1 : C’était le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin je me dis : qu’est-ce qu’on va manger, ce jour ? Je n’

2 — C’était le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’

3 l fleuri par M. Smith, en souvenir de ses parents défunts . Ils communient en très grand nombre et fort souvent, avec une visibl

4 autres, une ou quelques larmes sur moi, son oncle défunt , et cela en présence d’un respectable magistrat qui en dressera le pr

5 « C’était le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : Qu’est-ce qu’on va manger ce jour ? Je n’

6 autres, une ou quelques larmes sur moi, son oncle défunt , et cela en présence d’un respectable magistrat qui en dressera le pr

7 l fleuri par Mrs Smith en souvenir de ses parents défunts . Ils communient en très grand nombre et fort souvent, avec une visibl

8 soviétique un règlement de comptes entre le tyran défunt et ses successeurs ; attribuer du jour au lendemain tout le mal qui s

9 iront, et vous revêtirez d’un corps nouveau l’âme défunte de votre pressentiment aimé, vous l’étreindrez à nouveau et reconnaît

10 nquent jamais de le signaler : « Au militaire, le défunt avait atteint le grade de… » J’observe que beaucoup de professeurs co