1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
1 eliefs cambodgiens. Je donne l’histoire comme une fable . Il est peut-être curieux de noter que les pires blasphèmes, de la po
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
2 i faut-il que l’image de cet aviateur m’évoque la fable  : « Je suis oiseau, voyez mes ailes. » Qu’il n’aille pas croire pourt
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
3 sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’ordinaire consciencieux
4 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
4 eu la demeure de tes pensées. Ainsi, nous dit la Fable , fit Myscille, habitant d’Argos. N’ayant pu débrouiller le sens de l’
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
5 sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’ordinaire consciencieux
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
6 istes, que dirons-nous ? Le livre s’ouvre par une fable . L’enfant Démophon est soigné par Déméter, déguisée en nourrice. Elle
7 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
7 ète allemand. Les autres ont toujours cru à cette fable , mais dirait-on, sans le savoir. Chamisso, lui, s’en étonnera. Tel es
8 u mythe38. Dès le début, j’avais pressenti qu’une fable à ce point célèbre dans un peuple ne pouvait exprimer qu’un fait huma
9 homme a retrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très pré
10 folles illusions, à la hauteur du mythe, et de la Fable , plus profondément vrais que la vie. (Plus riches d’enseignements con
11 je garde ma pitié. Il ne sait même plus écrire sa Fable , il n’en veut plus, il veut du vraisemblable ! Il est retombé dans le
8 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
12 la distance et de la simplification, vérité de la fable qui donne une forme grande à nos obscurs et grands désirs informulés.
9 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
13 qu’aucun autre le déploiement des pouvoirs de la fable . Ces presbytères campagnards — que de pasteurs dans la famille des ro
10 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
14 lles nous sont données pour ce qu’elles sont, des fables . Nos romanciers, terrorisés par une sadique « défense d’inventer », s
15 ns la virtuosité et les malices de ce génie de la fable nordique. Lagerlöf ou la gloire de conter ! Jusqu’au moment où l’imag
16 atastrophes naturelles, et tous les emplois de la fable suédoise : trolls, sorcières, belles jeunes filles courtisées par des
11 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
17 a distance et de la simplification ; vérité de la fable qui donne une forme grande à nos obscurs et grands désirs informulés.
12 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
18 ources mêmes du judaïsme préchrétien. C’est là sa Fable , sa mythologie. Goliath, Joseph vendu par ses frères, Jonas dans sa b
13 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
19 anière générale qu’un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situati
20 e figures rituelles de rhétorique. Sans elles, la fable n’aurait pas trouvé ses prétextes à rebondissements, et surtout elle
14 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
21 a fin du xiiie siècle, exprimant dans une petite fable la vraie nature de l’Amour qu’il chante, et le danger de s’arrêter au
22 iaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable , avec cette conclusion : Ce fauve, à mon avis, c’est nous ; ses peti
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
23 anière générale qu’un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situati
24 e figures rituelles de rhétorique. Sans elles, la fable n’aurait pas trouvé ses prétextes à rebondissements, et surtout elle
16 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
25 a fin du xiiie siècle, exprimant dans une petite fable la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux
26 iaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable , avec cette conclusion : Ce fauve, à mon avis, c’est nous ; ses petit
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
27 anière générale qu’un mythe est une histoire, une fable symbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situati
28 e figures rituelles de rhétorique. Sans elles, la fable n’aurait pas trouvé ses prétextes à rebondissements, et surtout elle
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
29 a fin du xiiie siècle, exprimant dans une petite fable la vraie nature de l’amour qu’il chante et le danger de s’arrêter aux
30 iaire moralisé de cette époque, je trouve la même fable , avec cette conclusion : Ce fauve, à mon avis, c’est nous ; ses peti
19 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
31 dit le goût de vivre. C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu
20 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
32 dit le goût de vivre. C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu
21 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
33 dit le goût de vivre. C’est l’une des plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu
22 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
34 si toutefois quelque chose est vraiment dite. La Fable nous apprend à sa manière que l’amour est le lieu d’un mutisme sacré.
23 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
35 choir fatalement le roman dès qu’il refusa d’être fable . Tout l’intérêt du conte, effectivement, tenait aux conventions qu’il
36 t toute son « étude ». Mais le besoin de lire des fables ne s’éteindra pas pour si peu ; et moins encore, le besoin d’en conte
24 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
37 n être. Tantale avait commis deux crimes, dit la Fable . Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôtes leur nectar
38 le registre de l’humour profond, reproduit notre fable grecque, mais la conduit à une heureuse fin. L’oncle van der Kabel vi
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
39 sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’ordinaire consciencieux
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
40 a distance et de la simplification ; vérité de la fable qui donne une forme grande à nos obscurs et grands désirs informulés.
