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ximum. Et comptez que l’on poussera plus avant la
dégradation
de cette idole qu’est l’Homme pour l’homme. Toute décadence invente u
2
C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de
dégradation
, dans la mesure même où son effort pratique aboutit : au lieu de crée
3
sagesse qui semble bien n’être pas affectée de la
dégradation
immanente à toute solution humaine. Cette sagesse dit oui à toutes le
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rmanent ; qu’il y ait au contraire un principe de
dégradation
éthique dans toute recherche de la synthèse et plus sûrement dans la
5
-là, cet « esprit pur » n’est, en réalité, que la
dégradation
d’un spirituel qui n’a pas voulu s’accomplir dans l’actualité concrèt
6
et le plus souvent contre lui. (Notons qu’avec la
dégradation
des temps quand ce ne sont plus des fonctionnaires qui se cachent pou
7
ent déshonorés par la culture des illusions et la
dégradation
du sens de la révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’histoi
8
dans son être particulier, en dépit de toutes les
dégradations
que le milieu inerte lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le h
9
n sort terrestre, et le sobre courage d’avouer sa
dégradation
. Un vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaî
10
n effective du monde. Elle participe encore de la
dégradation
. « Une objection vraiment méchante s’arcboute toujours contre ce qui
11
exercer le pouvoir que je suis. Elle n’est que ma
dégradation
. Et toutes les « sciences » qui étudient ses « lois » historiques ou
12
version de la théologie, sont une théologie de la
dégradation
. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel59 trouve ici son sens à la f
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ment au sens de la réalité humaine, au sens de la
dégradation
humaine, au sens du péché concret de l’homme. Et qui rendent à notre
14
n sort terrestre, et le sobre courage d’avouer sa
dégradation
. Un vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaî
15
ve est exacte dans la mesure où elle décrit notre
dégradation
. L’erreur est simplement de nommer homme cette dégradation, dont nul
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on. L’erreur est simplement de nommer homme cette
dégradation
, dont nul ne songe d’ailleurs à contester le fait, démontré par l’exi
17
jamais que relative, vouée dès sa naissance à la
dégradation
commune. Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progr
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ent déshonorés par la culture des illusions et la
dégradation
du sens de la révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’histoi
19
ns sa mission particulière en dépit de toutes les
dégradations
que le milieu inerte lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le h
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C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de
dégradation
, dans la mesure même où son effort pratique aboutit : au lieu de crée
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jamais que relative, vouée dès sa naissance à la
dégradation
commune. Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progr
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ent déshonorés par la culture des illusions et la
dégradation
du sens de la révolte. L’histoire du monde, bien loin d’être l’histoi
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ns sa mission particulière en dépit de toutes les
dégradations
que le milieu inerte lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le h
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C’est pourquoi elle est condamnée à une espèce de
dégradation
, dans la mesure même où son effort pratique aboutit : au lieu de crée
25
, et soumis à la forme des choses, — à la commune
dégradation
. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connaissent plus a
26
vement perçue et observée, l’on assiste à la même
dégradation
des instruments de la culture : — d’une part les écrivains se mettent
27
vement perçue et observée, l’on assiste à la même
dégradation
des instruments de la culture : — d’une part les écrivains se mettent
28
dants dès qu’il s’agit de la culture. Dérision et
dégradation
fatales dans le cas des régimes improvisés, par où j’entends ceux qui
29
n qui rend toute chose autre sans nulle création.
Dégradation
, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces coutumes et ces
30
e d’utiliser ingénieusement du tout fait. À cette
dégradation
de l’imagination par le conformisme, correspond une dégradation symét
31
l’imagination par le conformisme, correspond une
dégradation
symétrique par l’évasion. C’est un des sous-produits du romantisme. L
32
les conformismes les plus fades. Mais à ces deux
dégradations
de la langue, et de l’imagination qui devait maintenir la langue viva
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vement perçue et observée, l’on assiste à la même
dégradation
des instruments de la culture : — d’une part les écrivains se mettent
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dants dès qu’il s’agit de la culture. Dérision et
dégradation
fatales dans le cas des régimes improvisés, par où j’entends ceux qui
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n qui rend toute chose autre sans nulle création.
