1
-vous au thé du Printemps. J’ai rôdé dans la joie
féminine
des grands magasins, n’osant pas repasser trop souvent devant les asc
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ers découpés, avec une ingéniosité délicieusement
féminine
, une élégance aiguë. Notre revue n’est certes pas complète. Mais elle
3
omprenez rien, mais le charme des voix hongroises
féminines
suffit à votre bonheur et vous voyez bien que Mme Varshany est une gr
4
de Genève, Genève, août 1929, p. 250-251. bb. Le
féminin
est ici conservé, conformément au texte original.
5
laire de M. Chardonne a rallié tous les suffrages
féminins
, et classe son auteur dans la lignée de ces fameux « moralistes franç
6
le avec des îlots de luxe révoltant, des musiques
féminines
raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes ve
7
uxquelles s’applique le règlement. La sensibilité
féminine
réagit d’ordinaire avec précision à cette brutalité de la logique ; e
8
« la bonté, la charité (vertus toutes passives et
féminines
) » (au sentiment de l’auteur), mais c’est, au contraire, la volonté d
9
s une disposition et un état d’esprit à tel point
féminins
que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
10
font du Saint-Esprit la Mère de Dieu, le principe
féminin
de l’amour. En embrassant le catharisme, le néophyte s’engageait, s’i
11
ux grands romanciers les directrices de magazines
féminins
, qui tiennent boutique de consultations pour leurs lectrices avides d
12
Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse
féminine
, exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
13
i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel
féminin
nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
14
idique pour la Femme, être prophétique, « éternel
féminin
», « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
15
) dont elle fait « la Mère de Dieu », le principe
féminin
de l’Amour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs ; Maria chez le
16
son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe
féminin
(Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
17
principe féminin (Amor en provençal est du genre
féminin
) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », n’est-c
18
on », « fou d’amour ». 115. Surtout les épigones
féminins
: une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
19
nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme
féminin
. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
20
ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique
féminine
, les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
21
corps, des jeunes Parques, des apparences à peine
féminines
de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
22
s une disposition et un état d’esprit à tel point
féminins
que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
23
de les payer. Seules les directrices de magazines
féminins
me paraissent exercer une activité précise de direction morale, par c
24
erchant partout son idéal, son « type » de beauté
féminine
(souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
25
me. Et j’ai surtout rencontré la faveur du public
féminin
content de voir examiner impartialement « son » problème. Comment en
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Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse
féminine
, exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
27
i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel
féminin
nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
28
idique pour la Femme, être prophétique, « éternel
féminin
», « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
29
. En retour (en revanche, dirait-on), un principe
féminin
, préexistant à la création matérielle, joue dans le catharisme un rôl
30
son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe
féminin
(Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
31
principe féminin (Amor en provençal est du genre
féminin
) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », et dont
32
le Noûs grec — est l’émanation intellectuelle et
féminine
? Et d’où viendrait, sinon, l’incertitude, voire le sentiment d’équiv
33
Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe
féminin
de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou plus précisément enco
34
ame des pensées, l’idée platonicienne du principe
féminin
, le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
35
ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe
féminin
) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
36
me de chair. L’union mystique avec cette divinité
féminine
devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
37
déalisation, voire d’une divinisation du principe
féminin
. Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
38
culte se concentre autour de ce principe cosmique
féminin
; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
39
et de repos, l’amante synthétise toute la nature
féminine
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut79 ».
