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tive sécurité cherche son divertissement dans des
fictions
romanesques. Le roman est un genre bourgeois — et c’est peut-être par
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auloiserie, aussi bien que la courtoisie, est une
fiction
romantique. La pensée érotique, pour acquérir une valeur de culture,
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e nous nommons culture ? Philosophie, beaux-arts,
fictions
écrites, science, industrie, tout cela est sacrifié à la seule chose
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e trouva-t-il à s’incarner que dans de grotesques
fictions
: Joseph Prudhomme, le pharmacien Homais. La vérité, l’esprit et la c
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e nous nommons culture ? Philosophie, beaux-arts,
fictions
écrites, science, industrie, tout cela est sacrifié à la seule chose
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e trouva-t-il à s’incarner que dans de grotesques
fictions
: Joseph Prudhomme, le pharmacien Homais, le Père Uba. La vérité, l’e
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maine, si celle-ci pouvait être modifiée. » Nulle
fiction
; un journal de méditations dans la vie, de rêves dans l’affreuse vie
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voudra, roman, essai, commentaires ou poèmes, la
fiction
n’étant plus qu’un alibi, ou peut-être une dernière pudeur… Il faut q
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crime ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une
fiction
, et non pas d’un regard exact. Si jamais je publiais ce cahier, ce ne
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e nous nommons culture ? Philosophie, beaux-arts,
fictions
écrites, science, industrie, tout cela est sacrifié à la seule chose
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t, la chance du roman n’est-elle pas d’opposer la
fiction
d’un certain idéal de vie aux réalités tyranniques ? Plus d’une énigm
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auloiserie, aussi bien que la courtoisie, est une
fiction
romantique. La pensée érotique, pour acquérir une valeur de culture,
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er un réel développement social, se servait de la
fiction
de l’idéal chevaleresque à l’aide de laquelle elle réduisait le monde
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t, la chance du roman n’est-elle pas d’opposer la
fiction
d’un certain idéal de vie aux réalités tyranniques ? Plus d’une énigm
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auloiserie, aussi bien que la courtoisie, est une
fiction
romantique. La pensée érotique, pour acquérir une valeur de culture,
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t, la chance du roman n’est-elle pas d’opposer la
fiction
d’un certain idéal de vie aux réalités tyranniques ? Plus d’une énigm
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auloiserie, aussi bien que la courtoisie, est une
fiction
romantique. La pensée érotique, pour acquérir une valeur de culture,
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er un réel développement social, se servait de la
fiction
de l’idéal chevaleresque à l’aide de laquelle elle réduisait le monde
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nt que j’aime une autre femme, rester fidèle à la
fiction
légale serait une pure hypocrisie.12 » Par malheur, ce beau raisonnem
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nt que j’aime une autre femme, rester fidèle à la
fiction
légale serait une pure hypocrisie.23 » Par malheur, ce beau raisonnem
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nt que j’aime une autre femme, rester fidèle à la
fiction
légale serait une pure hypocrisie.25 » Par malheur, ce beau raisonnem
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voudra, roman, essai, commentaires ou poèmes, la
fiction
n’étant plus qu’un alibi, ou peut-être une dernière pudeur… Il faut
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crime ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une
fiction
, et non pas d’un regard exact. Si jamais je publiais ce cahier, ce ne
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ndance économique des nations de l’Europe est une
fiction
. Tout le monde le sait, n’en parlons plus. Quant à l’indépendance mor
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asion. Il est vrai que l’homme moyen n’est qu’une
fiction
: les romanciers modernes nous l’ont assez montré, c’est leur métier.
