1
ure de l’écrivain et de l’artiste, du conteur, du
fabulateur
d’idées que reste pour nous Thibaudet. Dans cette critique que je vou
2
rne apparaît étrangement dépourvu de ce pouvoir «
fabulateur
» qu’il était censé détenir. (Déjà M. Weidlé, dans ses Abeilles d’Ari
3
t-à-dire la part libre du génie, de l’imagination
fabulatrice
. Et c’est là que je vois le très grand intérêt de ces souvenirs — don
4
lle aime les grands rhétoriciens de l’imagination
fabulatrice
. Elle se précipite avec fougue dans leurs pièges les plus évidents. E
5
in nombre de renseignements fixes et une capacité
fabulatrice
qui leur donne un sens et un nom, comme « victoire » et « bataille de
6
ux mêmes nappes profondes de la psyché, à la fois
fabulatrice
et fabricatrice, poétique au sens étymologique. Et nous pouvons aisém
7
ux mêmes nappes profondes de la psyché, à la fois
fabulatrice
et fabricatrice, poétique au sens étymologique du mot. Et nous pouvon
8
s’idéaliser dans le domaine de la pensée pure et
fabulatrice
… Cette religion devait transformer la poésie qui avait été longtemps
9
ux mêmes nappes profondes de la psyché, à la fois
fabulatrice
et fabricatrice, poétique au sens étymologique du mot. 2. Gardons-nou