1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 nt, je le comprends par éclairs, mais une secrète espérance m’emporte de nouveau, premier gage du divin… Reprendre l’offensive —
2 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
2 des confusions sur quoi se fondent ces poétiques espérances ou ces craintes imaginaires. Beaucoup pourtant subsistent encore. Or,
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
4 les souffrances sont encore là, mais non plus les espérances de la religion, et l’âme, qui montait autrefois, est retombée sur la
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
5 le moralisme survivant, c’est au nom d’une grande espérance . Que devons-nous attendre ? Tout, d’un réveil dogmatique qui, s’il tr
6 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,
7 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
7 st rien, en vérité, qu’un acte de soumission et d’ espérance , car ce n’est pas aux hommes que nous disons : nous voici. a. Roug
8 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
8 Dieu : notre action baigne dans l’« angoisse de l’ espérance  »1. 1. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant ar
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
9 , raté, dont nous mourrons, — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter avec le « bon cœur 
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,
11 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
11 ent l’homme en esprit et en corps, seul l’amour d’ espérance , charité de la foi, nous permet d’apporter à la Nature une réponse qu
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
12 n philosophie des motifs tels que le désespoir, l’ espérance , la présence ou la fidélité. Certes, l’exemple de la phénoménologie a
13 re. Démarche négative du désespoir, positive de l’ espérance , — elles sont inséparables jusqu’au bout, note M. Marcel, qui m’appar
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
14 respondre à chascun qui vont demande rayson de l’ espérance qui est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer que le protestant d’au
15 ns simplement, désormais, de « donner raison de l’ espérance qui est en nous ». À nos lecteurs comme à nous-mêmes, nous demanderon
14 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
16 l’échec, n’a jamais su tirer de ses défaites une espérance plus certaine, une féconde humiliation. L’homme des foules n’a que de
17 e connaître sans cesse, dans l’angoisse et dans l’ espérance , la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose.
15 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
18 posent sur une constatation historique ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur confère un aspect un
16 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
19 evise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de nos idoles, et
20 ces négations, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le droit de se dire révolutionnaire. Quelle autre v
17 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
21 bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance , celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et qu’il rejoint. ⁂ Not
18 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
22 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
23 ient pas voulue, qui les détourne de toutes leurs espérances . Ce n’est point qu’ils aient peur, mais tout leur apparaît absurde. E
24 sent partout cette interrogation, cette anxieuse espérance , dans le livre d’Edschmid. Et l’on découvre, pour la première fois pe
25 voir éprouvé par ce livre la grandeur d’une telle espérance , si l’on veut juger sainement la politique étrange de cette nation. M
20 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
26 la preuve qu’on l’a traversé, et qu’on a saisi l’ espérance qui le transcende et qui le juge. On a dit de Sara Alelia que c’est u
21 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
27 l’échec, n’a jamais su tirer de ses défaites une espérance plus certaine, une féconde humiliation. L’homme des foules n’a que de
28 e connaître sans cesse, dans l’angoisse et dans l’ espérance , la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose.
22 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
29 posent sur une constatation historique ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur confère un aspect un
23 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
30 evise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de nos idoles, et
31 ces négations, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le droit de se dire révolutionnaire. Quelle autre v
32 Dieu : notre action baigne dans l’« angoisse de l’ espérance  ».21 21. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant
24 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
33 bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance , celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et qu’il rejoint. ⁂ No
25 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
34 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa
26 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
35 On s’exalte à qui mieux mieux sur les « immenses espérances  » éveillées par le communisme. On prêche, on s’attendrit, on excommun
27 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
36 Paul. Cette attente persévérante, cette action d’ espérance , voilà le sens qu’il faut donner à l’imagination qui crée. Si l’imagi
37 une force concrète, elle est cela : une vision d’ espérance , un prolongement, une marche vers la plénitude. Deviner la forme de n
28 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
38 temps… Il y a dans ces trois mots le secret de l’ espérance insensée qui possède la jeunesse hitlérienne. Leurs épreuves ne serai
29 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
39 t prêcher, dans la crainte et le tremblement, son espérance . ⁂ Nous nous séparâmes sur ces mots. Les « barthiens » qui avaient pa
30 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
40 apparaître, à première vue, plus conforme à notre espérance de justice. Vous dirai-je que c’est précisément à cause de cette simi
41 e c’est précisément à cause de cette similitude d’ espérances , à cause de cette convergence apparente, à cause de cette tentation t
42 st sa liberté dans l’action, dans l’échec, dans l’ espérance et la protestation, dans l’annonce d’un monde nouveau. ⁂ Je n’ai pas
43 saisissent cette chance ; c’est encore une jeune espérance , mais c’est déjà une exigence directe, une possibilité magnifique. Je
31 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
44 a foi chrétienne — L’Église et les sacrements — L’ espérance eschatologique. Le trait le plus marquant est leur « biblisme ». Bien
32 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
45 On s’exalte à qui mieux mieux sur les « immenses espérances  » éveillées par le communisme. On prêche, on s’attendrit, on excommun
33 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
46 cial, et l’union des églises non romaines, grande espérance œcuménique et internationale née dans le « désarroi » de l’après-guer
34 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
47 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p
48 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no