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tré, c’est leur métier. Mais ils partent de cette
fiction
, pour la combattre. Partons-en, par commodité. Et bornons-nous à quel
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t de l’œuvre. Elles font pâlir presque toutes nos
fictions
. Elles nous forcent à croire qu’ici, enfin, un homme nous parle avec
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’il perçoit n’ont rien de commun avec les grandes
fictions
qu’il redoutait, ou qu’il souhaitait, sur la foi de son journal et de
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de ce qu’en va faire le mouvement de l’Histoire,
fiction
commode. Loin d’ajouter à cette littérature, j’examinerai les trois q
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e pointe de condescendance devant les ouvrages de
fiction
, devant la création romanesque. C’était sans songer à l’auteur de ce
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gardons le pape et l’empereur comme des noms, des
fictions
. Chaque cité a son roi, chaque maison a son prince.74 55. Lorsqu
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de faire des romans, pourquoi trouverons-nous sa
fiction
mauvaise, qui nous ramènerait le siècle d’or. Rousseau, dans son Ex
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de faire des romans, pourquoi trouverons-nous sa
fiction
mauvaise, qui nous ramènerait le siècle d’or.110 Au sujet de l’abbé
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, ils ne seraient pas non plus maintenus dans une
fiction
de souveraineté absolue, mais ils joueraient un rôle plus ou moins an
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e nous nommons culture ? Philosophie, beaux-arts,
fictions
écrites, science, industrie, tout cela est sacrifié à la seule chose
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. Au surplus, les réalités ont déjà dépassé cette
fiction
helvétique. Il est trop tard pour la reconstituer, à supposer qu’elle
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lités de l’histoire suisse dépassent largement la
fiction
quant aux leçons d’avenir qu’elles nous proposent, et qu’elles peuven
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ef d’État, c’est celui de refuser l’abandon d’une
fiction
: la souveraineté absolue de son pays. En revanche, l’indépendance gl
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. Au surplus, les réalités ont déjà dépassé cette
fiction
helvétique. Il est trop tard pour la reconstituer, à supposer qu’elle
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össischen Bünde, dans lesquelles il rejette comme
fictions
Tell, le Grütli, l’expulsion des baillis, le despotisme des Habsbourg
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ype même de faux problèmes, résultant de la seule
fiction
d’économies dites nationales, qui ne correspondent à rien d’économiqu
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ype même de faux problèmes, résultant de la seule
fiction
d’économies dites nationales, qui ne correspondent à rien d’économiqu
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gions auront à choisir entre leurs réalités et la
fiction
stato-nationale. Cette démarche complexe, maintenant l’existence d’in
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ype même de faux problèmes, résultant de la seule
fiction
d’économies dites nationales, qui ne correspondent à rien d’économiqu
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se de beaucoup plus sérieux que le maintien d’une
fiction
juridique, et qui est d’exécuter la volonté du peuple. Cette volonté,
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ype même de faux problèmes, résultant de la seule
fiction
d’économies dites nationales, qui ne correspondent à rien d’économiqu
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cralisée, c’est-à-dire du « sens de l’Histoire »,
fiction
commode. Ce faisant, il se coupe de la mémoire humaine, de l’approche
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ur contenu, sans plus se laisser paralyser par la
fiction
, décidément indéfendable à tous points de vue, des frontières nationa
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ur contenu, sans plus se laisser paralyser par la
fiction
, décidément indéfendable à tous points de vue, des frontières nationa
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ur contenu, sans plus se laisser paralyser par la
fiction
, décidément indéfendable à tous points de vue, des frontières nationa
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i d’une double manière. D’abord en renonçant à la
fiction
récente des cantons comme États souverains, seuls sujets juridiques d
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plus sophistiqués, qu’au sens américain du mot la
fiction
seule est création, que les jeux du roman sans sujet, des poèmes « éc
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nfessions ni au Contrat social, qui ne sont pas «
fictions
» — du moins l’affirme-t-il… Or, une fois prise la très saine habitu
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est pas un prophète. Son livre ne raconte pas une
fiction
. Il constate. Sévérité du moraliste, tristesse de l’humaniste, mais f
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y a donc une immense complicité diffuse entre les
fictions
du pouvoir et le besoin de sécurité des peuples, qui les fait accepte
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e sécurité des peuples, qui les fait accepter ces
fictions
comme ils ont accepté ce pouvoir. Que l’État n’est plus notre affa
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e nos États-nations européens, qui opèrent sur la
fiction
(pour ne pas dire la fabrication délibérée, à fins de propagande) d’u
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sophie politique, d’histoire des religions, et de
fiction
autobiographique. Les femmes et le jeu furent pour lui tyranniques. D
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re, et que création littéraire serait synonyme de
fiction
. Voilà qui est méconnaître à tout le moins l’histoire de la littératu
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ours, la souveraineté nationale n’est plus qu’une
fiction
, car dans les faits, aucun des États d’Europe n’a les moyens d’agir à
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a rançon fatale de nos attachements maniaques aux
fictions
de l’indépendance nationale absolue, de la souveraineté nationale san
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solue, de la souveraineté nationale sans limites,
fictions
sacrées, qui peuvent encore paralyser tous les élans vers le fédérali