1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 -vous au thé du Printemps. J’ai rôdé dans la joie féminine des grands magasins, n’osant pas repasser trop souvent devant les asc
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 ers découpés, avec une ingéniosité délicieusement féminine , une élégance aiguë. Notre revue n’est certes pas complète. Mais elle
3 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
3 omprenez rien, mais le charme des voix hongroises féminines suffit à votre bonheur et vous voyez bien que Mme Varshany est une gr
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
4 de Genève, Genève, août 1929, p. 250-251. bb. Le féminin est ici conservé, conformément au texte original.
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
5 laire de M. Chardonne a rallié tous les suffrages féminins , et classe son auteur dans la lignée de ces fameux « moralistes franç
6 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
6 uxquelles s’applique le règlement. La sensibilité féminine réagit d’ordinaire avec précision à cette brutalité de la logique ; e
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
7 le avec des îlots de luxe révoltant, des musiques féminines raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes ve
8 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
8 « la bonté, la charité (vertus toutes passives et féminines ) » (au sentiment de l’auteur), mais c’est, au contraire, la volonté d
9 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
9 font du Saint-Esprit la Mère de Dieu, le principe féminin de l’amour. En embrassant le catharisme, le néophyte s’engageait, s’i
10 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
10 ux grands romanciers les directrices de magazines féminins , qui tiennent boutique de consultations pour leurs lectrices avides d
11 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
11 de les payer. Seules les directrices de magazines féminins me paraissent exercer une activité précise de direction morale, par c
12 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
12 erchant partout son idéal, son « type » de beauté féminine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
13 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
13 me. Et j’ai surtout rencontré la faveur du public féminin content de voir examiner impartialement « son » problème. Comment en
14 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
14 Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine , exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
15 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
15 i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
16 idique pour la Femme, être prophétique, « éternel féminin  », « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
17 ) dont elle fait « la Mère de Dieu », le principe féminin de l’Amour (c’est la Sophia chez les gnostiques grecs ; Maria chez le
18 son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
19 principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin ) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », n’est-c
16 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
20 on », « fou d’amour ». 115. Surtout les épigones féminins  : une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
17 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
21 nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin . Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
22 ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique féminine , les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
23 corps, des jeunes Parques, des apparences à peine féminines de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
18 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
24 s une disposition et un état d’esprit à tel point féminins que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
25 Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine , exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
26 i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
27 idique pour la Femme, être prophétique, « éternel féminin  », « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
28 . En retour (en revanche, dirait-on), un principe féminin , préexistant à la création matérielle, joue dans le catharisme un rôl
29 son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
30 principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin ) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », et dont
31  le Noûs grec — est l’émanation intellectuelle et féminine  ? Et d’où viendrait, sinon, l’incertitude, voire le sentiment d’équiv
32 Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou plus précisément enco
33 ame des pensées, l’idée platonicienne du principe féminin , le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
34 ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe féminin ) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
35 me de chair. L’union mystique avec cette divinité féminine devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
36 déalisation, voire d’une divinisation du principe féminin . Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
37 culte se concentre autour de ce principe cosmique féminin  ; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
38 et de repos, l’amante synthétise toute la nature féminine , elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut79 ».
39 et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il part
40 t sa source d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seule présence des pouvoirs surnaturels, les mêmes
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
41 on », « fou d’amour ». 133. Surtout les épigones féminins  : une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
42 nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin . Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
43 ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique féminine , les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
44 corps, des jeunes Parques, des apparences à peine féminines de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
45 s une disposition et un état d’esprit à tel point féminins que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
24 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
46 once répétée d’une revanche imminente du principe féminin sur le patriarcat213 — tout cela fait pressentir la possibilité d’une
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
47 Marc la traite bien. Puis, par une dernière ruse féminine , exploitant cette concession, la reine déclare qu’elle rejoindra le c
26 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
48 i… Et pourtant sa nature est fuyante. « L’Éternel féminin nous entraîne », dira Goethe. Et Novalis : « La femme est le but de l
49 idique pour la Femme, être prophétique, « éternel féminin  », « but de l’homme ». Les Celtes, déjà, tendaient donc à matérialise
50 . En retour (en revanche, dirait-on), un principe féminin , préexistant à la création matérielle, joue dans le catharisme un rôl
51 son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir
52 principe féminin (Amor en provençal est du genre féminin ) qui chez Dante va « mouvoir le ciel et toutes les étoiles », et dont
53  de Noûs grec — est l’émanation intellectuelle et féminine  ? Et d’où viendrait, sinon, l’incertitude, voire le sentiment d’équiv
54 Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou plus précisément enco
55 ame des pensées, l’idée platonicienne du principe féminin , le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
56 ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe féminin ) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
57 me de chair. L’union mystique avec cette divinité féminine devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
58 déalisation, voire d’une divinisation du principe féminin . Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
59 culte se concentre autour de ce principe cosmique féminin  ; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
60 et de repos, l’amante synthétise toute la nature féminine , elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »70.
