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oids du monde et le sombre avenir du siècle. On a
dépeint
ce clerc moderne, accablé par tous les malheurs du temps, dont il fei
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e ; et le poète : « Mais où trouver des mots pour
dépeindre
, même faiblement, la merveille de la vision qui s’offrit à moi et qui
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fit la Vie même. » Non sans lucidité, Moritz a su
dépeindre
l’état de conscience qui naît de cet obscur déchirement : « C’était c
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onscience de sa fin, mais que ceux qui la veulent
dépeindre
dans sa merveilleuse violence se voient contraints de recourir au lan
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la magie, voici quel sera son rôle. Il s’agit de
dépeindre
une passion dont la violence fascinante ne peut être acceptée sans sc
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onscience de sa fin, mais que ceux qui la veulent
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dans sa merveilleuse violence se voient contraints de recourir au lan
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la magie, voici quel sera son rôle. Il s’agit de
dépeindre
une passion dont la violence fascinante ne peut être acceptée sans sc
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onscience de sa fin, mais que ceux qui la veulent
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dans sa merveilleuse violence se voient contraints de recourir au lan
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la magie, voici quel sera son rôle. Il s’agit de
dépeindre
une passion dont la violence fascinante ne peut être acceptée sans sc
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oids du monde et le sombre avenir du siècle. On a
dépeint
ce clerc moderne, accablé par tous les malheurs du temps, dont il fei
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e ; et le poète : « Mais où trouver des mots pour
dépeindre
, même faiblement, la merveille de la vision qui s’offrit à moi, et qu
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fit la vie même. » Non sans lucidité, Moritz a su
dépeindre
l’état de conscience qui naît de cet obscur déchirement : « C’était c
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n exercice. Il parle de sa totale solitude. Il se
dépeint
non seulement privé de confident, mais seul avec un moi qu’il ne comp
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de malaise social et spirituel profond, celui que
dépeignent
les œuvres de Bounine, de Sologoub, de Biély et d’Alexandre Blok. D’
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ment le taureau solaire, sa victime. La scène est
dépeinte
par huit plaques moulées de verre bleu, trouvées dans la cité mycénie
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n exercice. Il parle de sa totale solitude. Il se
dépeint
non seulement privé de confident, mais seul avec un moi qu’il ne comp
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ment le taureau solaire, sa victime. La scène est
dépeinte
par huit plaques moulées de verre bleu, trouvées dans la cité mycénie
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ar les normes puritaines qu’à l’égard de ceux qui
dépeignent
l’amour comme une extase, comme l’ivresse suprême — un mensonge grote