40
et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe
Féminin
de la shakti, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il part
41
t sa source d’abord dans la croyance que le corps
féminin
manifestait par sa seule présence des pouvoirs surnaturels, les mêmes
42
on », « fou d’amour ». 133. Surtout les épigones
féminins
: une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
43
nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme
féminin
. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
44
ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique
féminine
, les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
45
corps, des jeunes Parques, des apparences à peine
féminines
de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
46
s une disposition et un état d’esprit à tel point
féminins
que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
47
once répétée d’une revanche imminente du principe
féminin
sur le patriarcat213 — tout cela fait pressentir la possibilité d’une
48
Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse
féminine
, exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
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i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel
féminin
nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
50
idique pour la Femme, être prophétique, « éternel
féminin
», « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
51
. En retour (en revanche, dirait-on), un principe
féminin
, préexistant à la création matérielle, joue dans le catharisme un rôl
52
son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe
féminin
(Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
53
principe féminin (Amor en provençal est du genre
féminin
) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », et dont
54
de Noûs grec — est l’émanation intellectuelle et
féminine
? Et d’où viendrait, sinon, l’incertitude, voire le sentiment d’équiv
55
Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe
féminin
de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou plus précisément enco
56
ame des pensées, l’idée platonicienne du principe
féminin
, le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
57
ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe
féminin
) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
58
me de chair. L’union mystique avec cette divinité
féminine
devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
59
déalisation, voire d’une divinisation du principe
féminin
. Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
60
culte se concentre autour de ce principe cosmique
féminin
; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
61
et de repos, l’amante synthétise toute la nature
féminine
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »70.
62
et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe
Féminin
de la shakti, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il part
63
t sa source d’abord dans la croyance que le corps
féminin
manifestait par sa seule présence des pouvoirs surnaturels, les mêmes
64
tre sur la métaphore. 122. Surtout les épigones
féminins
: une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
65
nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme
féminin
. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
66
ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique
féminine
, les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
67
corps, des jeunes Parques, des apparences à peine
féminines
de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
68
s une disposition et un état d’esprit à tel point
féminins
que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
69
once répétée d’une revanche imminente du principe
féminin
sur le patriarcat199 — tout cela fait pressentir la possibilité d’une
70
collectivisme. La masse joue le rôle de l’élément
féminin
et sa féminité est particulièrement allemande. Hitler ne tente pas de
71
posait des combats plus féconds… 38. L’Éternel
féminin
L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
72
l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel
féminin
nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
73
se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs
féminines
, il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
74
a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce
féminine
en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
75
d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge
féminin
, sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
76
ime fondé sur le grand nombre dépend des caprices
féminins
de l’Opinion. Il en résulte fatalement que le problème majeur des dir
77
osait des combats plus féconds… 54. L’Éternel
féminin
L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
78
l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel
féminin
nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
79
se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs
féminines
, il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
80
a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce
féminine
en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
81
d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge
féminin
, sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
82
ime fondé sur le grand nombre dépend des caprices
féminins
de l’Opinion. Il en résulte fatalement que le problème majeur des dir
83
posait des combats plus féconds. 54. L’Éternel
féminin
L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
84
l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel
féminin
nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
85
se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs
féminines
, il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
86
a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce
féminine
en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
87
d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge
féminin
, sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
88
ait charmant, c’était piquant, indéfinissablement
féminin
comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela l
89
nifestation terrestre. Il porte les deux symboles
féminin
et masculin : ses cheveux clairs dénotent la conscience (par oppositi
90
charmant, c’était « piquant », indéfinissablement
féminin
comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela,
91
le avec des îlots de luxe révoltant, des musiques
féminines
raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes ve
92
charmant, c’était « piquant », indéfinissablement
féminin
comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela,
93
erchant partout son idéal, son « type » de beauté
féminine
(souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
94
s syndicales et professionnelles, églises, ligues
féminines
, universités, etc. C’est à la période de préparation du congrès de La
95
insi que de nombreux représentants des mouvements
féminins
et universitaires. Trois résolutions furent votées : économique, poli
96
sex-appeal — qui inspire le cinéma, les magazines
féminins
, et leurs courriers du cœur. Je constaterai maintenant que cette pass
97
rotestations fréquentes de plusieurs associations
féminines
, mais elle ne semble pas près d’être modifiée. La Suisse est en effet
98
ame des pensées, l’idée platonicienne du principe
féminin
, le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
99
ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe
féminin
) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
100
me de chair. L’union mystique avec cette divinité
féminine
devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
101
déalisation, voire d’une divinisation du principe
féminin
. Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
102
culte se concentre autour de ce principe cosmique
féminin
; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
103
et de repos, l’amante synthétise toute la nature
féminine
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »20.
