1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
1 Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)e C’est donc qu’il y e
2 sincère et souvent fort admirative. Le titre de l’ exposition , si l’on y prend bien garde, éludait dans une certaine mesure la ques
3 t même de la nouveauté que représentait une telle exposition , le caractère d’avant-garde des toiles frappait le visiteur avant qu’
4 t de réalité humaine. Mais l’œuvre maîtresse de l’ exposition est sans doute la « Crucifixion » de R.-Th. Bosshardt. C’est un vérit
5 Une remarque encore. Certains critiques de cette exposition se sont demandé non sans ironie où était le calvinisme dans tout ceci
2 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
6 derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’ exposition systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple 
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
7 derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’ exposition systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple 
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
8 m’avait commandée l’Institut neuchâtelois pour l’ Exposition nationale de Zurich, et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fu
5 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
9 plus populaires ? Comment se dire calviniste ? L’ exposition Calvin à la Bibliothèque nationale, si elle a permis à beaucoup de ré
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
10 révélateur ?   « L’Esprit n’a pas son palais. L’ Exposition de 1937 doit lui en donner un »   Par Hippolyte Ducos Député, ancien
11 , président de la commission de renseignement à l’ Exposition de 1937   L’Exposition de 1937 en est au stade des réalisations. Les
12 ssion de renseignement à l’Exposition de 1937   L’ Exposition de 1937 en est au stade des réalisations. Les idées fermentent. Les p
13 lectuelle et la Commission de l’enseignement de l’ Exposition demandent que, parmi les palais prévus pour 1937, il y en ait un dest
14 doit être construit en dur. Il doit survivre à l’ Exposition . Pourvu, à côté des pavillons où se présenteront les grandes découver
15 pour les congrès, il sera, pendant la durée de l’ Exposition , le centre de ces « journées », de ces « semaines » consacrées aux hé
16 s, c’est-à-dire aux maîtres de la pensée. Après l’ Exposition il restera le foyer des chercheurs, toujours prêt à accueillir les sa
17 vais buté] : l’esprit est à l’origine de tout ; l’ exposition elle-même sera, dans toute son ampleur, une manifestation sensible de
18 laire, président d’une commission d’État pour une exposition promise à la publicité universelle, trouve naturel de proposer que « 
19 palais reçût le nom de « Cité René-Descartes ». L’ Exposition va se dérouler sous le patronage du grand génie, savant, philosophe,
20 ique et de la raison universelle, donnera à notre Exposition son sens et sa portée. Je répugne à rendre Descartes responsable de
21 cle unique : La Commission de l’enseignement de l’ Exposition de 1937, vu le désarroi général40 ; vu la situation culturelle créée
7 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
22 ection d’un « Palais de l’Esprit » au centre de l’ Exposition de 1937 ? On se demande non sans angoisse ce que ces messieurs compte
8 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
23 5. Ce monument doit être érigé au centre de l’ Exposition de 1937. On se demande, non sans angoisse, ce que ces messieurs compt
9 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
24 nhumain de ces phénomènes rend leur étude et leur exposition relativement aisées : ils paraissent se détacher d’eux-mêmes des inno
10 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
25 e dramatique qui sera joué — Dieu voulant ! — à l’ Exposition de Zurich. J’ai tenté de réintégrer Nicolas dans l’actualité la plus
11 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
26 délaissé au profit d’un drame que j’écris pour l’ Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Ni
12 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
27 de Denis de Rougemont. Elle sera représentée à l’ Exposition de Zurich et offerte au public suisse par le canton de Neuchâtel. Il
28 de tolérance et d’humanité. n. « En marge de l’ exposition  : Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont, mis en musique par Arthu
13 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
29 nement lors des deux journées neuchâteloises de l’ Exposition de Zurich. Mais le mois de septembre 1939 nous apporta la catastrophe
14 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
30 oment que l’on m’offrit d’écrire une pièce pour l’ Exposition de Zurich. Je ris un peu de tant de flegme… L’Exposition, d’abord, n’
31 ion de Zurich. Je ris un peu de tant de flegme… L’ Exposition , d’abord, n’aurait pas lieu ; ensuite, j’allais mettre mon casque ; e
