1 nt, je le comprends par éclairs, mais une secrète espérance m’emporte de nouveau, premier gage du divin… Reprendre l’offensive —

2 des confusions sur quoi se fondent ces poétiques espérances ou ces craintes imaginaires. Beaucoup pourtant subsistent encore. Or,

3 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,

4 les souffrances sont encore là, mais non plus les espérances de la religion, et l’âme, qui montait autrefois, est retombée sur la

5 le moralisme survivant, c’est au nom d’une grande espérance . Que devons-nous attendre ? Tout, d’un réveil dogmatique qui, s’il tr

6 st rien, en vérité, qu’un acte de soumission et d’ espérance , car ce n’est pas aux hommes que nous disons : nous voici. a. « Hic

7 Dieu : notre action baigne dans l’« angoisse de l’ espérance  »1. 1. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant ar

8 , raté, dont nous mourrons, — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter avec le « bon cœur 

9 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,

10 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,

11 ent l’homme en esprit et en corps, seul l’amour d’ espérance , charité de la foi, nous permet d’apporter à la Nature une réponse qu

12 n philosophie des motifs tels que le désespoir, l’ espérance , la présence ou la fidélité. Certes, l’exemple de la phénoménologie a

13 re. Démarche négative du désespoir, positive de l’ espérance , — elles sont inséparables jusqu’au bout, note M. Marcel, qui m’appar

14 respondre à chascun qui vont demande rayson de l’ espérance qui est en vous.15 » On n’oserait pas affirmer que le protestant d’au

15 ns simplement, désormais, de « donner raison de l’ espérance qui est en nous ». À nos lecteurs comme à nous-mêmes, nous demanderon

16 ient pas voulue, qui les détourne de toutes leurs espérances . Ce n’est point qu’ils aient peur, mais tout leur apparaît absurde. E

17 sent partout cette interrogation, cette anxieuse espérance , dans le livre d’Edschmid. Et l’on découvre, pour la première fois pe

18 voir éprouvé par ce livre la grandeur d’une telle espérance , si l’on veut juger sainement la politique étrange de cette nation. M

19 la preuve qu’on l’a traversé, et qu’on a saisi l’ espérance qui le transcende et qui le juge. On a dit de Sara Alelia que c’est u

20 l’échec, n’a jamais su tirer de ses défaites une espérance plus certaine, une féconde humiliation. L’homme des foules n’a que de

21 e connaître sans cesse, dans l’angoisse et dans l’ espérance , la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose.

22 posent sur une constatation historique ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur confère un aspect un

23 evise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de nos idoles, et

24 ces négations, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le droit de se dire révolutionnaire. Quelle autre v

25 bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance , celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et qu’il rejoint. ⁂ Not

26 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa

27 l’échec, n’a jamais su tirer de ses défaites une espérance plus certaine, une féconde humiliation. L’homme des foules n’a que de

28 e connaître sans cesse, dans l’angoisse et dans l’ espérance , la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose.

29 posent sur une constatation historique ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur confère un aspect un

30 evise du Taciturne exprime, par son paradoxe, une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de nos idoles, et

31 ces négations, nous les déclarerons au nom d’une espérance qui, elle, a bien le droit de se dire révolutionnaire. Quelle autre v

32 Dieu : notre action baigne dans l’« angoisse de l’ espérance  ».21 21. Expression qu’Arnaud Dandieu opposait dans un intéressant

33 bien la prévoir fatale, mais elle ouvre une autre espérance , celle-là même qui l’a jeté dans la bataille, et qu’il rejoint. ⁂ No

34 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa

35 On s’exalte à qui mieux mieux sur les « immenses espérances  » éveillées par le communisme. On prêche, on s’attendrit, on excommun

36 Paul. Cette attente persévérante, cette action d’ espérance , voilà le sens qu’il faut donner à l’imagination qui crée. Si l’imagi

37 une force concrète, elle est cela : une vision d’ espérance , un prolongement, une marche vers la plénitude. Deviner la forme de n

