1
astique se tient là-bas dans un rayon échappé des
Enfers
— auxquels je crois encore, et pas seulement pour le pittoresque. — A
2
génération qui, après tant de sarcasmes contre l’
enfer
bourgeois, n’a trouvé d’autre salut que l’abandon à quelques obsessio
3
fumée, on respire une lourde obscurité qui sent l’
enfer
. Je ne pense plus qu’ « au souffle »… Mais alors tout s’allume et voi
4
ience sans cesse remise en question, la Saison en
enfer
est le drame d’une pureté avide, et son destin se joue d’un coup. La
5
me d’aujourd’hui peut produire pour se tirer de l’
Enfer
, où il s’est mis. 11. Entendons par ce terme si vague l’activité cré
6
sque plus personne n’y croit avec sérieux, ni à l’
enfer
? Quand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse tuer pour
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fumée, on respire une lourde obscurité qui sent l’
enfer
. Je ne pense plus qu’« au souffle »… Mais alors tout s’allume et voic
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fumée, on respire une lourde obscurité qui sent l’
enfer
. Je ne pense plus qu’« au souffle »… Mais alors tout s’allume et voic
9
Ainsi se défend la Logique. Elle n’a pas tort. L’
enfer
logique est sans défaut. Le sens exact d’une question n’est donné que
10
ns inoubliables. Par ailleurs, cette descente aux
enfers
de notre âme fait songer à Dostoïevski. Dans La Répétition 4, on trou
11
par la lecture de son journal, — mais qui porte l’
enfer
dans son âme ! — Kierkegaard a montré « le comique infini ». Il faut
12
int là ce que toute la Bible nous désigne comme l’
enfer
même : ne plus pouvoir échapper au temps, ne plus pouvoir mourir, ne
13
qui pénètre dans les profondeurs de la Saison en
enfer
de Rimbaud : « Sur les routes, par les nuits d’hiver, sans gîte, sans
14
r de sa portée scientifique ! 28. Une saison en
enfer
. (Mauvais sang). C’est Rimbaud qui souligne les derniers mots. 29.
15
pérée s’étend mystérieusement sur ces quartiers d’
enfer
. Les crimes diminuent, les enfants s’instruisent, des misères sont so
16
ne dictature étrangère comme d’un paradis ou d’un
enfer
. Mais : je constate que la poésie telle que l’entendent beaucoup de j
17
ne dictature étrangère comme d’un paradis ou d’un
enfer
. Mais : je constate que la poésie telle que l’entendent beaucoup de j
18
ou édifiante. Tolstoï, lui, la décrit comme un «
enfer
». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant donné que les humains
19
ffet une traversée des trois mondes de l’au-delà,
enfer
, purgatoire, paradis, avec les mêmes rencontres et péripéties, et bea
20
d’un qui s’attend à la perdre et qui dira dans l’
enfer
: — Ô maudits, j’ai vu l’espérance des bienheureux ! S’agit-il donc
21
te a vengé d’avance les troubadours en mettant en
Enfer
des « chevaliers de Marie », moines italiens appelés aussi « chevalie
22
ou édifiante. Tolstoï, lui, la décrit comme un «
enfer
». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant donné que les humains
23
l’hommage de son âme par un salut et un baiser. L’
enfer
étant la prison de la matière, Lucifer, l’ange révolté, n’y peut régn
24
ruits, « soumis à toute ruine », et tourmentés en
enfer
. Noble Amour a promis qu’il en serait ainsi, là sera la lamentation
25
nds-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en
enfer
) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconforté par t
26
d’un qui s’attend à la perdre et qui dira dans l’
enfer
: — Ô maudits, j’ai vu l’espérance des bienheureux ! S’agit-il donc d
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te a vengé d’avance les troubadours en mettant en
Enfer
des « chevaliers de Marie », moines italiens appelés aussi « chevalie
28
ou édifiante. Tolstoï, lui, la décrit comme un «
enfer
». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant donné que les humains
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l’hommage de son âme par un salut et un baiser. L’