49 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
50 de la bourgeoisie cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse, cette conscience d’aller dans le sens d’un grandios
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
51 ple sans mesure, sans limites et sans foyer. Sans espérance , il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales. S
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
52 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p
53 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
54 exige tout, et qui impose à tout la mesure de son espérance  ? Car il ne s’agit de rien d’autre, à chaque instant, que de cette fi
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
55 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
56 à ceux qui gardent son commandement. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le tem
57 t en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le temps détruit l’acte, mais l’acte est juge du te
41 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
58 de la bourgeoisie cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse, cette conscience d’aller dans le sens d’un grandios
42 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
59 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p
60 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no
43 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
61 exige tout, et qui impose à tout la mesure de son espérance  ? Car il ne s’agit de rien d’autre, à chaque instant, que de cette fi
44 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
62 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o
45 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
63 ressort de toute action recréatrice. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le tem
64 t en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le temps détruit l’acte, mais l’acte est juge du te
46 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
65 oqué parmi les « exploités » un tel soulèvement d’ espérances , de telles vagues d’adhésions enthousiastes, si aveuglement enthousia
66 ur, et son amertume salutaire. C’est que la seule espérance véritable et certaine n’a plus été prêchée au monde avec une force d’
67 en converti commence donc par la fin que visait l’ espérance communiste. Il possède déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de
68 montre dès maintenant un peu de la réalité de mes espérances . » Mais l’espérance finale du communisme, c’est la libération de l’ho
69 un peu de la réalité de mes espérances. » Mais l’ espérance finale du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui m
70 qu’un futur théorique, — si passionnée que soit l’ espérance du marxiste — et non pas une présence exigeante et totalement animatr
47 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
71 ple sans mesure, sans limites et sans foyer. Sans espérance , il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales. S
48 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
72 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8. 22-24). Parler de la Nature comm
49 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
73 » Phrase étonnante à la fois par la grandeur de l’ espérance qu’elle proclame et par la confusion de sa proclamation. Que « toutes
74 re — s’il n’y avait pas, consciente ou non, cette espérance ou cette « attente ardente de la créature », comme dit saint Paul. Ma
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
75 mais à cause de celui qui l’y a soumise — avec l’ espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption pour a
76 uffre des douleurs de l’enfantement… Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 20-24). 24 mai 1934 On di
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
77 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature com
52 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
78 partout ailleurs, parce qu’ils représentaient une espérance . Je rejoins ici ma seconde thèse : le totalitarisme a triomphé parce
53 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
79 . Je préfère opposer un pessimisme actif à tant d’ espérances bernées. al. Rougemont Denis de, « Une révolution refoulée », La N
54 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
80 ’étant pas nées d’une création spirituelle, d’une espérance ouvrant l’avenir, elles ne savent justifier leur existence que par le
81 mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance . Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour
82 e aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’ espérance , et non la peur ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux
55 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
83 e son peuple, et incarner à ses yeux un symbole d’ espérance , de vengeance et de force collective. Un tel génie ne compte plus en
56 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
84 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain, — n’est-on pas en droit de conclu
85 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles non converties, mais brimées par la loi nouv
57 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
86 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte
87 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
88 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s
89 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan123,
90 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl
91 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m
58 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
92 ienne est universaliste dans son élan et dans son espérance au-delà des diversités confessionnelles et dogmatiques3. Elle est rée
59 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
93 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
94 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas en droit de conclur
95 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles, non converties, et brimées par la loi nouve
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
96 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte
97 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
98 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s
99 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan141,
100 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl
101 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
102 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas en droit de conclur
103 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles, non converties, et brimées par la loi nouve
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
104 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte
105 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa
106 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s
107 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan130,
108 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl
109 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m
64 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
110 n peuple ne fait rien s’il n’a pas devant lui une espérance . D’ailleurs, on ne se défend bien qu’en attaquant. On ne maintient un
65 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
