-il aller si haut ? La recherche « toute natu
39 iné par le bon et le juste — contre eux. Il va de défi en défi, excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adv
40 le bon et le juste — contre eux. Il va de défi en défi , excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adversaire.
41 Commandeur. Or Dieu se tait. Il ne relève pas le défi . Nietzsche attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vien
42 délité à la sienne. Où est la tricherie ? Dans ce défi installée au cœur de la règle ? ap. « Don Juan », La Nouvelle Revue
29 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
43 al, l’obstacle légal, objectif. Tristan relève ce défi  : d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot prend un sens sym
44 écadence, ou la souffrance qui transfigure, ou le défi que l’esprit jette au monde, ce que nous cherchons, c’est ce qui peut
30 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
45 aître une rhétorique de la folie, c’est-à-dire un défi à toute science en général et à toute science psychiatrique en partic
31 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
46 laisse oublier ni la lyre ni l’épée symbolique du défi à la société constituée ! Est-il beaucoup de nos poètes qui aient tro
32 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
47 ns ingénieuses, l’éloge de la chasteté, voire les défis à une mort libératrice. Mais la dialectique sauvage de Tristan n’est
48 dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un véritable chevalier. Tristan, m
33 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
49 n la raison — et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi , mais une patiente et tendre application. Le contraire absolu de tout
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
50 al, l’obstacle légal, objectif. Tristan relève ce défi  : d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot prend un sens sym
51 écadence, ou la souffrance qui transfigure, ou le défi que l’esprit jette au monde, ce que nous cherchons, c’est ce qui peut
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
52 aître une rhétorique de la folie, c’est-à-dire un défi à toute science en général et à toute science psychiatrique en partic
53 ffre au jugement par un mouvement d’orgueil et de défi démesuré. Elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’un autre homme
36 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
54 laisse oublier ni la lyre ni l’épée symbolique du défi à la société constituée ! Est-il beaucoup de nos poètes qui aient tro
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
55 ns ingénieuses, l’éloge de la chasteté, voire les défis à une mort libératrice. Mais la dialectique sauvage de Tristan n’est
56 dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un véritable chevalier. Tristan, m
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
57 n la raison — et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi , mais une patiente et tendre application. ⁂ Cependant, tout n’est pas
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
58 al, l’obstacle légal, objectif. Tristan relève ce défi  : d’où le rebondissement de l’action. Et ici le mot prend un sens sym
59 écadence, ou la souffrance qui transfigure, ou le défi que l’esprit jette au monde, ce que nous cherchons, c’est ce qui peut
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
60 aître une rhétorique de la folie, c’est-à-dire un défi à toute science en général et à toute science psychiatrique en partic
61 ffre au jugement par un mouvement d’orgueil et de défi démesuré. Elle jure n’avoir jamais été dans les bras d’un autre homme
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
62 laisse oublier ni la lyre ni l’épée symbolique du défi à la société constituée ! Est-il beaucoup de nos poètes qui aient tro
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
63 ns ingénieuses, l’éloge de la chasteté, voire les défis à une mort libératrice. Mais la dialectique sauvage de Tristan n’est
64 dernier acte de Mozart, rachetant par cet ultime défi des lâchetés qui eussent déshonoré un véritable chevalier. Tristan, m
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
65 n la raison — et qui n’est pas un héroïsme, ni un défi , mais une patiente et tendre application. ⁂ Cependant, tout n’est pas
44 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
66 conscience claire et forte. Elles nous mettent au défi de produire le « pourquoi » de notre défense et de notre volonté d’au
67 isse que nous sommes décidés à défendre. Voilà le défi que nous adresse l’Europe moderne. Il s’agit maintenant d’y répondre.
45 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
68 il de notre conscience fédérale. Tout nous met au défi d’agrandir cette conscience aux proportions nouvelles des « mystiques
46 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
69 conscience claire et forte. Elles nous mettent au défi de produire le pourquoi de notre défense, le pourquoi de notre volont
70 isse que nous sommes décidés à défendre. Voilà le défi que nous adresse l’Europe moderne. Il s’agit maintenant d’y répondre.
