1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
1 t d’Europe se trouve traduire les grandes données ethnographiques et historiques de la formation de l’Europe, c’est à un autre mythe, b
2 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
2 ce avec la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plutôt linguistiques, une souveraineté analogue à celle des peuple
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
3 ce avec la nation, et l’on attribue à des groupes ethnographiques ou plutôt linguistiques, une souveraineté analogue à celle des peuple
4 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
4 igieux dans toutes ses dimensions psychologiques, ethnographiques , évolutives, en deçà et au-delà de toute dogmatique. Alors que Barth
5 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
5 igieux dans toutes ses dimensions psychologiques, ethnographiques , évolutives, en deçà et au-delà de toute dogmatique. Alors que Barth
6 1965, {Title}. État présent des études européennes (septembre 1965)
6 ensembles, les prenait comme objet de ses études ethnographiques , anthropologiques, historiques et culturelles. Cette tendance à const