1 s scrupules à sa justification, « prêt à tous les effacements  » (p. 59). Là où d’autres triompheraient, il met une sourdine. Car il

2 se de sain et de profondément démocratique dans l’ effacement volontaire des plus grands Suisses de ce temps-là. Mais aujourd’hui,

3 se de sain et de profondément démocratique dans l’ effacement volontaire des plus grands Suisses de ces temps-là. Mais aujourd’hui,

4 dre parce que la réponse n’est pas la nôtre ; cet effacement de l’individu, avouant (non sans humour) bien des incertitudes, comme

5 ment, et rien n’est auguste à cette heure comme l’ effacement visible de ta frontière. Résigne-toi à ton immensité. Adieu Peuple !

6 nomme décolonisation, ne va-t-il pas entraîner l’ effacement progressif de cette « européisation » de la planète ? Il est difficil

7 nomme décolonisation, ne va-t-il pas entraîner l’ effacement progressif de cette « européisation » de la planète ? Il est difficil

8 me qui est en train de s’instaurer entre les Six ( effacement des frontières économiques), certains dynamismes nouveaux se trouvero

9 es programmes officiels, lesquels tablaient sur l’ effacement des réalités régionales et souvent même en proscrivaient l’étude, voi

10 s États par décentralisation de l’administration, effacement des frontières, renaissance ou formation de communautés organiques d’

11 a doctrine simpliste (jacobins et Napoléon), de l’ effacement systématique des pouvoirs régionaux devant le seul pouvoir des bureau

12 et mass médias), par une politique systématique d’ effacement des réalités régionales et des groupes, au profit de l’abstrait natio

13 personne. « Toutes ces violences aboutissent à l’ effacement des différences », écrit René Girard, pour lequel au contraire « l’or

14 ns tendent vers l’infini, que sur des conduites d’ effacement de soi au service du prochain dans la communauté, et les besoins devi