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ue à double sens. « C’est du contact des légendes
exotiques
avec les idées courtoises que naquit le premier roman courtois », écr
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n courtois », écrit M. E. Vinaver. Ces légendes «
exotiques
», c’étaient les vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi oub
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t alors la vague obsession de luxe et d’aventures
exotiques
que les romans d’un Dekobra suffisent à satisfaire symboliquement. Qu
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ue à double sens. « C’est du contact des légendes
exotiques
avec les idées courtoises que naquit le premier roman courtois », écr
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n courtois », écrit M. E. Vinaver. Ces légendes «
exotiques
», c’étaient les vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi oub
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t alors la vague obsession de luxe et d’aventures
exotiques
que les romans d’un Dekobra suffisent à satisfaire symboliquement. Qu
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ue à double sens. « C’est du contact des légendes
exotiques
avec les idées courtoises que naquit le premier roman courtois », écr
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n courtois », écrit M. E. Vinaver. Ces légendes «
exotiques
», c’étaient les vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi oub
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t alors la vague obsession de luxe et d’aventures
exotiques
que les « romans de gare » suffisent à satisfaire symboliquement. Que
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ur pays. Beaucoup rapportaient de leurs campagnes
exotiques
, de l’or et de l’argenterie, des vaisselles rares, des meubles et des
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iler à un simple engouement pour des formes d’art
exotiques
comme l’estampe japonaise ou la sculpture nègre. Si l’Europe apprend
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ntres contemporains, qui nous semblent souvent si
exotiques
et qui pourtant ne font que recomposer la vie de l’âme humaine décomp
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nditions et aux effets du commerce des produits «
exotiques
» (qu’ils croient devoir exiger selon leur TV spot) que dépendra l’is
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les personnalistes, ne serait « qu’une curiosité
exotique
qui ne vaut ni que l’on meure ni qu’on se mobilise pour elle — pauvre