1
Une
exposition
d’artistes protestants modernes (avril 1931)e C’est donc qu’il y e
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sincère et souvent fort admirative. Le titre de l’
exposition
, si l’on y prend bien garde, éludait dans une certaine mesure la ques
3
t même de la nouveauté que représentait une telle
exposition
, le caractère d’avant-garde des toiles frappait le visiteur avant qu’
4
t de réalité humaine. Mais l’œuvre maîtresse de l’
exposition
est sans doute la « Crucifixion » de R.-Th. Bosshardt. C’est un vérit
5
Une remarque encore. Certains critiques de cette
exposition
se sont demandé non sans ironie où était le calvinisme dans tout ceci
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derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’
exposition
systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple
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derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’
exposition
systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple
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m’avait commandée l’Institut neuchâtelois pour l’
Exposition
nationale de Zurich, et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fu
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plus populaires ? Comment se dire calviniste ? L’
exposition
Calvin à la Bibliothèque nationale, si elle a permis à beaucoup de ré
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révélateur ? « L’Esprit n’a pas son palais. L’
Exposition
de 1937 doit lui en donner un » Par Hippolyte Ducos Député, ancien
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, président de la commission de renseignement à l’
Exposition
de 1937 L’Exposition de 1937 en est au stade des réalisations. Les
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ssion de renseignement à l’Exposition de 1937 L’
Exposition
de 1937 en est au stade des réalisations. Les idées fermentent. Les p
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lectuelle et la Commission de l’enseignement de l’
Exposition
demandent que, parmi les palais prévus pour 1937, il y en ait un dest
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doit être construit en dur. Il doit survivre à l’
Exposition
. Pourvu, à côté des pavillons où se présenteront les grandes découver
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pour les congrès, il sera, pendant la durée de l’
Exposition
, le centre de ces « journées », de ces « semaines » consacrées aux hé
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s, c’est-à-dire aux maîtres de la pensée. Après l’
Exposition
il restera le foyer des chercheurs, toujours prêt à accueillir les sa
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vais buté] : l’esprit est à l’origine de tout ; l’
exposition
elle-même sera, dans toute son ampleur, une manifestation sensible de
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laire, président d’une commission d’État pour une
exposition
promise à la publicité universelle, trouve naturel de proposer que «
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palais reçût le nom de « Cité René-Descartes ». L’
Exposition
va se dérouler sous le patronage du grand génie, savant, philosophe,
20
ique et de la raison universelle, donnera à notre
Exposition
son sens et sa portée. Je répugne à rendre Descartes responsable de
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cle unique : La Commission de l’enseignement de l’
Exposition
de 1937, vu le désarroi général40 ; vu la situation culturelle créée
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ection d’un « Palais de l’Esprit » au centre de l’
Exposition
de 1937 ? On se demande non sans angoisse ce que ces messieurs compte
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5. Ce monument doit être érigé au centre de l’
Exposition
de 1937. On se demande, non sans angoisse, ce que ces messieurs compt
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nhumain de ces phénomènes rend leur étude et leur
exposition
relativement aisées : ils paraissent se détacher d’eux-mêmes des inno
25
e dramatique qui sera joué — Dieu voulant ! — à l’
Exposition
de Zurich. J’ai tenté de réintégrer Nicolas dans l’actualité la plus
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délaissé au profit d’un drame que j’écris pour l’
Exposition
de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Ni
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de Denis de Rougemont. Elle sera représentée à l’
Exposition
de Zurich et offerte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il
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de tolérance et d’humanité. n. « En marge de l’
exposition
: Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont, mis en musique par Arthu
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nement lors des deux journées neuchâteloises de l’
Exposition
de Zurich. Mais le mois de septembre 1939 nous apporta la catastrophe
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oment que l’on m’offrit d’écrire une pièce pour l’
Exposition
de Zurich. Je ris un peu de tant de flegme… L’Exposition, d’abord, n’
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ion de Zurich. Je ris un peu de tant de flegme… L’
Exposition
, d’abord, n’aurait pas lieu ; ensuite, j’allais mettre mon casque ; e
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ature profonde de cette foi de se refuser à toute
exposition
rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en v
33
ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’
exposition
universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
34
mettre nos opinions personnelles à la place de l’
exposition
simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
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ccasion de la représentation — il s’agissait de l’
Exposition
nationale de 1939 — par les dimensions de la scène prévue, et les res
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intéresser n’importe quel Confédéré visiteur de l’
Exposition
. Or, si ce solitaire a été grand, c’est parce qu’un jour il a tout sa
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munautaire en Suisse », La Suisse vue à travers l’
Exposition
nationale, Zurich, Atlantis Verlag, vol. II, 1939, p. 542-545 (dont 2
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ature profonde de cette foi de se refuser à toute