enfer
étant la prison de la matière, Lucifer, l’ange révolté, n’y peut régn
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ruits, « soumis à toute ruine », et tourmentés en
enfer
. Noble Amour a promis qu’il en serait ainsi, là sera la lamentation
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nds-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en
enfer
) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconforté par t
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d’un qui s’attend à la perdre et qui dira dans l’
enfer
: — Ô maudits, j’ai vu l’espérance des bienheureux ! S’agit-il donc
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te a vengé d’avance les troubadours en mettant en
Enfer
des « chevaliers de Marie », moines italiens appelés aussi « chevalie
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ou édifiante. Tolstoï, lui, la décrit comme un «
enfer
». Et je lui fais un plus large crédit ! Étant donné que les humains
35
âtre qui sera, n’en doutons pas, l’éclairage de l’
enfer
… Les clients : demi-luxe et demi-monde. Des femmes qui ont voulu ress
36
ésaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son
Enfer
. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir et sa jalousie forcenée se
37
comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’
enfer
, ni de Maître de l’enfer. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non pl
38
il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître de l’
enfer
. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non plus de faute ni d’Auteur d
39
’a de joie par sa présence… Dans ce dédale de nos
enfers
privés, quel talisman pourrions-nous emporter pour déjouer les ruses
40
rien, et Tertullien plus énergique : « Porte de l’
Enfer
! » Mais Goethe et tous les romantiques la divinisent. Souvenez-vous
41
hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de l’
Enfer
que pour ceux qui se laissent aller à voir en elle une porte du Ciel.
42
escendons maintenant au dernier cercle : dans cet
enfer
né du vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’enfer de la pas
43
u vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’
enfer
de la passion qui n’a pas d’autre objet que le malheur qu’elle va cré
44
tit. 41. Le coup de pistolet Je me crois en
Enfer
, donc j’y suis. Rimbaud. Évidemment, je n’aurais pas dû entrer. On
45
le monde entier, avant sa chute grandiose dans un
Enfer
dont encore il reste le Roi. En l’an 547, le concile de Constantinopl
46
ésaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son
Enfer
. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir et sa jalousie forcenée se
47
s un nouveau tour de la spirale qui pointe vers l’
Enfer
: il nous accuse avec une angélique précision, sans laisser place à l
48
comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’
enfer
, ni de Maître de l’enfer. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non pl
49
il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître de l’
enfer
. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non plus de faute ni d’Auteur d
50
cès en soi, de puissance ou de richesse en soi. L’
Enfer
est là. Mais je voudrais donner un autre exemple des méfaits de l’ins
51
le Roi de l’Éternité. Le temps sans fin, voilà l’
Enfer
. La présence parfaite, voilà l’Éternité. 44. Le diable auteur
52
e a-t-il raison lorsqu’il inscrit au seuil de son
Enfer
: Fecemi la divina potestate La somma sapienza e il primo amore. No
53
’a de joie par sa présence. Dans ce dédale de nos
enfers
privés, quel talisman pourrions-nous emporter pour déjouer les ruses
54
rien, et Tertullien plus énergique : « Porte de l’
Enfer
! » Mais Goethe et tous les romantiques la divinisent. Souvenez-vous
55
hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de l’
Enfer
que pour ceux qui se laissent aller à voir en elle une porte du Ciel.