111 l’ensemble de mille efforts orientés par une même espérance . L’effort des Églises, tout d’abord. Jusqu’à l’ère du rationalisme, l
112 es à une même foi, à un même évangile, à une même espérance . Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’Institution chrétienne d
66 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
113 l’ensemble de mille efforts orientés par une même espérance . L’effort des Églises, tout d’abord. Jusqu’à l’ère du rationalisme, l
114 es à une même foi, à un même Évangile, à une même espérance . Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’Institution chrétienne d
67 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
115 va rejoindre, dans le plan du spirituel, toute l’ espérance œcuménique. Connaître le voisin de langue ou de confession différente
68 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
116 il y a la foi dans l’éternel, il y a l’amour et l’ espérance de l’éternel. À quoi se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l
69 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
117 e, il y a la foi dans l’éternel, y a l’amour et l’ espérance de l’éternel. À quoi se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l
70 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
118 aux catacombes suffiraient-elles à ranimer notre espérance , notre amour et notre foi, comme le canon lointain ranimerait nos cou
71 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). II. Le symbole du Gothard
119 isons d’être, nos meilleures forces, notre grande espérance . C’est au pied du Gothard dont elles gardaient les cols que les premi
72 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
120 en 1802.) L’idée suisse renaissait, contre toute espérance . Un tel passé doit nous donner confiance pour le présent. Il nous mon
73 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Blind alley of Europe (1941)
121 rtée par la guerre et la défaite de son contenu d’ espérance ). Ils ne veulent plus d’un régime qui les a menés où ils en sont. Ils
74 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
122 a croix signe de salut, de sacrifice de soi, et d’ espérance . Gardienne des cols par où s’échangent les richesses, gardienne de l’
75 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
123 maintenant ces trois choses demeurent : la Foi, l’ Espérance et la Charité… » Le discours inaugural terminé, et à peine les applau
76 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
124 munauté libre et pourtant bien liée, fondée sur l’ espérance de l’Esprit et non pas sur les fatalités du passé, ouverte à la volon
125 s politiques. J’aime évoquer, en terminant, cette espérance d’une réunion de toutes les confessions chrétiennes. Car en nous fais
77 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
126 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent
78 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
127 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero
128 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu
79 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
129 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent
80 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
130 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero
131 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu
81 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
132 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent
82 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
133 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero
134 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu
83 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 4. Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
135 t ; mais elle peut aussi subsister sans contenu d’ espérance ou de foi, et sans autre fin que terrestre. École de la personne, ell
84 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
136 ’expérience, déclare-t-il, a répondu à toutes nos espérances . Nous comptons en tirer des renseignements d’une valeur inestimable. 
137 étant un amiral. Oui, l’expérience a répondu à l’ espérance des amiraux du monde entier, qui est, en somme, de rester des amiraux
85 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
138 celui-ci se gardera d’en tirer ses vrais motifs d’ espérance ou de doute. Quoi qu’il arrive demain, je m’en tiens, pour ma part, a
86 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
139 tique impliquée dès le début dans la volonté et l’ espérance œcuménique. Le présent essai n’a d’autre ambition que d’esquisser les
140 cial sans précédent dans notre histoire. La seule espérance et aussi la seule possibilité qui demeure, c’est l’organisation fédér
141 stinées à combattre des doutes qu’à fortifier des espérances ou à nourrir des volontés. 1. L’histoire du monde christianisé nous m
87 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
142 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y
88 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
143 el14 n’a fait naître une seule grande et violente espérance , un seul dévouement fanatique, une seule vision capable d’exalter le
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
144 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
145 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
146 mais à cause de celui qui l’y a soumise — avec l’ espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption pour a
147 uffre des douleurs de l’enfantement… Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8, 20-24). Fin mai 1934 Nous
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
148 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature com
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
149 ’étant pas nées d’une création spirituelle, d’une espérance ouvrant l’avenir, elles ne savent justifier leur existence que par le
150 mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance . Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour
151 e aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’ espérance , et non la peur ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
152 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
153 e de la statue de la Liberté éclaire, appelle à l’ espérance . À Stalingrad, les Russes triomphent, avec du matériel américain. La
154 el94 n’a fait naître une seule grande et violente espérance , un seul dévouement fanatique, une seule vision capable d’exalter le
96 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
155 maintenant ces trois choses demeurent : la Foi, l’ Espérance et la Charité… » Le discours inaugural terminé, et à peine les applau
97 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
156 isme, et il y a le fédéralisme. Une menace et une espérance . Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Tout
98 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
157 retrait, le plus énigmatique, achève une œuvre d’ espérance . f. Rougemont Denis de, « Roger Breuil qui vient de mourir était
99 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
158 adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d’unir ses pe
100 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
159 isme, et il y a le fédéralisme. Une menace et une espérance . Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Tout