47 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
71 nt la voie tracée par Dieu — ou vers une sorte de défi anxieux — suivant la voie de la divinisation suggérée par l’Aspic de
48 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
72 s réfugions dans l’Ennui plutôt que d’accepter le défi d’une vocation sans précédent, — elles le sont toutes. Allez demande
49 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
73 nt la voie tracée par Dieu — ou vers une sorte de défi anxieux — suivant la voie de la divinisation suggérée par l’Aspic de
50 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
74 s réfugions dans l’Ennui plutôt que d’accepter le défi d’une vocation sans précédent, — elles le sont toutes. Allez demande
51 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
75 ussi bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est v
52 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
76 ve pour tout son développement religieux. Mais le défi jeté à Dieu sembla porter bonheur au jeune berger. Il devint commerça
77 . Et cependant, dans le pire désespoir, jamais de défi , ni d’hybris. Pureté du chrétien, non du surhomme. 2.« La pureté d
78 consacrer au jeu d’échecs n’est plus alors qu’un défi , qu’un sarcasme, ou pire encore, n’est plus qu’une évasion. L’homme n
79 dans la pureté immédiate. Tout le reste n’est que défi , intempérance et désespoir. « Oser à fond être soi-même, oser réalise
80 Supposez qu’un homme paraisse, et qu’il relève le défi collectiviste. Il soutient que le solitaire est plus grand que la fou
53 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
81 incompétent, fatigue morbide, résignation rusée, défis puérils, — tout cela relève d’un même état spirituel : le doute. Non
54 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
82 pour toutes les Églises une épreuve de forces, un défi , une purification, une occasion de réveil. C’est un fait que la cultu
55 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
83 se réfléchit dans la frustration du désir. Et son défi au Ciel, ayant failli, s’inverse en menace suspendue. Le monde païen
56 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
84 ussi bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est v
57 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
85 fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant la vocation de l’homme : le fond de la réalité n’est pas
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
86 osillent, ceux qui publient à son de trompe leurs défis ou leurs succès — prouvent qu’ils n’y croient pas totalement. Ils dem
87 frais une cigarette il s’est redressé d’un air de défi « Non, non. J’ai cessé de fumer depuis longtemps ! — Ça vous faisait
88 banales complaisances. Et le destin répond à ces défis , fussent-ils géniaux, par des énigmes ironiques. Au bout du compte, D
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
89 tre d’adversaire déclaré du régime, je relevai le défi d’Abetz, mais non sans avoir précisé avec une insistance tout helvéti
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
90 ent impressionné par le courage sérieux (sans nul défi ) que suppose hic et nunc une telle prédication, un chant puissant, so
91 tait révoltant dans les discours lancés comme des défis à l’étranger, devient presque touchant, à force de bonne volonté, dan
92 st Wessel Lied, quand il ne retentit pas comme un défi dans les rues martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
93 aim religieuse. Mais c’est aussi le plus puissant défi qui ait été jeté au christianisme : votre foi sera nouvelle à son tou
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
94 ussi bien chez les voisins qu’elles secouent d’un défi grossier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs. Car elle est v
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
95 fait, et posaient l’ordre en face de lui comme un défi manifestant la vocation de l’homme : le fond de la réalité n’est pas
64 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
96 ’un avenir plus vaste qui peut seul les mettre au défi de se redresser pour tenir un grand rôle. Ce sont nos quatre pauvreté
65 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
97 et de la pratique politique des Suisses. C’est le défi que représente l’esprit totalitaire, qui les force à faire aujourd’hu
98 vent du scepticisme. Chaque nation serait mise au défi de donner le meilleur d’elle-même, à sa manière et selon son génie. A
66 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
99 sorte de polémique anxieuse, de méchanceté et de défi  : la main tendue au Commandeur, dans le dernier acte de Mozart. Non,
100 erra Nietzsche, cent ans plus tard, renouveler ce défi mortel. Mais quoi ? Faut-il aller si haut ? La recherche « toute natu
101 iné par le bon et le juste — contre eux. Il va de défi en défi, excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adv
102 le bon et le juste — contre eux. Il va de défi en défi , excité puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’adversaire.
103 Commandeur ! Or Dieu se tait. Il ne relève pas le défi . Nietzsche attend dans la nuit désertique des hauteurs. Une aube vien
104 lité à la sienne. » Où est la tricherie ? Dans le défi , installé au cœur de la règle ?
67 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
105 se réfléchit dans la frustration du désir. Et son défi au Ciel, ayant failli, s’inverse en menace suspendue. Le monde païen
68 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
106 veront-ils désormais la frontière qui mettrait au défi leur esprit d’aventure ? La terre ni le ciel ne sont plus leur limite
69 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
107 ar les rivalités nationalistes et la misère. À ce défi , nous ne pouvons pas répondre en nous jetant simplement dans les bras
70 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
108 s comme des créations de l’esprit, insensible aux défis toujours renouvelés de la réalité toujours changeante, bref : hors du
71 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
109 i. La nécessité présente de l’affermir en face du défi que représente l’esprit totalitaire, et aussi de la propager, car la
72 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
110 ar les rivalités nationalistes et la misère. À ce défi , nous ne pouvons pas répondre en nous jetant simplement dans les bras
73 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
111 et de la pratique politique des Suisses. C’est le défi que représente l’esprit totalitaire, qui les force à faire aujourd’hu