61 et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la shakti, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il part
62 t sa source d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seule présence des pouvoirs surnaturels, les mêmes
27 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
63 tre sur la métaphore. 122. Surtout les épigones féminins  : une Marguerite-Marie Alacoque au xviie siècle en fournit le plus i
28 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
64 nt peut-être la meilleure formule du don-juanisme féminin . Car c’est la femme qui rêve Don Juan, et s’il se trouve pour incarne
65 ne saurait dépister avec plus de rigueur, quoique féminine , les confusions intéressées de l’Éros et de l’Agapè. « La vertu est s
66 corps, des jeunes Parques, des apparences à peine féminines de fuites — comme on dit que l’eau fuit d’un bassin : fissures dans l
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
67 s une disposition et un état d’esprit à tel point féminins que ses opinions et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’imp
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
68 once répétée d’une revanche imminente du principe féminin sur le patriarcat199 — tout cela fait pressentir la possibilité d’une
31 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
69 posait des combats plus féconds… 38. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
70 l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
71 se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs féminines , il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
72 a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce féminine en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
73 d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge féminin , sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
32 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
74 ime fondé sur le grand nombre dépend des caprices féminins de l’Opinion. Il en résulte fatalement que le problème majeur des dir
33 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
75 osait des combats plus féconds… 54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
76 l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
77 se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs féminines , il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
78 a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce féminine en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
79 d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge féminin , sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
34 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
80 ime fondé sur le grand nombre dépend des caprices féminins de l’Opinion. Il en résulte fatalement que le problème majeur des dir
35 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
81 posait des combats plus féconds. 54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime, mais le diable s’en sert, et de préfér
82 l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs »… En vérité, la femme n’est porte de
83 se met à l’adorer, à rendre un culte aux valeurs féminines , il prive la femme de ses appuis et transforme la tentation dans laqu
84 a complicité de l’égoïsme masculin et de l’astuce féminine en panique, multiplient des conflits inextricables. « L’amour est à r
85 d’un amour authentique. N’imitez pas le mensonge féminin , sinon les femmes elles-mêmes finiront par s’y tromper, et le gâchis
36 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
86 ait charmant, c’était piquant, indéfinissablement féminin comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela l
37 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
87 nifestation terrestre. Il porte les deux symboles féminin et masculin : ses cheveux clairs dénotent la conscience (par oppositi
38 1946, Journal des deux mondes. Virginie
88 charmant, c’était « piquant », indéfinissablement féminin comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela,
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
89 le avec des îlots de luxe révoltant, des musiques féminines raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes ve
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
90 charmant, c’était « piquant », indéfinissablement féminin comme le sont la plupart des vedettes. Mais où était dans tout cela,
41 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
91 erchant partout son idéal, son « type » de beauté féminine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
42 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
92 s syndicales et professionnelles, églises, ligues féminines , universités, etc. C’est à la période de préparation du congrès de La
43 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
93 insi que de nombreux représentants des mouvements féminins et universitaires. Trois résolutions furent votées : économique, poli
44 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
94 sex-appeal — qui inspire le cinéma, les magazines féminins , et leurs courriers du cœur. Je constaterai maintenant que cette pass
45 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
95 rotestations fréquentes de plusieurs associations féminines , mais elle ne semble pas près d’être modifiée. La Suisse est en effet
46 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
96 ame des pensées, l’idée platonicienne du principe féminin , le culte de l’Amour contre le mariage, en même temps que la chasteté
97 ids de l’interdit lié à la mère (donc au principe féminin ) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce c
98 me de chair. L’union mystique avec cette divinité féminine devient alors une participation à la puissance légitime du Dieu lumin
99 déalisation, voire d’une divinisation du principe féminin . Ce qui ne peut qu’aviver la contradiction entre les idéaux (eux-même
100 culte se concentre autour de ce principe cosmique féminin  ; la méditation tient compte de ses « pouvoirs », la délivrance devie
101 et de repos, l’amante synthétise toute la nature féminine , elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le chemin du salut »21.