38 temps… Il y a dans ces trois mots le secret de l’ espérance insensée qui possède la jeunesse hitlérienne. Leurs épreuves ne serai

39 t prêcher, dans la crainte et le tremblement, son espérance . ⁂ Nous nous séparâmes sur ces mots. Les « barthiens » qui avaient pa

40 apparaître, à première vue, plus conforme à notre espérance de justice. Vous dirai-je que c’est précisément à cause de cette simi

41 e c’est précisément à cause de cette similitude d’ espérances , à cause de cette convergence apparente, à cause de cette tentation t

42 st sa liberté dans l’action, dans l’échec, dans l’ espérance et la protestation, dans l’annonce d’un monde nouveau. ⁂ Je n’ai pas

43 saisissent cette chance ; c’est encore une jeune espérance , mais c’est déjà une exigence directe, une possibilité magnifique. Je

44 a foi chrétienne — L’Église et les sacrements — L’ espérance eschatologique. Le trait le plus marquant est leur « biblisme ». Bien

45 On s’exalte à qui mieux mieux sur les « immenses espérances  » éveillées par le communisme. On prêche, on s’attendrit, on excommun

46 cial, et l’union des églises non romaines, grande espérance œcuménique et internationale née dans le « désarroi » de l’après-guer

47 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p

48 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no

49 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o

50 de la bourgeoisie cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse, cette conscience d’aller dans le sens d’un grandios

51 ple sans mesure, sans limites et sans foyer. Sans espérance , il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales. S

52 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p

53 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no

54 exige tout, et qui impose à tout la mesure de son espérance  ? Car il ne s’agit de rien d’autre, à chaque instant, que de cette fi

55 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o

56 à ceux qui gardent son commandement. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le tem

57 t en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le temps détruit l’acte, mais l’acte est juge du te

58 de la bourgeoisie cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse, cette conscience d’aller dans le sens d’un grandios

59 nimer toutes les facultés humaines de création, d’ espérance , d’amour ? Pour nous borner à un exemple : les disciplines imposées p

60 e découvrir les semelles-crêpe et le métro. Notre espérance est au-delà de ces réussites utiles. Vis-à-vis de la jeune Russie, no

61 exige tout, et qui impose à tout la mesure de son espérance  ? Car il ne s’agit de rien d’autre, à chaque instant, que de cette fi

62 , ne cache pas une secrète attirance, une secrète espérance dans le malheur total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, o

63 ressort de toute action recréatrice. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le tem

64 t en espérance que nous sommes sauvés, mais cette espérance est certaine. Car le temps détruit l’acte, mais l’acte est juge du te

65 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8. 22-24). Parler de la Nature comm

66 » Phrase étonnante à la fois par la grandeur de l’ espérance qu’elle proclame et par la confusion de sa proclamation. Que « toutes

67 re — s’il n’y avait pas, consciente ou non, cette espérance ou cette « attente ardente de la créature », comme dit saint Paul. Ma

68 oqué parmi les « exploités » un tel soulèvement d’ espérances , de telles vagues d’adhésions enthousiastes, si aveuglement enthousia

69 ur, et son amertume salutaire. C’est que la seule espérance véritable et certaine n’a plus été prêchée au monde avec une force d’

70 en converti commence donc par la fin que visait l’ espérance communiste. Il possède déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de

71 montre dès maintenant un peu de la réalité de mes espérances . » Mais l’espérance finale du communisme, c’est la libération de l’ho

72 un peu de la réalité de mes espérances. » Mais l’ espérance finale du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui m

73 qu’un futur théorique, — si passionnée que soit l’ espérance du marxiste — et non pas une présence exigeante et totalement animatr

74 mais à cause de celui qui l’y a soumise — avec l’ espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption pour a

75 uffre des douleurs de l’enfantement… Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 20-24). 24 mai 1934 On di

76 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature com

77 ple sans mesure, sans limites et sans foyer. Sans espérance , il crée des utopies. Sans obéissance, il imagine des lois fatales. S