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escendons maintenant au dernier cercle : dans cet
enfer
né du vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’enfer de la pas
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u vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’
enfer
de la passion qui n’a pas d’autre objet que le malheur qu’elle va cré
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it. 57. Le coup de pistolet Je me crois en
Enfer
, donc j’y suis. Rimbaud Évidemment, je n’aurais pas dû entrer. On
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le monde entier, avant sa chute grandiose dans un
Enfer
dont encore il reste le Roi. En l’an 547, le concile de Constantinopl
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ésaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son
Enfer
. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir et sa jalousie forcenée se
61
s un nouveau tour de la spirale qui pointe vers l’
Enfer
: il nous accuse avec une angélique précision, sans laisser place à l
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comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’
enfer
, ni de Maître de l’enfer. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non pl
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il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître de l’
enfer
. S’il n’y a pas de juge, il n’y a pas non plus de faute ni d’Auteur d
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cès en soi, de puissance ou de richesse en soi. L’
Enfer
est là. Mais je voudrais donner un autre exemple des méfaits de l’ins
65
le Roi de l’Éternité. Le temps sans fin, voilà l’
Enfer
. La présence parfaite, voilà l’Éternité. 44. Le diable auteur «
66
e a-t-il raison lorsqu’il inscrit au seuil de son
Enfer
: Fecemi la divina potestate La somma sapienza e il primo amore. No
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’a de joie par sa présence. Dans ce dédale de nos
enfers
privés, quel talisman pourrions-nous emporter pour déjouer les ruses
68
rien, et Tertullien plus énergique : « Porte de l’
Enfer
! » Mais Goethe et tous les romantiques la divinisent. Souvenez-vous
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hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de l’
Enfer
que pour ceux qui se laissent aller à voir en elle une porte du Ciel.
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escendons maintenant au dernier cercle : dans cet
enfer
né du vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’enfer de la pas
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u vertige et de l’effroi sinistre de l’orgueil, l’
enfer
de la passion qui n’a pas d’autre objet que le malheur qu’elle va cré
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tit. 57. Le coup de pistolet Je me crois en
Enfer
, donc j’y suis. Rimbaud. Évidemment, je n’aurais pas dû entrer. On
73
ience sans cesse remise en question, la Saison en
Enfer
est le drame d’une pureté avide, et son destin se joue d’un coup. La
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u bien aussi grave qu’au temps d’Hitler. C’est un
enfer
à notre porte. Et rien n’est aussi contagieux. Il s’agirait de l’exor
75
fait, à la parfaite possession de soi-même, à son
enfer
ou à son ciel, dans la consommation de tout son être, au faîte inconc
76
âtre qui sera, n’en doutons pas, l’éclairage de l’
enfer
… Les clients : demi-luxe et demi-monde. Des femmes qui ont voulu ress
77
rrai remonter cette rue. C’est tout, mais c’est l’
enfer
, c’est l’horreur absolue. Il faut fuir, et je me réveille8. Je n’ai r
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fumée, on respire une lourde obscurité qui sent l’
enfer
. Je ne pense plus qu’ « au souffle »… Mais alors tout s’allume et voi
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âtre qui sera, n’en doutons pas, l’éclairage de l’
enfer
… Les clients : demi-luxe et demi-monde. Des femmes qui ont voulu ress
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rrai remonter cette rue. C’est tout, mais c’est l’
enfer
, c’est l’horreur absolue. Il faut fuir, et je me réveille89. Je n’ai