Dégradation
, de degredi, — éloignement. Et que me font alors ces coutumes et ces
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e d’utiliser ingénieusement du tout fait. À cette
dégradation
de l’imagination par le conformisme, correspond une dégradation symét
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l’imagination par le conformisme, correspond une
dégradation
symétrique par l’évasion. C’est un des sous-produits du romantisme. L
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les conformismes les plus fades. Mais à ces deux
dégradations
de la langue, et de l’imagination qui devait maintenir la langue viva
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même limite, et à bon train si l’on n’y veille ;
dégradation
et domestication de l’intelligence et de l’art. Sans que l’on puisse,
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sur une note pessimiste, et sur l’expression de «
dégradation
de la littérature, au sens où les physiciens s’intéressent à la dégra
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ure, au sens où les physiciens s’intéressent à la
dégradation
de l’énergie ». Mais cette dégradation littéraire, après tout, ne fai
42
ssent à la dégradation de l’énergie ». Mais cette
dégradation
littéraire, après tout, ne fait que traduire celle de la société. Tou
43
e qui est mesquin chez nous, n’est en fait qu’une
dégradation
de l’idéal qui devrait nous unir. La première devise des Suisses, ce
44
ort, elle se dénoue en infidélité. Qui ne sent la
dégradation
d’un Tristan qui a plusieurs Iseut ? Or ce n’est pas lui qu’il convie
45
eci à Béroul il sera le premier responsable de la
dégradation
du mythe. 15. Dans le drame de Wagner, quand le roi surprend les ama
46
rançaises de la dissociation psychologique, de la
dégradation
de « l’obstacle » extérieure, et de la reconnaissance lucide — par là
47
ort, elle se dénoue en infidélité. Qui ne sent la
dégradation
d’un Tristan qui a plusieurs Iseut ? Or ce n’est pas lui qu’il convie
48
eci à Béroul il sera le premier responsable de la
dégradation
du mythe. 17. Dans le drame de Wagner, quand le roi surprend les ama
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rançaises de la dissociation psychologique, de la
dégradation
de « l’obstacle » extérieur, et de la reconnaissance lucide — par là
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ort, elle se dénoue en infidélité. Qui ne sent la
dégradation
d’un Tristan qui a plusieurs Iseut ? Pourtant ce n’est pas lui qu’il
51
ci à Béroul, il sera le premier responsable de la
dégradation
du mythe.) Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’alibi de la passi
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rançaises de la dissociation psychologique, de la
dégradation
de « l’obstacle » extérieure, et de la reconnaissance lucide — par là
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ort, elle se dénoue en infidélité. Qui ne sent la
dégradation
d’un Tristan qui a plusieurs Iseut ? Pourtant ce n’est pas lui qu’il
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e qui est mesquin chez nous, n’est en fait qu’une
dégradation
de l’idéal qui devrait nous unir. La devise des Suisses : « Un pour t
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, et soumis à la forme des choses, — à la commune
dégradation
. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connaissent plus
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n effective du monde. Elle participe encore de la
dégradation
. « Une objection vraiment méchante s’arcboute toujours contre ce qui
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exercer le pouvoir que je suis. Elle n’est que ma
dégradation
. Et toutes les sciences qui étudient ses lois, historiques ou sociolo
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inversion de la théologie, — une théologie de la
dégradation
. L’opposition de Kierkegaard et de Hegel trouve ici son sens à la foi
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acceptait comme très vendable. Qu’il y ait là une
dégradation
de l’esprit, je pense que tout le monde l’admettra, sans chicaner sur
60
gale ! L’Amérique est tout de même un pays où les
dégradations
de l’esprit, hélas ! réelles, peuvent encore être dénoncées, et le so
61
tature policière. Cela s’est vu. C’est dans cette
dégradation
« dialectique » apparemment inévitable3, que réside la lourde réalité
62
n sont privés, dans la confusion permanente et la
dégradation
de tous leurs préjugés. La beauté, par exemple. La beauté physique n’
63
, fût-ce par une suite de laïcisations ou même de
dégradations
, parfois aussi par extension plus ou moins abusive au plan collectif.