112 vent du scepticisme. Chaque nation serait mise au défi de donner le meilleur d’elle-même, à sa manière et selon son génie. A
74 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
113 s comme des créations de l’esprit, insensible aux défis toujours renouvelés de la réalité toujours changeante, bref : hors du
75 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
114 s comme des créations de l’esprit, insensible aux défis toujours renouvelés de la réalité toujours mouvante, — bref, hors du
76 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
115 omme. Personne n’est assez grand pour répondre au défi d’un tel destin. Groupez-vous. Dites au moins votre but ! Nous sommes
77 1950, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
116 e savent très bien. Si nous reculons devant le défi … Lorsque Staline rédige lui-même un long article en forme d’encycl
117 tre pensée même ; car si nous reculions devant ce défi de l’histoire, que pourrions-nous encore penser écrire ou dire sans u
78 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
118 omme. Personne n’est assez grand pour répondre au défi d’un tel destin. Groupez‑vous. Dites au moins votre but ! Nous sommes
79 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
119 lontairement créée par les mystiques adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquille­ment par les faits. Nous pouvo
80 1951, Articles divers (1951-1956). Défense de nos libertés (octobre 1951)
120 lontairement créée par les mystiques adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquillement par les faits. Nous pouvon
81 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
121 lontairement créée par les mystiques adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquillement par des faits. Nous pouvon
82 1952, Arts, articles (1952-1965). Appel à ceux qui osent être différents (22 mai 1952)
122 à qui constitue pour l’écrivain de notre temps un défi d’une ampleur inconnue jusqu’alors, une possibilité sans précédent de
123 ivique, mais moral, et enfin politique. Devant ce défi , certains sont tentés de fuir, de se dérober et de plaider irresponsa
83 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
124 es arguments. Mais la riposte, ici, transcende le défi . Elle le réduit au rôle épisodique qui, précisément, fut toujours cel
84 1952, Réforme, articles (1946–1980). Après l’Œuvre du xxe siècle (14 juin 1952)
125 nt encore. » Comment donc allons-nous répondre au défi des totalitaires, si nous nous privons de leurs armes ? Si nous refus
85 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
126 entionné, ait été vraiment discuté, jusqu’ici. Du défi désespéré de Nietzsche, de l’affirmation méthodique de Sartre, on a (
86 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
127 istinct, privé, original. Enfin, devant le double défi qu’affronteront plusieurs de nos pays : celui de passer du régime col
87 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
128 istinct, privé, original. Enfin, devant le double défi qu’affrontent plusieurs de nos pays : celui de passer du régime colon
88 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
129 e s’entretenir jusqu’à l’exaltation, de mettre au défi la morale et finalement de lui dérober son prestige le plus efficace,
130 ntensité mais déprimante, ascèse mais luxurieuse, défi mais masochiste ; il est discours sans fin sur l’indicible. (Le Trist
131 suprême » d’Isolde agonisante n’est qu’un dernier défi au Soleil disparu derrière l’horizon jaune de la mer d’Occident. C’es
132 solu d’échouer dans la durée. Devant l’impossible défi , l’homme dit : c’est trop pour moi, mais je ne saurais plus vivre et
89 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
133 rd. Il faut que quelques-uns au moins relèvent ce défi de l’Histoire. Sans orgueil, mais aussi sans lâche humilité. Quelques
90 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
134 Les uns décrivent l’homo faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’aide d’objets plus durs prolongeant l
91 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
135 devise — ce petit livre incisif traduit le grand défi que nous adresse l’Europe « à faire ». Il précise : Le défi n’est pa
136 us adresse l’Europe « à faire ». Il précise : Le défi n’est pas lancé par quelques Français à d’autres, mais par le Progrès
137 s par le Progrès à tous les Européens. Les autres défis qui occupent nos forces sont secondaires : celui du monde communiste,
92 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
138 avons désormais, voilà qui oblige. On nous met au défi de donner un peu plus que nous ne possédons ? Il nous faudra donc le
93 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
139 onstamment ambiguë. L’Europe devant le nouveau défi Certes, le « monde arabe » est encore faible, s’il crie fort. Mais
94 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
140 t D. N’empêche que nous sommes seuls à relever un défi qui s’adresse à tout l’Occident. B. Vous êtes seuls — et l’on sait po
95 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
141 ie. Le vrai problème nouveau sera de répondre au défi de nos grands rêves réalisés, — au défi de l’invasion des loisirs, pa
142 pondre au défi de nos grands rêves réalisés, — au défi de l’invasion des loisirs, par exemple ; au défi des besoins de l’âme
143 défi de l’invasion des loisirs, par exemple ; au défi des besoins de l’âme, laissés en friche et libérés par la technique…
96 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
144 livre comment l’Occident historique, relevant un défi qui semblait écrasant et qu’il se portait à lui-même, acceptant de « 
97 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
145 ochiste, pour un Occidental. L’individu trouve le défi trop lourd. Dans un cosmos qui se calcule en centaines de millions d’
146 nisme : il suffit que la foi faiblisse, ou que le défi du temps paraisse insurmontable. L’utopie est recul devant le temps o
98 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
147 tel dans les cafés, et sa foi prend l’allure d’un défi . On pourrait m’objecter Saint-John Perse, mais justement il a choisi
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
148 livre comment l’Occident historique, relevant un défi qui semblait écrasant et qu’il se portait à lui-même, acceptant de « 
100 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
149 ant l’Occident n’est pas né comme la réponse à un défi  : il lui a manqué ce principe de cohérence originelle. L’Orient trop