27 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
41 pas la différence, essayons de l’éclairer par une fable . Supposons que j’aie tant et si bien parlé à la radio américaine, qu’
28 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
42 pas la différence, essayons de l’éclairer par une fable . Fable J’ai tant et si bien parlé à la radio américaine, qu’à l
43 férence, essayons de l’éclairer par une fable. Fable J’ai tant et si bien parlé à la radio américaine, qu’à la fin les
29 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
44 nt le réel comme un événement permanent. Et leurs fables illustrent les drames réguliers de la vie affective et spirituelle, c
30 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
45 eu la demeure de mes pensées. Ainsi, nous dit la Fable , fit Myscille, habitant d’Argos. N’ayant pu débrouiller le sens de l’
31 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
46 ète allemand. Les autres ont toujours cru à cette fable , mais, dirait-on, sans le savoir. Chamisso, lui, s’en étonnera. Tel e
47 du mythe. Dès le début, j’avais pressenti qu’une fable à ce point célèbre chez un peuple ne pouvait exprimer qu’un fait huma
48 homme a retrouvé son ombre. Suite et fin de la fable Peter Schlemihl nous apparaît maintenant une émouvante et très pr
49 folles illusions, à la hauteur du mythe, ou de la Fable , plus profondément vrais que la vie (plus riches d’enseignements conc
50 n’a plus d’ombre : il ne sait même plus écrire sa Fable , il n’en veut plus, il veut du vraisemblable… Il est retombé dans le
32 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
51 si toutefois quelque chose est vraiment dite. La Fable nous apprend à sa manière que l’amour est le lieu d’un mutisme sacré.
33 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
52 on être. Tantale avait commis deux crimes, dit la Fable . Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôtes leur nectar
53 le registre de l’humour profond, reproduit notre fable grecque, mais la conduit à une heureuse fin. L’oncle van der Kabel vi
34 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
54 ou morale. …J’illustrerai ce point par une petite fable . Imaginez un loup, un agneau, et un berger. L’agneau décide de rester
35 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
55 x et les dieux dans la métamorphose infinie de la Fable . ⁂ Chaque nuit, je sors de mon hôtel pour aller respirer l’air de la
36 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
56 arras. Le décrire n’est déjà pas facile… Mais une fable simplette va nous y aider peut-être. Soit un chef absolu qui ordonne
37 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
57 d’un Centre. Sens. Le Dictionnaire abrégé de la fable nous apprend que Myscille, habitant d’Argos, n’ayant pu débrouiller l
38 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
58 tabou ne vient symboliser, pour les besoins de la fable et la commodité du romancier, l’essence même de l’obstacle excitant,
39 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
59 s le naturel des Européens ». Il croit moins à la fable divine qu’à la possible valeur ethnographique du mythe : Aucuns, mép
60 ethnographique du mythe : Aucuns, méprisants ces fables la disent (Europe) avoir été ravie et enlevée en un navire, portant e
40 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
61 . »120 Voici sans doute le texte capital : Une fable . — Le Don Juan de la connaissance : aucun philosophe, aucun poète ne
41 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Présence des mythes et leurs pouvoirs dans divers ordres
62 ands personnages qui leur ont attaché leur nom de fable , Œdipe ou Prométhée, Tristan, Faust ou Don Juan, mais aussi dans les
42 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
63 tabou ne vient symboliser, pour les besoins de la fable et la commodité du romancier, l’essence même de l’obstacle excitant,
43 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
64 t.46 » Voici sans doute le texte capital : Une fable . — Le Don Juan de la connaissance : aucun philosophe, aucun poète ne
44 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
65 urel des Européens ». Cet auteur croit moins à la fable divine qu’à la possible valeur ethnographique du mythe : Aucuns, mép
66 ethnographique du mythe : Aucuns, méprisants ces fables la disent (Europe) avoir été ravie et enlevée en un navire, portant e
45 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
67 t, bâtis une ville ! » Ainsi Cadmus fonda Thèbes. Fable ambiguë, comme toutes les choses divines, ménageant notre liberté d’i
46 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
68 bâtis une ville ! » Ainsi Cadmus fonda Thèbes10. Fable ambiguë, comme toutes les choses divines, ménageant notre liberté d’i
47 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
69 ources mêmes du judaïsme préchrétien. C’est là sa Fable , sa mythologie. Goliath, Joseph vendu par ses frères, Jonas dans sa b
48 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
70 happaz on est en poésie, en invention verbale, en fable épique, et non plus en intrigue ou en psychologie. 100. Albert Gyerg
49 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
71 urgeois Guillimann vers 1600 traite le récit de «  fable  ». Le Vaudois J.-B. Plantin l’imite en 1633, écartant du même coup la
72 d’auteur, et qui s’intitule : Guillaume Tell, une fable danoise. La brochure anonyme soulève des tempêtes : condamnée par les
50 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
73 tabou ne vient symboliser, pour les besoins de la fable et la commodité du romancier, l’essence même de l’obstacle excitant,
51 1975, Articles divers (1974-1977). Le Morgarten du xxe siècle (1975)
74 ciel sur la prairie du Grütli. Tout cela est une fable qu’il n’est même pas intéressant de réfuter. En réalité, les choses s
52 1977, Articles divers (1974-1977). Demain le soleil (20 décembre 1977)
75 oix tranquille, comme il m’aurait raconté quelque fable plaisante, Rougemont venait de démonter, pour moi, pièce à pièce, un
53 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
76 on n’a jamais vu mourir un jardinier. » Et cette fable arabe m’enchante : « On n’a jamais vu un aussi bel été ! disait le pe
54 1978, Articles divers (1978-1981). Le diable en Suisse (1er janvier 1978)
77 es Enfers : nous y voilà ! « Ce dieu, nous dit la Fable , était si noir et si laid qu’il ne pouvait trouver de femme. Il faisa