exposition
rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en v
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ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’
exposition
universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
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ature profonde de cette foi de se refuser à toute
exposition
rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en
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ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’
exposition
universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
42
’il écrivit pour les journées neuchâteloises de l’
Exposition
nationale de Zurich et qui ne put être représentée, la guerre ayant é
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e dans sa partition réduite pour un récitant, à l’
Exposition
de New York. Ce voyage, on le voit, est sérieusement motivé et ne sig
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mettre nos opinions personnelles à la place de l’
exposition
simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
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mettre nos opinions personnelles à la place de l’
exposition
simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
46
oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’
exposition
qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
47
rd enguirlandé. — Découvert un autre antidote : l’
exposition
des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de B
48
lle part, peu convaincante, pareille à une cité d’
exposition
qu’on aurait décidé de maintenir pour y loger ceux qui ne trouvent pa
49
ourquoi l’événement mondain de la saison, c’est l’
Exposition
agricole, où l’on peut voir les taureaux de concours amenés dans la c
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oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’
exposition
qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
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oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’
exposition
qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
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derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’
exposition
systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple
53
phone, c’est la demande d’écrire une pièce pour l’
Exposition
nationale de l’an prochain. Il faudrait, me dit-on, un sujet historiq
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laire et connu de tous les Suisses. La scène de l’
Exposition
de Zurich, sans décors ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de
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rd enguirlandé. — Découvert un autre antidote : l’
exposition
des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de B
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lle part, peu convaincante, pareille à une cité d’
exposition
qu’on aurait décidé de maintenir pour y loger ceux qui ne trouvent pa
57
t pourquoi l’événement mondain de la saison est l’
Exposition
agricole, où l’on peut voir les taureaux de concours amenés dans la c
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0 000 propagandistes entraînés, munis de films, d’
expositions
itinérantes et de 20 millions de brochures, le tout largement financé
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l’aveu public de cet « avenir », je veux dire son
exposition
. Pourtant, il faut juger pareil procès sur pièces. L’Œuvre du xxe si
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du livre, de causeries, de concerts commentés, d’
expositions
itinérantes. (L’expérience des guildes a prouvé qu’il existe un publi
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pas attendu le succès remporté l’an dernier par l’
Exposition
internationale de photographies de scène, pour lui accorder dès le dé
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mais de cinq siècles de peinture occidentale. Une
exposition
de photos de scène accomplissant le pèlerinage de nos festivals de mu
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de nous. m. Préface à Photo + scène : deuxième
exposition
internationale de photographie de théâtre, Illertissen, Sittler &
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l’arme secrète des Achéens devient un pavillon d’
exposition
. On ne court plus que le risque normal d’une « compétition pacifique
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iberté. Et cette démonstration, accompagnée d’une
exposition
gratuite et ouverte à tous des résultats positifs de nos libres discu
66
ale à de telles conditions. » 7. « Des échanges d’
expositions
… » 8. « Le brouillage systématique des émissions de nouvelles et d’in
67
e de films Oui mêmes réserves 7. Échange d’
expositions
Oui mêmes réserves 8. Cesser le brouillage de la radio Non (i
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nant des recherches ou des enquêtes en commun ; —
expositions
itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres musicale
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œuvres musicales modernes, projections de films ;
expositions
de publications (livres, ouvrages d’art, revues) dans les grands cent
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ir au cours d’un effort commun et prolongé. C.
Expositions
itinérantes La visite d’un laboratoire peut être vitale pour un sa
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es ou récitées par un guide. Il en va de même des
expositions
. Les Soviétiques redoutent à juste titre qu’on ne les « utilise » à d
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iques absurdes. C’est pourquoi nous proposons des
expositions
discrètes (malgré le paradoxe de l’expression), non spectaculaires, e
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La condition de succès et d’efficacité de telles
expositions
de peinture contemporaine (russe chez nous, européenne en URSS) résid
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la nécessité de présenter de part et d’autre des
expositions
de livres et de revues. Les Soviétiques peuvent et doivent redouter l
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r (7 décembre 1955) pourquoi l’URSS interdisait l’
exposition
d’œuvres occidentales modernes, M. Guerassimov, président de l’Académ
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té l’hôte des peintres russes, à l’occasion d’une