104
et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe
Féminin
de la çatki, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il parti
105
s absent de la région du yin tandis que l’élément
féminin
reste présent dans la région du yang. Vérifiée par les sexologues, ce
106
s absent de la région du yin tandis que l’élément
féminin
reste présent dans la région du yang. Vérifiée par les sexologues, ce
107
ce-fiction, poème du siècle, a remplacé l’Éternel
féminin
: c’est elle, dorénavant, qui « nous entraîne vers les hauteurs ». Le
108
les deux cas, Europe reste le nom d’une puissance
féminine
enlevée à l’Asie, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’Olym
109
: « Europe est dans son premier sens un adjectif
féminin
: eurôpé. Cet adjectif est le pendant du masculin euruopa ou, plus ra
110
ts, des femmes et des vieillards », monde passif,
féminin
, sans conflits et sans drame, sans négation ni dialectique, monde « p
111
Et ces anges, nommés Fravartis, sont des entités
féminines
. On retrouve ici Dante, et Goethe, et peut-être bien notre mythe. L’é
112
nes au culte général d’une Sophia æterna, Éternel
féminin
exalté bien au-dessus du Créateur biblique, Jahvé. Attaqués sans relâ
113
fessent avec passion la foi gnostique : l’Éternel
féminin
les entraîne, vers un Ciel qui n’est pas ce qu’un chrétien moyen pens
114
erchant partout son idéal, son « type » de beauté
féminine
(souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
115
st par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel
féminin
mystique du Second Faust. C’est la passion dans son intransigeance et
116
réalité, mais une projection déguisée, le Double
féminin
du moi d’André : « Voilée de noir, au crépuscule, je t’ai vue accoudé
117
ts, des femmes et des vieillards », monde passif,
féminin
, sans conflit et sans drame, sans négation ni dialectique, monde « ph
118
s précise dans l’homologie, ces entités célestes,
féminines
, que la religion de Zarathustra nommait les Fravartis, « celles qui o
119
anique de l’Ange (ainsi en a-t-il été des Figures
féminines
célébrées par les Fedeli d’amore, compagnons de Dante ; ainsi en a-t-
120
a sévérité de l’oncle à l’occasion d’une aventure
féminine
ne pouvait pas déplaire à l’homosexuel que Gide venait de découvrir e
121
ct, soit en amour, soit en adoration de l’Éternel
féminin
au sens mystique. La maithuna tantrique (union sexuelle sacrée) et la
122
s précise dans l’homologie, ces entités célestes,
féminines
, que la religion de Zarathoustra nommait les Fravartis, « celles qui
123
anique de l’Ange (ainsi en a-t-il été des Figures
féminines
célébrées par les Fedeli d’amore, compagnons de Dante ; ainsi en a-t-
124
st par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel
féminin
mystique du Second Faust. C’est la passion dans son intransigeance et
125
c, on voit qu’Europe reste le nom d’une puissance
féminine
enlevée à l’Asie, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’Olym
126
1 : Europe est dans son premier sens un adjectif
féminin
: eurôpé. Cet adjectif est le pendant du masculin euruopa ou, plus ra
127
l’origine à partir des deux éléments masculin et
féminin
, l’humanité s’est divisée en peuples très différents, dont chacun par
128
vouer n’était l’humour et cette espèce de rigueur
féminine
— déconcertant toutes les valeurs nordiques, et trop facilement ratio
129
enses. Ce n’est pas un monde inhumain, car il est
féminin
, sans aucun doute possible. Ne fût-ce que par ces roses un peu gris q
130
du rêve. Au-delà des querelles d’école, l’éternel
féminin
nous entraîne, vers une sorte d’Orient alpestre, aux charmes neufs.
