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1926)u Les témoignages ne manquent pas sur la
détresse
morale de la génération surréaliste. Mais tandis que la plupart en so
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sans conviction, et sous sa défense on devine une
détresse
. C’est encore une vision de l’Occident qui naît de ce petit livre si
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s criaient : « Te fais-tu le bouffon de ta propre
détresse
? » Tant d’insistance dans le mauvais goût ne m’empêchera pas de le d
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tes et sans violence, autour de ces êtres dont la
détresse
est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue sous des dehors trop p
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arcs-en-ciel de névroses dans tous les poèmes où
détresse
rimait avec maîtresse. École savait le mythe du voyage, et qu’on ne m
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ine. Tout dire, vraiment ? C’est l’exigence d’une
détresse
cachée ; elle fait bientôt considérer toute joie comme illusoire et l
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restitue au monde vers 5 heures du soir, dans la
détresse
des dernières sirènes. Au monde, c’est-à-dire à une nature dont l’usi
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urelles. Il en ressent une vague et intermittente
détresse
, — qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. La
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s et des adieux… Il y a dans tous les réveils une
détresse
et une délivrance étrangement mêlées. 18. Les clefs perdues Il
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: « … dans nos églises j’éprouve un sentiment de
détresse
aiguë, ou bien je m’y ennuie. » Et l’on découvre soudain que cette fe
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s et des adieux… Il y a dans tous les réveils une
détresse
et une délivrance étrangement mêlées. xviii Les clefs perdues
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s et des adieux… Il y a dans tous les réveils une
détresse
et une délivrance étrangement mêlées. Les clefs perdues Il faud
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es et beaucoup de pays, parfois à la faveur de la
détresse
des masses déracinées et déportées, parfois aussi à la faveur d’un ac
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re étonnante que celle de ce commentaire né de la
détresse
quotidienne d’un obscur pasteur de campagne, et dans lequel, soudain,
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ous ne prenons pas les hommes au sérieux quand la
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de leur existence les a conduits à nous, je le répète, si nous ne les
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pèche, elle désespère, elle touche le fond de la
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humaine. C’est un vieux pasteur un peu ivrogne, un vieil ours intrait
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nt alors d’étranges et magnifiques lettres sur la
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humaine devant Dieu, que le héros adresse à « son muet confident », l
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le a péché gravement, elle a touché le fond de la
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humaine. C’est un vieux pasteur un peu ivrogne, un vieil ours intrait
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mais eu ce cri, qui n’aurait jamais éprouvé cette
détresse
! Quant à moi, pendant que je réfléchissais à ce que je devais vous d
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exalter, mais tel qu’il est dans la réalité de sa
détresse
et de son espérance ; et si l’Éros n’a pas de prochain, — n’est-on pa
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voitises les conduisent à ne rien faire dans leur
détresse
qui n’irrite leur amertume… Celui qui tend tous ses désirs vers un bo
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n par la nation soit autre chose qu’une mesure de
détresse
. C’est repousser la menace immédiate, mais l’aggraver alors en la fai
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es notre union, toi seul es notre paix ! Dans la
détresse
, c’est vers toi que je crie ! Seigneur, aie pitié de nous ! Scène
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exalter, mais tel qu’il est dans la réalité de sa
détresse
et de son espérance ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas
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voitises les conduisent à ne rien faire dans leur
détresse
qui n’irrite leur amertume… Celui qui tend tous ses désirs vers un bo
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n par la nation soit autre chose qu’une mesure de
détresse
. C’est repousser la menace immédiate, mais l’aggraver alors en la fai
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exalter, mais tel qu’il est dans la réalité de sa
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et de son espérance ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas
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voitises les conduisent à ne rien faire dans leur
détresse
qui n’irrite leur amertume… Celui qui tend tous ses désirs vers un bo
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n par la nation soit autre chose qu’une mesure de
détresse
. C’est repousser la menace immédiate, mais l’aggraver alors en la fai
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es et beaucoup de pays, parfois à la faveur de la
détresse
des masses militaires et civiles déracinées et déportées, parfois aus
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s et des adieux… Il y a dans tous les réveils une
détresse
et une délivrance étrangement mêlées. Les clefs perdues Il faud
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chose, moins pour aller au secours d’un allié en
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que pour prévenir sa victoire. Il n’est pas dit que les Russes accept
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es et beaucoup de pays, parfois à la faveur de la
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des masses déracinées et déportées, parfois aussi à la faveur d’un ac
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mâles, qui formulent et dirigent, et, dans notre
détresse
complaisante, ne souhaitons-nous plus qu’être séduits et passivement
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it. Et la Nuit engendra de terribles enfants : la
Détresse
, le Trépas, la Mort, les Parques, Némésis, et tout ce qui cause la pe
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ues, Némésis, et tout ce qui cause la peine et la
détresse
des hommes ; mais encore, « seule et sans dormir avec personne », le
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it. Et la Nuit engendra de terribles enfants : la
Détresse
, le Trépas, la Mort, les Parques, Némésis, et tout ce qui cause la pe
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ues, Némésis, et tout ce qui cause la peine et la
détresse
des hommes ; mais encore, « seule et sans dormir avec personne », le
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t la souffrance et la mort, se sent au fond de la
détresse
, séparé des hommes et de Dieu. Le sentiment de la misère humaine leur
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fis avec tristesse, larmes, grande sollicitude et
détresse
… Maintenant, si je voulais réciter les divers combats par lesquels le
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rda, et voyant dans mes yeux une bonne volonté en
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: « C’est très simple et toute la méthode tient en trois mots : pens
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tes et sans violence, autour de ces êtres dont la
détresse
est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue sous des dehors trop p
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rda, et voyant dans mes yeux une bonne volonté en
détresse
: « C’est très simple, dit-il. Cela tient en trois mots : pensez au n
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stitue au monde vers cinq heures du soir, dans la
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des dernières sirènes. Au monde, c’est-à-dire à une nature dont l’usi
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urelles. Il en ressent une vague et intermittente
détresse
— qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasthénie. » L