78 . Je préfère opposer un pessimisme actif à tant d’ espérances bernées. al. « Une révolution refoulée », La Nouvelle Revue françai

79 partout ailleurs, parce qu’ils représentaient une espérance . Je rejoins ici ma seconde thèse : le totalitarisme a triomphé parce

80 ’étant pas nées d’une création spirituelle, d’une espérance ouvrant l’avenir, elles ne savent justifier leur existence que par le

81 mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance . Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour

82 e aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’ espérance , et non la peur ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux

83 e son peuple, et incarner à ses yeux un symbole d’ espérance , de vengeance et de force collective. Un tel génie ne compte plus en

84 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y

85 ienne est universaliste dans son élan et dans son espérance au-delà des diversités confessionnelles et dogmatiques3. Elle est rée

86 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain, — n’est-on pas en droit de conclu

87 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles non converties, mais brimées par la loi nouv

88 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte

89 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa

90 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s

91 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan123,

92 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl

93 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m

94 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas en droit de conclur

95 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles, non converties, et brimées par la loi nouve

96 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte

97 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa

98 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s

99 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan141,

100 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl

101 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m

102 u’il est dans la réalité de sa détresse et de son espérance  ; et si l’Éros n’a pas de prochain — n’est-on pas en droit de conclur

103 ances païennes refoulées devinrent le refuge et l’ espérance des tendances naturelles, non converties, et brimées par la loi nouve

104 — Mes bien-aimés, ores souffrez en paix que votre espérance demeure, autant qu’il me plaira, là où se trouve plus d’un qui s’atte

105 et qui dira dans l’enfer : — Ô maudits, j’ai vu l’ espérance des bienheureux ! S’agit-il donc de Béatrice comme femme ? Est-ce sa

106 e que tous les saints implorent et qui serait « l’ espérance des bienheureux » ? Ou s’agit-il plutôt de l’Esprit saint soutenant s

107 n droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance . Où Pétrarque triomphe, c’est quand il prend la harpe de Tristan130,

108 oi seule dans le pardon. Voici la conversion de l’ espérance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève-toi vers un espoir pl

109 où déjà vibre la réalité d’un indicible au-delà d’ espérance . Et c’est pourquoi le leitmotiv du duo d’amour est déjà celui de la m

110 l’ensemble de mille efforts orientés par une même espérance . L’effort des Églises, tout d’abord. Jusqu’à l’ère du rationalisme, l

111 es à une même foi, à un même évangile, à une même espérance . Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’Institution chrétienne d

112 il y a la foi dans l’éternel, il y a l’amour et l’ espérance de l’éternel. À quoi se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l

113 e, il y a la foi dans l’éternel, y a l’amour et l’ espérance de l’éternel. À quoi se raccrocher, que faire encore ? Quelle était l

114 en 1802.) L’idée suisse renaissait, contre toute espérance . Un tel passé doit nous donner confiance pour le présent. Il nous mon

115 aux catacombes suffiraient-elles à ranimer notre espérance , notre amour et notre foi, comme le canon lointain ranimerait nos cou

116 isons d’être, nos meilleures forces, notre grande espérance . C’est au pied du Gothard dont elles gardaient les cols que les premi

117 l’ensemble de mille efforts orientés par une même espérance . L’effort des Églises, tout d’abord. Jusqu’à l’ère du rationalisme, l

118 es à une même foi, à un même Évangile, à une même espérance . Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’Institution chrétienne d

119 va rejoindre, dans le plan du spirituel, toute l’ espérance œcuménique. Connaître le voisin de langue ou de confession différente

120 maintenant ces trois choses demeurent : la Foi, l’ Espérance et la Charité… » Le discours inaugural terminé, et à peine les applau

121 munauté libre et pourtant bien liée, fondée sur l’ espérance de l’Esprit et non pas sur les fatalités du passé, ouverte à la volon

122 s politiques. J’aime évoquer, en terminant, cette espérance d’une réunion de toutes les confessions chrétiennes. Car en nous fais