64
es premières formes, les autres aussi, jusqu’à la
dégradation
qu’il subit de nos jours. J’ai tenté de le décrire comme un phénomène
65
acent complètement les mots. Le langage subit une
dégradation
analogue. Les nuances de pensée tendent à disparaître avec les mots q
66
a matière, l’activité désordonnée, la passion, la
dégradation
, la connaissance égarée, et obscurcie par les liens matériels et pass
67
a matière, l’activité désordonnée, la passion, la
dégradation
, la connaissance égarée et obscurcie par les liens matériels et passi
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a matière, l’activité désordonnée, la passion, la
dégradation
, la connaissance égarée et obscurcie par les liens matériels et passi
69
acent complètement les mots. Le langage subit une
dégradation
analogue. Les nuances de pensée tendent à disparaître avec les mots q
70
e le faire jadis, serait hélas illustrer la lente
dégradation
du mythe, grandiose en sa simplicité première, jusqu’au niveau des co
71
rnières passions ? Une analyse sociologique de la
dégradation
du mythe, au cours des siècles, inclinerait à cette conclusion. Elle
72
cette conclusion. Elle consisterait à montrer la
dégradation
continue et, semble-t-il, irréversible, des obstacles opposés à la pa
73
a matière, l’activité désordonnée, la passion, la
dégradation
, la connaissance égarée et obscurcie par les liens matériels et passi
74
rie, comme un manque de civilisation et comme une
dégradation
brutale de l’humanité, dès lors ne devrions-nous pas penser que les p
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s. Ils peuvent provoquer des heurts violents, une
dégradation
des valeurs, des déséquilibres sociaux et psychologiques, suivis de p
76
Nous assistons aux dernières phases d’une longue
dégradation
, ou même d’une destruction des éléments sacrés de la vie publique et
77
ècle sur le principe de Carnot et Clausius sur la
dégradation
de l’énergie, la « flèche du temps » et l’entropie, notions de base q
78
cle sur le principe de Carnot et Clausius, sur la
dégradation
de l’énergie, la « flèche du temps » et l’entropie, notions de base q
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biais d’un problème sexuel très nouveau, né de la
dégradation
des obstacles sociaux comme des interdits de la morale ? Va-t-il somb
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on croissante des différences de potentiel, de la
dégradation
croissante et irréversible des énergies les plus hautes en simple cha
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er l’égalitarisme actuel, qui en est peut-être la
dégradation
inévitable au sein d’une société moins structurée. Dans une commune e
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nature dans sa philosophie et dans son art. À la
dégradation
des valeurs spécifiques de sa race, il n’oppose pas un système de val
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nomiques certains, c’est aussi l’ère de la rapide
dégradation
de l’idéal fédéraliste qui avait animé la Résistance et la période de
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’entropie — vous voyez ce que je veux dire ? — la
dégradation
de l’énergie. L’entropie c’est la loi, le deuxième principe de la the
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t que tout ensemble de forces tend à une certaine
dégradation
de l’énergie, par exemple, l’énergie lumineuse en électricité, et d’é
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cle sur le principe de Carnot et Clausius, sur la
dégradation
de l’énergie, la « flèche du temps » et l’entropie, notions de base q
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re à provoquer des heurts violents, ou pire : une
dégradation
des valeurs indigènes, des déséquilibres sociaux ou psychologiques, s
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imaginable. L’homme échappe donc au temps et à sa
dégradation
: le retour éternel compense et annule tout. Mais le christianisme, p
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fût-ce par une suite de laïcisations, ou même de
dégradations
, parfois aussi par extension plus ou moins abusive au plan collectif.
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acent complètement les mots. Le langage subit une
dégradation
analogue. Les nuances de pensée tendent à disparaître avec les mots q
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passion dans sa beauté insoutenable, mais de ses
dégradations
. Peut-on imaginer Iseut devenant Mme Tristan ! Mais Tristan et Iseut
92
e le faire jadis, serait hélas illustrer la lente
dégradation
du mythe, grandiose en sa simplicité première, jusqu’au niveau de con
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ières passions ? ⁂ Une analyse sociologique de la
dégradation
du mythe, au cours des siècles, inclinerait à des conclusions très pe
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très pessimistes. Elle consisterait à montrer la
dégradation
continue et, semble-t-il, irréversible, des obstacles opposés à la pa
95
re. Je l’intitulerais pour ma part Rapport sur la
dégradation
des relations humaines et la dissolution des liens communautaires. On
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e : je l’intitulerais pour ma part Rapport sur la
dégradation
des relations humaines et la dissolution des liens communautaires. On
97
me lui-même, de sa réalité morale, à partir de la
dégradation
de toute existence communautaire qu’il subit aujourd’hui, et qui appe
98
que croissant entre l’Occident et le tiers-monde,
dégradation
générale des relations humaines. Devant la contre-attaque qu’elle a p
99
y a le danger, bien plus grave à mes yeux, de la
dégradation
des relations humaines et de la dissolution des liens communautaires.
