1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
1 ge égoïsme ; mais qu’elle s’acharne sur le détail dégoûtant et mesquin de certain milieu bourgeois, et l’on voit bien que l’auteu
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 C’est la vision du travail humain, inexorable et dégoûtant , mais comment échapper ? L’hallucination est tombée, faisant place à
3 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
3 iel coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant  ! ») Nous voilà faits, refaits par l’événement, plongés d’un coup dan
4 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
4 C’est la vision du travail humain, inexorable et dégoûtant , mais comment échapper ? L’hallucination est tombée, faisant place à
5 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
5 lique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une b
6 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
6 lique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une b
7 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
7 iel coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant  ! ») Nous voilà faits, refaits par l’événement, plongés d’un coup dan
8 1946, Journal des deux mondes. Virginie
8 lique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une b
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
9 iel coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant  ! ») Nous voilà faits, refaits par l’événement, plongés d’un coup dan
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
10 lique-t-elle, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une b