15 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
32 ature profonde de cette foi de se refuser à toute exposition rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en v
16 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
33 ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’ exposition universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
17 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
34 mettre nos opinions personnelles à la place de l’ exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
18 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
35 ccasion de la représentation — il s’agissait de l’ Exposition nationale de 1939 — par les dimensions de la scène prévue, et les res
36 intéresser n’importe quel Confédéré visiteur de l’ Exposition . Or, si ce solitaire a été grand, c’est parce qu’un jour il a tout sa
37 munautaire en Suisse », La Suisse vue à travers l’ Exposition nationale, Zurich, Atlantis Verlag, vol. II, 1939, p. 542-545 (dont 2
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
38 ature profonde de cette foi de se refuser à toute exposition rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en v
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
39 ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’ exposition universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
40 ature profonde de cette foi de se refuser à toute exposition rationaliste, impersonnelle et « objective ». Elle ne se réalise en
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
41 ation technique. Une sorte de visite dirigée de l’ exposition universelle des industries et arts appliqués de la mort, avec démonst
23 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
42 ’il écrivit pour les journées neuchâteloises de l’ Exposition nationale de Zurich et qui ne put être représentée, la guerre ayant é
43 e dans sa partition réduite pour un récitant, à l’ Exposition de New York. Ce voyage, on le voit, est sérieusement motivé et ne sig
24 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
44 mettre nos opinions personnelles à la place de l’ exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
25 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
45 mettre nos opinions personnelles à la place de l’ exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nou
26 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
46 oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’ exposition qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
27 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
47 rd enguirlandé. — Découvert un autre antidote : l’ exposition des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de B
28 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
48 lle part, peu convaincante, pareille à une cité d’ exposition qu’on aurait décidé de maintenir pour y loger ceux qui ne trouvent pa
29 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
49 ourquoi l’événement mondain de la saison, c’est l’ Exposition agricole, où l’on peut voir les taureaux de concours amenés dans la c
30 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
50 oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’ exposition qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
31 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
51 oujours paru peu réelle : c’est comme une ville d’ exposition qu’on aurait décidé de ne pas détruire. Je m’y perds régulièrement, c
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
52 derlin d’Hypérion ; et d’autre part, à la manie d’ exposition systématique et statistique des professeurs allemands. Autre exemple 
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
53 phone, c’est la demande d’écrire une pièce pour l’ Exposition nationale de l’an prochain. Il faudrait, me dit-on, un sujet historiq
54 laire et connu de tous les Suisses. La scène de l’ Exposition de Zurich, sans décors ni rideau, 36 mètres de large et 18 mètres de
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
55 rd enguirlandé. — Découvert un autre antidote : l’ exposition des chefs-d’œuvre de la peinture suisse du xvie siècle, repliés de B
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
56 lle part, peu convaincante, pareille à une cité d’ exposition qu’on aurait décidé de maintenir pour y loger ceux qui ne trouvent pa
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
57 t pourquoi l’événement mondain de la saison est l’ Exposition agricole, où l’on peut voir les taureaux de concours amenés dans la c
37 1950, Articles divers (1951-1956). Faire la propagande de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951)
58 0 000 propagandistes entraînés, munis de films, d’ expositions itinérantes et de 20 millions de brochures, le tout largement financé