102 et de l’expression lyrique de l’âme, le Principe Féminin de la çatki, le culte de la Femme, de la Mère, de la Vierge. Il parti
47 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
103 s absent de la région du yin tandis que l’élément féminin reste présent dans la région du yang. Vérifiée par les sexologues, ce
48 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
104 ce-fiction, poème du siècle, a remplacé l’Éternel féminin  : c’est elle, dorénavant, qui « nous entraîne vers les hauteurs ». Le
49 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
105 s absent de la région du yin tandis que l’élément féminin reste présent dans la région du yang. Vérifiée par les sexologues, ce
50 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
106 ts, des femmes et des vieillards », monde passif, féminin , sans conflits et sans drame, sans négation ni dialectique, monde « p
51 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
107 les deux cas, Europe reste le nom d’une puissance féminine enlevée à l’Asie, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’Olym
52 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
108 : « Europe est dans son premier sens un adjectif féminin  : eurôpé. Cet adjectif est le pendant du masculin euruopa ou, plus ra
53 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
109 s précise dans l’homologie, ces entités célestes, féminines , que la religion de Zarathoustra nommait les Fravartis, « celles qui
110 anique de l’Ange (ainsi en a-t-il été des Figures féminines célébrées par les Fedeli d’amore, compagnons de Dante ; ainsi en a-t-
54 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
111 st par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel féminin mystique du Second Faust. C’est la passion dans son intransigeance et
55 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
112 Et ces anges, nommés Fravartis, sont des entités féminines . On retrouve ici Dante, et Goethe, et peut-être bien notre mythe. L’é
56 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
113 nes au culte général d’une Sophia æterna, Éternel féminin exalté bien au-dessus du Créateur biblique, Jahvé. Attaqués sans relâ
57 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
114 fessent avec passion la foi gnostique : l’Éternel féminin les entraîne, vers un Ciel qui n’est pas ce qu’un chrétien moyen pens
58 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
115 erchant partout son idéal, son « type » de beauté féminine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugi
59 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
116 st par essence malheureux, ce n’est pas l’Éternel féminin mystique du Second Faust. C’est la passion dans son intransigeance et
60 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
117 réalité, mais une projection déguisée, le Double féminin du moi d’André : « Voilée de noir, au crépuscule, je t’ai vue accoudé
61 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
118 ts, des femmes et des vieillards », monde passif, féminin , sans conflit et sans drame, sans négation ni dialectique, monde « ph
62 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
119 s précise dans l’homologie, ces entités célestes, féminines , que la religion de Zarathustra nommait les Fravartis, « celles qui o
120 anique de l’Ange (ainsi en a-t-il été des Figures féminines célébrées par les Fedeli d’amore, compagnons de Dante ; ainsi en a-t-
63 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
121 a sévérité de l’oncle à l’occasion d’une aventure féminine ne pouvait pas déplaire à l’homosexuel que Gide venait de découvrir e
122 ct, soit en amour, soit en adoration de l’Éternel féminin au sens mystique. La maithuna tantrique (union sexuelle sacrée) et la
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
123 c, on voit qu’Europe reste le nom d’une puissance féminine enlevée à l’Asie, puis fécondée par le dieu mâle qui règne sur l’Olym
124 1 : Europe est dans son premier sens un adjectif féminin  : eurôpé. Cet adjectif est le pendant du masculin euruopa ou, plus ra
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
125 l’origine à partir des deux éléments masculin et féminin , l’humanité s’est divisée en peuples très différents, dont chacun par
66 1962, Articles divers (1957-1962). Le règne de Victoria (1962)
126 vouer n’était l’humour et cette espèce de rigueur féminine — déconcertant toutes les valeurs nordiques, et trop facilement ratio
67 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
127 enses. Ce n’est pas un monde inhumain, car il est féminin , sans aucun doute possible. Ne fût-ce que par ces roses un peu gris q
128 du rêve. Au-delà des querelles d’école, l’éternel féminin nous entraîne, vers une sorte d’Orient alpestre, aux charmes neufs.