100
livrés au scepticisme et à la délinquance. Cette
dégradation
des relations humaines, née des grandes villes, devrait à mon sens fa
101
du roman européen, qui semble celle d’une longue
dégradation
du mythe, peut être aussi celle d’une lente intériorisation. Le roi M
102
suspense et plaisir du lecteur. Cependant, cette
dégradation
de la passion par l’expression — sans laquelle elle ne pourrait pas s
103
villes d’aujourd’hui, on assiste à une dramatique
dégradation
des relations humaines. Mais ces États que vous dénoncez ont quand mê
104
oque la première phrase de ce livre : celui de la
dégradation
des relations humaines dans les grandes villes, et celui de l’agressi
105
sage. On voit alors se reproduire le processus de
dégradation
du civisme dont les trop grandes cités hellénistiques ont fourni le m
106
la liaison — plutôt prévue que constatée — entre
dégradation
urbaine de l’homme et dégradation de la Terre par la pollution et l’é
107
nstatée — entre dégradation urbaine de l’homme et
dégradation
de la Terre par la pollution et l’épuisement des ressources non renou
108
es somatiques et psychiques… — côté pertes : les
dégradations
du patrimoine naturel de l’humanité, et du patrimoine culturel des vi
109
nt devenus faits divers quotidiens : mesure de la
dégradation
des mœurs civiques et politiques. On entend bien que ce ne sont là qu
110
au problème global que nous posions, celui de la
dégradation
des liens humains dans les sociétés « avancées » du xxe siècle. P
111
roblème plus sérieux quoique non chiffrable de la
dégradation
des relations humaines dans le vertige des trop grandes dimensions, d
112
soit imposée de l’extérieur, soit résultant d’une
dégradation
énergétique interne raréfiant et ralentissant les échanges, plus fréq
113
a nature tout entière qui, jointes à une terrible
dégradation
des relations humaines, caractérisent notre fin de siècle avec ses vi
114
ités locales, régionales, communautaires, d’où la
dégradation
toujours plus angoissante des relations humaines dans notre société :
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la liaison — plutôt prévue que constatée — entre
dégradation
urbaine de l’homme et dégradation de la terre par la pollution et par
116
nstatée — entre dégradation urbaine de l’homme et
dégradation
de la terre par la pollution et par l’épuisement des ressources non r
117
Résurrection. Déterminisme, mimétisme collectif,
dégradation
des liens, violence : c’est l’entropie, orientée comme disait Eddingt
118
es pays. Un chiffre, un seul, en dira long sur la
dégradation
morale qu’inflige au tiers-monde le Progrès : depuis la fin de la der
119
nsemble, sont en grande partie responsables de la
dégradation
du sport. Voyez les pages sportives des journaux : le langage y est f
120
inira, comme les autres planètes, selon la loi de
dégradation
du cosmos. L’homme industriel contribue à accélérer la fin du monde e
121
nde en augmentant l’entropie, le gaspillage et la
dégradation
de l’énergie. Nous allons vers la mort tiède de l’univers. Les erreur
122
t avec une telle outrance, de « consacrer la pire
dégradation
qu’une civilisation ait imposée à l’homme »55) ? Question pathétique
123
achiniste et productiviste, elle consacre la pire
dégradation
qu’une « civilisation » ait imposée à l’homme. Une fois de plus on d
124
ne progressive transfiguration, ou vers une lente
dégradation
des énergies. Ai-je assez montré l’efficacité du diable en tant que d
125
du démon par l’effet de sa propre action. Par la
dégradation
des énergies qu’il stimule et qu’il brasse en nous, il nous entraîne
126
amique ou Principe de Carnot formule la loi de la
dégradation
irréversible de l’énergie, et Clausius nommera entropie ce qui permet
127
ù l’on voit que l’entropie n’est pas seulement la
dégradation
de l’énergie, mais la disqualification de la vertu, de la vérité et d
128
toutes nos vies et la société même : déperdition,
dégradation
continuelle de l’énergie produite en nous par les visions instantanée
129
ace du diable, mais dans l’immense, lente et sûre
dégradation
des énergies humaines qui s’accomplit à la faveur d’un Progrès matéri
130
t la domination d’un des Grands à la faveur d’une
dégradation
morale et matérielle sans précédent de l’humanité « unifiée » au plus
131
; tandis qu’au terme de cette évolution, de cette
dégradation
, on a une division complète du savoir, une désintégration remplacée,
132
a technique. Son emprise est proportionnelle à la
dégradation
du civisme : Denis de Rougemont y insiste, c’est avec la poussière de