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fait, à la parfaite possession de soi-même, à son
enfer
ou à son ciel, dans la consommation de tout son être, au faîte inconc
82
e qu’on veut. Il ne s’agit pas d’anticipations. L’
Enfer
des hommes dépossédés de leur propre pensée existe près de nous : sa
83
re à mon idée ») et par suite celle d’autrui (« L’
enfer
, c’est les autres »). Il n’en marque pas moins la limite de l’arrogan
84
truits « soumis à toute ruine », et tourmentés en
enfer
. Noble Amour a promis qu’il en serait ainsi, là sera la lamentation
85
nds-moi, de peur que je ne sois retenu là-bas (en
enfer
) ; en tous lieux je me tiens pour ton prisonnier et, réconforté par t
86
rmé : Poésies. 50. Arthur Rimbaud : Une saison en
enfer
. 51. Charles Péguy : L’Argent. 52. G. Apollinaire : Alcools. 53. Marc
87
cet amour) se fait son ciel, s’il est bon, ou son
enfer
, s’il est mauvais », dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem. Et da
88
s du gnostique fidèle, c’est son corps même, et l’
enfer
de l’homme sans foi ni connaissance c’est également son corps même. »
89
oins chaste, mais toute son œuvre mène le train d’
enfer
d’un « Don Juan de la connaissance », jusqu’au jour où il s’arrête, «
90
’eau-forte. C’est pourquoi il finit par désirer l’
enfer
, — c’est la dernière connaissance qui le séduit. Peut-être qu’elle au
91
nce incolore qui est la malédiction originelle, l’
enfer
cosmique. L’incarnation présente est notre grâce. Elle seule crée du
92
e peut que mal aimer les autres et penser que « l’
enfer
c’est les autres » : c’est qu’il se croit inacceptable et se voudrait
93
éternité. — Don Juan, joyeux moments, éternité d’
enfer
. Un contraste aussi pur, terme à terme, implique évidemment un lien d
94
oins chaste, mais toute son œuvre mène le train d’
enfer
d’un « Don Juan de la connaissance », jusqu’au jour où il s’arrête, «
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’eau-forte. C’est pourquoi il finit par désirer l’
enfer
, — c’est la dernière connaissance qui le séduit. Peut-être qu’elle au
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éternité. — Don Juan, joyeux moments, éternité d’
enfer
. Un contraste aussi pur, terme à terme, implique évidemment un lien d
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cet amour) se fait son ciel, s’il est bon, ou son
enfer
, s’il est mauvais », dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem. Et da
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s du gnostique fidèle, c’est son corps même, et l’
enfer
de l’homme sans foi ni connaissance c’est également son corps même. »
99
e peut que mal aimer les autres et penser que « l’
enfer
c’est les autres » : c’est qu’il se croit inacceptable et se voudrait
100
nce incolore qui est la malédiction originelle, l’
enfer
cosmique. L’incarnation présente est notre grâce. Elle seule crée du
101
nité d’une main ferme à sa perte, la mènerait à l’
enfer
sur la Terre ; et que le seul espoir d’y échapper sans crime ne pourr
102
l a 46 ans, et il n’a composé de sa Comédie que l’
Enfer
.) Le paradoxe central de cet ouvrage, en lequel on a voulu voir la pr
103
ans le dogme, Dieu sans le prêtre, le ciel sans l’
enfer
, l’amour sans la haine. Quelques années plus tard la sauvage répress
104
re à mon idée ») et par suite celle d’autrui (« L’
enfer
, c’estd les autres »). Il n’en marque pas moins la limite de l’arroga
105
le souvenir d’une tête ? C’est terrible, c’est l’
enfer
», ajoute-t-il en inclinant sa tête aux traits profonds. À la terrass
106
ince colonne de terre et se plaignait — « c’est l’
enfer
! », disait-il. De la matière fuyait entre ses doigts, s’effilait et
107
itiation sexuelle ; au lieu de menaces d’aller en
enfer
et d’exorcismes, on prescrit une psychanalyse, certains médicaments,
108
sibles de notre être. Hanté par les visions de l’
enfer
de Castiglione, il se décide à rassembler ses souvenirs, trois ans pl
109
-mêle avec les défenseurs de la justice. Mais cet
enfer
n’aura pas prévalu contre la vision juste d’un vieillard en colère, e
110
le jette à la poubelle ; pour moi, c’est cela, l’
Enfer