38 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
59 l’aveu public de cet « avenir », je veux dire son exposition . Pourtant, il faut juger pareil procès sur pièces. L’Œuvre du xxe si
39 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
60 du livre, de causeries, de concerts commentés, d’ expositions itinérantes. (L’expérience des guildes a prouvé qu’il existe un publi
40 1953, Articles divers (1951-1956). Préface à Photo + scène (1953)
61 pas attendu le succès remporté l’an dernier par l’ Exposition internationale de photographies de scène, pour lui accorder dès le dé
62 mais de cinq siècles de peinture occidentale. Une exposition de photos de scène accomplissant le pèlerinage de nos festivals de mu
63 de nous. m. Préface à Photo + scène : deuxième exposition internationale de photographie de théâtre, Illertissen, Sittler &
41 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
64 l’arme secrète des Achéens devient un pavillon d’ exposition . On ne court plus que le risque normal d’une « compétition pacifique 
42 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
65 iberté. Et cette démonstration, accompagnée d’une exposition gratuite et ouverte à tous des résultats positifs de nos libres discu
43 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
66 ale à de telles conditions. » 7. « Des échanges d’ expositions … » 8. « Le brouillage systématique des émissions de nouvelles et d’in
67 e de films Oui mêmes réserves 7. Échange d’ expositions Oui mêmes réserves 8. Cesser le brouillage de la radio Non (i
44 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
68 nant des recherches ou des enquêtes en commun ; — expositions itinérantes de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres musicale
69 œuvres musicales modernes, projections de films ; expositions de publications (livres, ouvrages d’art, revues) dans les grands cent
70 ir au cours d’un effort commun et prolongé. C. Expositions itinérantes La visite d’un laboratoire peut être vitale pour un sa
71 es ou récitées par un guide. Il en va de même des expositions . Les Soviétiques redoutent à juste titre qu’on ne les « utilise » à d
72 iques absurdes. C’est pourquoi nous proposons des expositions discrètes (malgré le paradoxe de l’expression), non spectaculaires, e
73 La condition de succès et d’efficacité de telles expositions de peinture contemporaine (russe chez nous, européenne en URSS) résid
74 la nécessité de présenter de part et d’autre des expositions de livres et de revues. Les Soviétiques peuvent et doivent redouter l
75 r (7 décembre 1955) pourquoi l’URSS interdisait l’ exposition d’œuvres occidentales modernes, M. Guerassimov, président de l’Académ
45 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
76 té l’hôte des peintres russes, à l’occasion d’une exposition d’art français organisée à Moscou. Il se déclare surpris par « l’unif
46 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
77 et de la CECA organisent sur des thèmes européens expositions , journées du cinéma, tables rondes et groupes d’études, et distribuen
47 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
78 mun des Européens, crée des bourses, organise des expositions de peinture, patronne la révision des manuels d’histoire, et prépare
48 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
79 ans tous leurs développements, je me bornerai à l’ exposition des plus frappans, et à en dire mon sentiment. J’avance donc que l’As
49 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
80 style des vitrines actuelles procède des grandes expositions surréalistes. 15. Marx produit le même effet illuminant en recourant
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
81 ans tous leurs développements, je me bornerai à l’ exposition des plus frappans, et à en dire mon sentiment. J’avance donc que l’As
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
82 éro du 2 janvier 1806. 164. Marquis de Laplace : Exposition du système du monde, Paris, 1813, I, 142. 165. Cf. Jean Paul : Sämtl
52 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
83 empire français qui viennent contempler à Paris l’ exposition universelle de 1867, il a des phrases qui découragent la critique :
84 rope.205 Enfin, dans son discours pour saluer l’ Exposition universelle de 1867, à Paris206, Hugo s’élève à des sommets d’éloquen
53 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Fédéralisme et culture (3-4 mars 1962)
85 t à foison des écoles de peintres, des galeries d’ exposition , des troupes d’acteurs, des groupes d’écrivains, voire des petites re
54 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
86 e et de conférences hebdomadaires, son musée, ses expositions , ses bibliothèques et ses associations d’éducation, d’amis des arts o