68 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
129 n moins qu’à la « shakti » hindoue ou à l’Éternel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’homm
69 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
130 s Suisses, à peu près seuls au monde, au suffrage féminin . L’armée, telle que la voient les jeunes Suisses d’aujourd’hui, est b
131 publiée au moment du grand débat sur le suffrage féminin  : faire payer aux femmes la taxe militaire si on leur accordait le dr
70 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
132 n moins qu’à la « shakti » hindoue ou à l’Éternel féminin des mystiques hérétiques. Pour Barth, Dieu est le vis-à-vis de l’homm
71 1966, Articles divers (1963-1969). Un libéral engagé (1966)
133 a féminité de Dieu. Si Dieu avait été conçu comme féminin , disiez-vous, la grande vertu eût été la fécondité. — Oh ! cela, c’es
134 que j’ai dit, c’est que si Dieu était conçu comme féminin , nous refuserions tous le pouvoir qu’ont pris les femmes dans notre s
135 s femmes dans notre société. — Mais si Dieu était féminin … — Mais Dieu est féminin, il n’y a pas de question ! — Comment le sav
136 té. — Mais si Dieu était féminin… — Mais Dieu est féminin , il n’y a pas de question ! — Comment le savez-vous ? — D’abord parce
72 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
137 sont même devenues les deux mamelles de la presse féminine mais curieusement on n’en arrive jamais au remariage. Pourquoi ? L’un
73 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Le mouvement européen
138 insi que de nombreux représentants des mouvements féminins et universitaires. Trois résolutions furent votées : économique, poli
74 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
139 unir »… 3. Par exemple, faut-il dire Belgesse au féminin , comme on dit Suissesse pour Suisse et princesse pour prince ? Bougre
75 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
140 sex-appeal — qui inspire le cinéma, les magazines féminins et leurs courriers du cœur. Je constaterai maintenant que cette passi
76 1971, Articles divers (1970-1973). 6 et 7 février, vote sur le suffrage féminin : supprimer un anachronisme et une injustice (4 février 1971)
141 6 et 7 février, vote sur le suffrage féminin  : supprimer un anachronisme et une injustice (4 février 1971)r « D
142 publié par l’Association suisse pour le suffrage féminin . Cette affirmation n’est pas immédiatement évidente à chacun. Et pour
143 t qu’il n’y a pas de différence entre masculin et féminin . Je dis que sur le plan de la vie publique il n’y en a pas. Je n’en v
77 1972, Articles divers (1970-1973). Qu’est-ce que la culture ? : quatre thèses et une hypothèse (juin 1972)
144 n et le Divers, le Transcendant et l’Immanent, le Féminin et le Masculin, l’Ordre et le Désordre, la Puissance et la Liberté, l
78 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
145 s assistons à un nouveau surgissement du principe féminin , bien moins sensible d’ailleurs, dans le mouvement de libération des
79 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
146 s ont bien senti où était mon cœur. Les magazines féminins m’ont approuvé pour ma défense de la fidélité, tout en paraissant reg
80 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
147 du corps électoral, ni par l’introduction du vote féminin . Les individus changent comme les cellules d’un corps, les nombres ab
81 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
148 Or, ces anges, nommés Fravartis, sont des entités féminines . On retrouve ici Dante, et Goethe, et peut-être bien notre mythe. L’é
82 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
149 d’aujourd’hui, de nouveaux « pouvoirs » : pouvoir féminin , pouvoir noir, pouvoir des fleurs, pouvoir jeune, pouvoir régional, e
83 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
150 ce de la Dame, de la Sophia aeterna — « l’Éternel féminin  », dira Goethe. La dialectique du vrai jour et de l’évidence quotidie
151 , donnant ainsi la vraie formule d’un donjuanisme féminin . Car c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui cré
152 c’est la femme qui rêve Don Juan, c’est le désir féminin qui crée « l’homme sans visage », l’homme d’une nuit sans lendemains
153 mœurs des courtisanes, l’inceste, l’homosexualité féminine et masculine, et les délices infiniment variées du masochisme, de Sac
154 du xiie siècle : une vaste remontée du principe féminin , à la recherche de nouveaux symboles, de nouvelles façons de se manif
84 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
155 d’aujourd’hui, de nouveaux « pouvoirs » : pouvoir féminin , pouvoir noir, pouvoir des fleurs, pouvoir jeune, pouvoir régional. O
85 1978, Articles divers (1978-1981). Dépolitiser la politique (janvier 1978)
156 end surtout à tuer. Il faut restaurer les valeurs féminines . Et comment ! Il y a un autre passage du livre de Bertrand de Jouvene
86 1978, Articles divers (1978-1981). L’amour, pas la guerre (19-25 octobre 1978)
157 ents (groupes d’actions municipales, associations féminines , fédéralistes, écologistes, etc.) sont à l’œuvre, ébauchent le relief
87 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
158 ée : voir la chute du tirage des magazines de nus féminins , puis masculins. Il semble qu’une vision écologique et conviviale de