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t rendait des tommies. La machine scolaire, elle,
dévore
des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’op
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t rendait des tommies. La machine scolaire, elle,
dévore
des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve. Durant l’op
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ui-là même qui, chez nous, consacre ses loisirs à
dévorer
des prix Goncourt, justifiant les plus grosses manœuvres publicitaire
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auté : Lequel nous vaudra donc mieux, qu’un loup
dévore
notre charogne ou que des citoyens en repaissent leurs yeux et conten
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, depuis peu27. Et c’est ainsi que la physiologie
dévore
tout ce que la métaphysique avait laissé du psychologue, qui devient
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oulette de Léon Blum n’empêchera pas les loups de
dévorer
les brebis. Mais dira-t-on, le Populaire n’a-t-il pas proposé de nati
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ts, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui
dévore
nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses, meurtris
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nce, mais ô miracle, les lions et les licornes se
dévorent
, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît
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us (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel
dévore
mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’unisse étroitement à toi,
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armée : « Le lion ne se couchera plus qu’il n’ait
dévoré
sa proie ! » Eh bien ! après Grandson, il ne lui restait plus qu’à dé
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ien ! après Grandson, il ne lui restait plus qu’à
dévorer
ses mains de rage ! Après Morat, son fou prophétisait : « Prince couv
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ts, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui
dévore
nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses, meurtris
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nce, mais ô miracle, les lions et les licornes se
dévorent
, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît
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us (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel
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mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’unisse étroitement à toi,
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ts, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui
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nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes, ivresses, meurtris
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nce, mais ô miracle, les lions et les licornes se
dévorent
, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît
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us (thème des « aubes ») : Que ton feu spirituel
dévore
mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’unisse étroitement à toi,
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écouvrent bientôt les tiroirs, ils les ouvrent et
dévorent
les bananes. On répète le manège un grand nombre de fois, pour habitu
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ls découvrent bientôt les tiroirs, les ouvrent et
dévorent
les bananes. On répète le manège un grand nombre de fois, pour habitu
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ournée, que je rugisse pendant la nuit, et que je
dévore
les tapis ? Voulez-vous que je prenne des airs ? Ou que j’écrive avec
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ournée, que je rugisse pendant la nuit, et que je
dévore
les tapis ? Voulez-vous que je prenne des airs ? Ou que j’écrive avec
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ls découvrent bientôt les tiroirs, les ouvrent et
dévorent
les bananes. On répète le manège un grand nombre de fois, pour habitu
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l’antique injonction du Sphinx : devine, ou je te
dévore
! Une constante énergie de l’énoncé. Et une grande force d’exclusion.
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mettent-elles pas à l’heure européenne ? L’Europe
dévore
les nuits et les jours de Denis de Rougemont. Il ne peut écrire de li
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l’antique injonction du Sphinx : devine, ou je te
dévore
! Une constante énergie de l’énoncé. Et une grande force d’exclusion.
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l’antique injonction du Sphinx : devine, ou je te
dévore
! Une constante énergie de l’énoncé. Et une grande force d’exclusion.
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politiques de la méthode : « La machine scolaire
dévore
des enfants tout vifs et rend des citoyens à l’œil torve » ; le lavag
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ns les mains, et quand tu l’auras pris, mange-le,
dévore
-le ; il te sera très amer aux entrailles mais très doux à la bouche e
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porter d’éléments de solution. Devine ou je te
dévore
! dit le Sphinx à Œdipe, qui n’a le droit de répondre que d’un mot. L
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formes neuves de la liberté. « Invente, ou je te
dévore
! », nous dit le Sphinx assis sur le seuil du futur. « 1984 » désigna
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ans les Hymnes à la nuit : Que ton feu spirituel
dévore
mon corps, qu’en une étreinte aérienne je m’unisse étroitement à toi,
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planches le même décor, celui d’un théâtre qui se
dévore
, ce sont sous les flèches de lumière les mêmes protagonistes, pères,