. Pour combattre ce que vous appelez l’Enfer, croyez-vous à la révolut
111
la, l’Enfer. Pour combattre ce que vous appelez l’
Enfer
, croyez-vous à la révolution ? Oui, si elle apporte la liberté, si el
112
rmateur qui s’attachait, paraît-il, à sauver de l’
enfer
des filles débauchées… S’il est exact que Robert d’Arbrissel préconis
113
ges mondiales, c’est proprement, littéralement, l’
Enfer
né du Progrès, la Géhenne qui était, au temps de Jésus, la décharge m
114
rpétuel sont nées les légendes médiévales sur « l’
Enfer
où damnés sont bouillus » (Villon).] L’homme est en train de faire mo
115
ans doute un paradis pour les gouvernants mais un
enfer
pour les écrivains. Aucun écrivain digne de ce nom ne peut accepter d
116
dire les risques de guerre. Pluton est maître des
Enfers
, il est aveugle comme les taupes. Mais le Soleil vient du ciel, vient
117
— dieu de l’énergie solaire — à Pluton — dieu des
Enfers
, dieu aveugle. On s’est servi de son nom pour baptiser le plutonium,
118
mmenses richesses, il s’ennuie tellement dans ses
enfers
qu’il voudrait tuer le plus grand nombre de gens possible pour avoir
119
-être de la masse ouvrière. Ainsi naquit la ville
enfer
de Détroit. Ainsi se renforcèrent par la suite nos États, maîtres de
120
nier au monde, sans possibilité d’aimer, je vis l’
enfer
. Mais si l’aimée subsiste devant moi, l’angoisse pure devient bonheur
121
goisse pure devient bonheur sans fin, dialogue. L’
enfer
, c’est l’absence des autres. 2. La société occidentale ayant passé e
122
utonium, règne Pluton, dieu de la Richesse et des
Enfers
: nous y voilà ! « Ce dieu, nous dit la Fable, était si noir et si la
123
e femme. Il faisait sa demeure ordinaire dans les
Enfers
, et désirait, dit-on, la mort de tout le monde pour peupler son royau
124
nt pas de points de repère. Pluton s’ennuyait aux
enfers
et voulait y rabattre le plus de monde possible. Il voulait des morts
125
ndre la liberté. Au mot de Jean-Paul Sartre : « L’
enfer
c’est les autres », il réplique : « L’enfer c’est l’absence des autre
126
: « L’enfer c’est les autres », il réplique : « L’
enfer
c’est l’absence des autres, c’est la foule solitaire. » Pour que le m
127
dire les risques de guerre. Pluton est maître des
enfers
, il est aveugle comme les taupes. Mais le soleil vient du ciel, vient
128
n centre, on finisse par rencontrer le maître des
Enfers
, j’ai nommé Pluton. Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ? Si
129
traires. Adaptons-nous au ciel gris plutôt qu’à l’
enfer
brûlant ! Habituons-nous à donner priorité à nos finalités sur les «
130
dire les risques de guerre. Pluton est maître des
Enfers
, il est aveugle comme les taupes. Mais le Soleil vient du ciel, vient
131
tant de faire peur ni d’évoquer les terreurs de l’
Enfer
, le rictus effrayant du démon, et les horreurs du péché rendues sensi
132
i ne s’éteint point », devenu le feu éternel de l’
Enfer
, au Moyen Âge. Dans la Géhenne on ne brûlait que des cadavres et des
133
ute une théorie sur la position géographique de l’
Enfer
. C’est sa position psychologique qui seule importe à l’homme de notre
134
lle. Qui peut croire un instant, aujourd’hui, à l’
Enfer
cave centrale de la planète Terre, sinon celui qui pourrait croire en
135
e. Je ne connais pas de meilleure définition de l’
Enfer
: le lieu de la permanente réduction des déchets de ce qui n’a plus d
136
rige l’attention sur le diable non pas imaginé en
Enfer
ou au Ciel, c’est-à-dire refoulé dans l’inconscient ou projeté dans l
137
dire les risques de guerre. Pluton est maître des
Enfers
, il est aveugle comme les taupes. Mais le soleil vient du ciel, vient
138
nucléaires, nourries du métal de Pluton, roi des
Enfers
, rayonne une forme d’énergie liée par sa nature et par ses origines a
139
urope et pour la paix, le Rimbaud d’Une saison en
enfer
, et tout près de nous, le Valéry de Variété et de Tel quel, l’André B
140
nsionnelle ne peut être qu’une préfiguration de l’
enfer
. Si l’homme a une chance d’y échapper, ce n’est point en méconnaissan
141
l’armée. C’est en quelque sorte Pluton, Dieu des
enfers
et de la richesse contre Zeus. Pluton était aveugle comme une taupe e