55 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
87 éaliste dans une librairie de la 5e Avenue pour l’ exposition de mon livre : La Part du diable . Rentré en Europe en 1946, Denis d
56 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
88 t à foison des écoles de peintres, des galeries d’ exposition , des troupes d’acteurs, des groupes d’écrivains, voire des petites re
57 1964, Articles divers (1963-1969). Les arts dans la vie en Suisse (1964)
89 la vie en Suisse », Les Arts dans la vie, Zurich, Exposition nationale suisse, Nouvelle Société helvétique, 1964, 2 p. (non paginé
58 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
90 « Le sentier perdu », texte pour le dépliant de l’ exposition de Nora Auric : dès le 24 avril 1964, Galerie Alexandre Iolas, Genève
59 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
91 héâtre, le texte du spectacle neuchâtelois pour l’ Exposition nationale de 1939, celle qui fut interrompue par la guerre. Mon ami A
60 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
92 ionnelle capacité de travail, d’un grand talent d’ exposition et d’une éloquence « à faire fondre le marbre », ainsi que le nota so
61 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
93 e d’une étude d’opinion conduite à la veille de l’ Exposition nationale de 1964. Le vote des femmes semble incongru à ceux des Suis
62 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
94 comme on le fait parfois en parcourant une grande exposition et m’arrêtant seulement si quelque chose m’arrête : délibérément subj
95 t à ne pas dire un mot plus haut que l’autre. Une exposition de peintres suisses au xvie siècle me fit écrire sur le plus grand d
96 et abstraites jalonnaient la « Voie suisse » de l’ Exposition nationale de Lausanne en 1964 : plusieurs m’ont paru d’une grande for
97 e machine broyeuse de néant qu’il a montée pour l’ Exposition nationale de 1964 donne au contraire l’idée de la stabilité dans une
98 cette formule) pour la Journée neuchâteloise de l’ Exposition nationale de 1939, je posai d’abord la question du compositeur. Il le
63 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
99 (comme celle qui fut dédiée au Nombre 21) ou une exposition , ou une vitrine (Breton, Seligmann et Duchamp signèrent celle qui ann
64 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
100 (comme celle qui fut dédiée au Nombre 21) ou une exposition , ou une vitrine (Breton, Seligmann et Duchamp signèrent celle qui ann
65 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
101 e même qu’en peinture, le tableau, le portrait, l’ exposition , le musée ; ou en musique l’harmonie et le contrepoint, les tons, les
66 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Préface à « L’Œuvre du xxe siècle »
102 cident libre. Opéras, ballets, concerts, théâtre, expositions , conférences et débats publics par les plus grands écrivains d’Europe
103 ussi la science historique, la biographie, et les expositions . L’Œuvre du xxe siècle veut être au premier chef, littéralement, un
104 au premier chef, littéralement, un compte rendu. Exposition , biographie d’une époque, essai d’orientation parmi tant de recherche
67 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
105 De même qu’en peinture le tableau, le portrait, l’ exposition , le musée, ou en musique l’harmonie et le contrepoint, les tons, les
68 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
106 oment que l’on m’offrit d’écrire une pièce pour l’ Exposition nationale qui devait s’ouvrir à Zurich l’année suivante. J’étais en t
69 1972, Articles divers (1970-1973). Autopsie d’un cas : Denis de Rougemont (15 mars 1972)
107 y faire jouer une pièce que j’avais écrite pour l’ Exposition nationale de 1939 et qui avait été mise en musique par Arthur Honegge
70 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
108 , tant aimé que honni, après un tiers de siècle d’ exposition à toute espèce d’intempéries critiques, personnelles et publiques, ps
71 1978, Articles divers (1978-1981). Le choix du siècle (novembre 1978)
109 able : placards d’une 1/2 page dans les journaux, expositions (Nuklex à Bâle), films, distribution de brochures dans les écoles à t
72 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
110 ble : placards d’une demi-page dans les journaux, expositions (Nuklex à Bâle), films, distribution de brochures dans les écoles à t
73 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
111 ’Européen [préface] (1981)bk Qu’attendre d’une exposition sur la carrière d’un écrivain, sinon qu’elle donne à voir ce que ses
112 le, et l’histoire la plus intime de son auteur. L’ exposition du centenaire va le faire voir : avec une élégance désinvolte et mode
113 rtalès l’Européen », préface à Guy de Pourtalès : exposition du centenaire, 1881‑1981, Genève, Musée des Suisses à l’étranger, 198