131
n moins qu’à la « shakti » hindoue ou à l’Éternel
féminin
des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’homm
132
s Suisses, à peu près seuls au monde, au suffrage
féminin
. L’armée, telle que la voient les jeunes Suisses d’aujourd’hui, est b
133
publiée au moment du grand débat sur le suffrage
féminin
: faire payer aux femmes la taxe militaire si on leur accordait le dr
134
n moins qu’à la « shakti » hindoue ou à l’Éternel
féminin
des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’homm
135
a féminité de Dieu. Si Dieu avait été conçu comme
féminin
, disiez-vous, la grande vertu eût été la fécondité. — Oh ! cela, c’es
136
que j’ai dit, c’est que si Dieu était conçu comme
féminin
, nous refuserions tous le pouvoir qu’ont pris les femmes dans notre s
137
s femmes dans notre société. — Mais si Dieu était
féminin
… — Mais Dieu est féminin, il n’y a pas de question ! — Comment le sav
138
té. — Mais si Dieu était féminin… — Mais Dieu est
féminin
, il n’y a pas de question ! — Comment le savez-vous ? — D’abord parce
139
sont même devenues les deux mamelles de la presse
féminine
mais curieusement on n’en arrive jamais au remariage. Pourquoi ? L’un
140
unir »… 3. Par exemple, faut-il dire Belgesse au
féminin
, comme on dit Suissesse pour Suisse et princesse pour prince ? Bougre
141
sex-appeal — qui inspire le cinéma, les magazines
féminins
et leurs courriers du cœur. Je constaterai maintenant que cette passi
142
insi que de nombreux représentants des mouvements
féminins
et universitaires. Trois résolutions furent votées : économique, poli
143
6 et 7 février, vote sur le suffrage
féminin
: supprimer un anachronisme et une injustice (4 février 1971)z aa
144
publié par l’Association suisse pour le suffrage
féminin
. Cette affirmation n’est pas immédiatement évidente à chacun. Et pour
145
t qu’il n’y a pas de différence entre masculin et
féminin
. Je dis que sur le plan de la vie publique il n’y en a pas. Je n’en v
146
achronisme et une injustice (à propos du suffrage
féminin
) », L’Illustré, Lausanne, 4 février 1971, p. 30-31. aa. Entretien in
147
du corps électoral, ni par l’introduction du vote
féminin
. Les individus changent comme les cellules d’un corps, les nombres ab
148
n et le Divers, le Transcendant et l’Immanent, le
Féminin
et le Masculin, l’Ordre et le Désordre, la Puissance et la Liberté, l
149
s ont bien senti où était mon cœur. Les magazines
féminins
m’ont approuvé pour ma défense de la fidélité, tout en paraissant reg
150
s assistons à un nouveau surgissement du principe
féminin
, bien moins sensible d’ailleurs, dans le mouvement de libération des
151
Or, ces anges, nommés Fravartis, sont des entités
féminines
. On retrouve ici Dante, et Goethe, et peut-être bien notre mythe. L’é
152
d’aujourd’hui, de nouveaux « pouvoirs » : pouvoir
féminin
, pouvoir noir, pouvoir des fleurs, pouvoir jeune, pouvoir régional, e
153
ce de la Dame, de la Sophia aeterna — « l’Éternel
féminin
», dira Goethe. La dialectique du vrai jour et de l’évidence quotidie
154
, donnant ainsi la vraie formule d’un donjuanisme
féminin
. Car c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui cré
155
c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir
féminin
qui crée « l’homme sans visage », l’homme d’une nuit sans lendemains
156
mœurs des courtisanes, l’inceste, l’homosexualité
féminine
et masculine, et les délices infiniment variées du masochisme, de Sac
157
du xiie siècle : une vaste remontée du principe
féminin
, à la recherche de nouveaux symboles, de nouvelles façons de se manif
158
magazine américain les premières photos de sexes
féminins
; en 1973, de sexes masculins ; leur conjonction ne saurait tarder, d
159
d’aujourd’hui, de nouveaux « pouvoirs » : pouvoir
féminin
, pouvoir noir, pouvoir des fleurs, pouvoir jeune, pouvoir régional. O
160
end surtout à tuer. Il faut restaurer les valeurs
féminines
. Et comment ! Il y a un autre passage du livre de Bertrand de Jouvene
161
ents (groupes d’actions municipales, associations
féminines
, fédéralistes, écologistes, etc.) sont à l’œuvre, ébauchent le relief
162
oléreux », les Français « orgueilleux, faibles et
féminins
». Plus précises et plus nationales au sens moderne sont les descript
163
ée : voir la chute du tirage des magazines de nus
féminins
, puis masculins. Il semble qu’une vision écologique et conviviale de