exposition
d’art français organisée à Moscou. Il se déclare surpris par « l’unif
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et de la CECA organisent sur des thèmes européens
expositions
, journées du cinéma, tables rondes et groupes d’études, et distribuen
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mun des Européens, crée des bourses, organise des
expositions
de peinture, patronne la révision des manuels d’histoire, et prépare
79
ans tous leurs développements, je me bornerai à l’
exposition
des plus frappans, et à en dire mon sentiment. J’avance donc que l’As
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style des vitrines actuelles procède des grandes
expositions
surréalistes. 15. Marx produit le même effet illuminant en recourant
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ans tous leurs développements, je me bornerai à l’
exposition
des plus frappans, et à en dire mon sentiment. J’avance donc que l’As
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éro du 2 janvier 1806. 164. Marquis de Laplace :
Exposition
du système du monde, Paris, 1813, I, 142. 165. Cf. Jean Paul : Sämtl
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empire français qui viennent contempler à Paris l’
exposition
universelle de 1867, il a des phrases qui découragent la critique :
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rope.205 Enfin, dans son discours pour saluer l’
Exposition
universelle de 1867, à Paris206, Hugo s’élève à des sommets d’éloquen
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t à foison des écoles de peintres, des galeries d’
exposition
, des troupes d’acteurs, des groupes d’écrivains, voire des petites re
86
e et de conférences hebdomadaires, son musée, ses
expositions
, ses bibliothèques et ses associations d’éducation, d’amis des arts o
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éaliste dans une librairie de la 5e Avenue pour l’
exposition
de mon livre : La Part du diable . Rentré en Europe en 1946, Denis d
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t à foison des écoles de peintres, des galeries d’
exposition
, des troupes d’acteurs, des groupes d’écrivains, voire des petites re
89
la vie en Suisse », Les Arts dans la vie, Zurich,
Exposition
nationale suisse, Nouvelle Société helvétique, 1964, 2 p. (non paginé
90
« Le sentier perdu », texte pour le dépliant de l’
exposition
de Nora Auric : dès le 24 avril 1964, Galerie Alexandre Iolas, Genève
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héâtre, le texte du spectacle neuchâtelois pour l’
Exposition
nationale de 1939, celle qui fut interrompue par la guerre. Mon ami A
92
ionnelle capacité de travail, d’un grand talent d’
exposition
et d’une éloquence « à faire fondre le marbre », ainsi que le nota so
93
e d’une étude d’opinion conduite à la veille de l’
Exposition
nationale de 1964. Le vote des femmes semble incongru à ceux des Suis
94
comme on le fait parfois en parcourant une grande
exposition
et m’arrêtant seulement si quelque chose m’arrête : délibérément subj
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t à ne pas dire un mot plus haut que l’autre. Une
exposition
de peintres suisses au xvie siècle me fit écrire sur le plus grand d
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et abstraites jalonnaient la « Voie suisse » de l’
Exposition
nationale de Lausanne en 1964 : plusieurs m’ont paru d’une grande for
97
e machine broyeuse de néant qu’il a montée pour l’
Exposition
nationale de 1964 donne au contraire l’idée de la stabilité dans une
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cette formule) pour la Journée neuchâteloise de l’
Exposition
nationale de 1939, je posai d’abord la question du compositeur. Il le
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(comme celle qui fut dédiée au Nombre 21) ou une
exposition
, ou une vitrine (Breton, Seligmann et Duchamp signèrent celle qui ann
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(comme celle qui fut dédiée au Nombre 21) ou une
exposition
, ou une vitrine (Breton, Seligmann et Duchamp signèrent celle qui ann
101
e même qu’en peinture, le tableau, le portrait, l’
exposition
, le musée ; ou en musique l’harmonie et le contrepoint, les tons, les
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cident libre. Opéras, ballets, concerts, théâtre,
expositions
, conférences et débats publics par les plus grands écrivains d’Europe
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ussi la science historique, la biographie, et les
expositions
. L’Œuvre du xxe siècle veut être au premier chef, littéralement, un
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au premier chef, littéralement, un compte rendu.
Exposition
, biographie d’une époque, essai d’orientation parmi tant de recherche
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De même qu’en peinture le tableau, le portrait, l’
exposition
, le musée, ou en musique l’harmonie et le contrepoint, les tons, les
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oment que l’on m’offrit d’écrire une pièce pour l’
Exposition
nationale qui devait s’ouvrir à Zurich l’année suivante. J’étais en t
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y faire jouer une pièce que j’avais écrite pour l’
Exposition
nationale de 1939 et qui avait été mise en musique par Arthur Honegge
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, tant aimé que honni, après un tiers de siècle d’
exposition
à toute espèce d’intempéries critiques, personnelles et publiques, ps
109
able : placards d’une 1/2 page dans les journaux,
expositions
(Nuklex à Bâle), films, distribution de brochures dans les écoles à t
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ble : placards d’une demi-page dans les journaux,
expositions
(Nuklex à Bâle), films, distribution de brochures dans les écoles à t
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’Européen [préface] (1981)bk Qu’attendre d’une
exposition
sur la carrière d’un écrivain, sinon qu’elle donne à voir ce que ses
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le, et l’histoire la plus intime de son auteur. L’
exposition
du centenaire va le faire voir : avec une élégance désinvolte et mode
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rtalès l’Européen », préface à Guy de Pourtalès :
exposition
du centenaire, 1881‑1981, Genève, Musée des Suisses à l’étranger, 198