123 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent

124 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero

125 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu

126 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent

127 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero

128 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu

129 nous dit : je suis ton ciel, il n’y a pas d’autre espérance . Le Prince de ce monde nous dit : il n’y a pas d’autre monde. Le Tent

130 même temps, par toutes les armes de la foi, de l’ espérance et de la charité, dont il ignore la puissance. Car ainsi nous ne sero

131 les, ou ceux que porte un cœur dénué d’amour et d’ espérance . Il n’est pas bon que l’homme soit seul. Il n’est pas bon non plus qu

132 t ; mais elle peut aussi subsister sans contenu d’ espérance ou de foi, et sans autre fin que terrestre. École de la personne, ell

133 ’expérience, déclare-t-il, a répondu à toutes nos espérances . Nous comptons en tirer des renseignements d’une valeur inestimable. 

134 étant un amiral. Oui, l’expérience a répondu à l’ espérance des amiraux du monde entier, qui est, en somme, de rester des amiraux

135 tique impliquée dès le début dans la volonté et l’ espérance œcuménique. Le présent essai n’a d’autre ambition que d’esquisser les

136 cial sans précédent dans notre histoire. La seule espérance et aussi la seule possibilité qui demeure, c’est l’organisation fédér

137 stinées à combattre des doutes qu’à fortifier des espérances ou à nourrir des volontés. 1. L’histoire du monde christianisé nous m

138 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y

139 el14 n’a fait naître une seule grande et violente espérance , un seul dévouement fanatique, une seule vision capable d’exalter le

140 celui-ci se gardera d’en tirer ses vrais motifs d’ espérance ou de doute. Quoi qu’il arrive demain, je m’en tiens, pour ma part, a

141 tagne chauve, voisine de Budapest, témoignent des espérances démesurées qu’il sut entretenir autour d’une action certes méritoire,

142 raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance , une utopie, qu’il nous est impossible d’accepter de « bon cœur », pa

143 mais à cause de celui qui l’y a soumise — avec l’ espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption pour a

144 uffre des douleurs de l’enfantement… Car c’est en espérance que nous sommes sauvés » (Romains 8, 20-24). Fin mai 1934 Nous

145 ption, la rédemption de notre corps. Car c’est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8, 22-24.) Parler de la Nature com

146 ’étant pas nées d’une création spirituelle, d’une espérance ouvrant l’avenir, elles ne savent justifier leur existence que par le

147 mon frère en la cité nouvelle si tu partages mon espérance . Et tu es mon frère encore si tu la refuses, parce que j’espère pour

148 e aux vérités solides. À celles qui nourrissent l’ espérance , et non la peur ou la haine du voisin. Il faut surtout répondre mieux

149 nte déclamation chorale, vers la fin : « Il y a l’ espérance , qui est la plus forte ! Il y a la joie, qui est la plus forte ! Il y

150 e de la statue de la Liberté éclaire, appelle à l’ espérance . À Stalingrad, les Russes triomphent, avec du matériel américain. La

151 el94 n’a fait naître une seule grande et violente espérance , un seul dévouement fanatique, une seule vision capable d’exalter le

152 isme, et il y a le fédéralisme. Une menace et une espérance . Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Tout

153 maintenant ces trois choses demeurent : la Foi, l’ Espérance et la Charité… » Le discours inaugural terminé, et à peine les applau

154 retrait, le plus énigmatique, achève une œuvre d’ espérance . f. « Roger Breuil qui vient de mourir était un grand écrivain »,

155 adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d’unir ses pe

156 re au monde entier comme la voix forte enfin de l’ espérance . d. « Pourquoi l’Europe ? », Rassemblement : bulletin intérieur heb

157 isme, et il y a le fédéralisme. Une menace et une espérance . Cette antithèse domine le siècle. Elle est son véritable drame. Tout

158 c senti l’urgence de dégager le sens de la grande espérance qu’ils éveillaient en lançant leur appel à l’union. S’unir pour quoi 

159 adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d’unir ses pe

160 re au monde entier comme la voix forte enfin de l’ espérance . e. « Pour sauver la paix : commencer par l’Europe », Fédération, P