1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 tien dans l’accomplissement scrupuleux, joyeux et fidèle de la vocation, le protestantisme affirme qu’il existe divers ordres
2 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
2 tre séduit que pour « mieux comprendre », assez «  fidèle  » à ses origines pour garder dans ses dépaysements un point de vue fi
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 liais pour des retours possibles. C’est ainsi que fidèle à soi-même au plus profond de l’être, on entretient comme une arrière
4 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
4 raye-t-on pas trop, au début, de l’émigration des fidèles qui suivent leurs pasteurs proscrits. On espère bien convertir de gré
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
5 7)x Nous passons la main au central de Genève, fidèles à la tradition — en ceci au moins. Nous nous retirons : et ce n’est p
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
6 ille habitants, un pays de quarante mille bons et fidèles sujets… « En 1818 déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquable H
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
7 et une anglaise. Voilà peut-être un résumé assez fidèle des influences sociales, culturelles et religieuses, qui s’exercèrent
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
8 ce du lac ? Et certes, j’ai pensé à Gide, le plus fidèle de tous nos hôtes, en écrivant ces phrases sur le banc. Je viens de r
9 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
9 e révolutionnaire dans la mesure même où il reste fidèle à lui-même, c’est-à-dire dans la mesure où, constamment, il reproduit
10 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
10 bolchévique, ou tout simplement pacifiste. Et les fidèles de se congratuler à la sortie, se figurant qu’on vient enfin de leur
11 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
11 e deux infinis contradictoires. On conçoit que le fidèle habitué à venir chaque dimanche chercher dans un sermon consolateur l
12 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
12 par la foi seule. Bien plus, quand un théologien fidèle vient rappeler avec force l’exigence évangélique de la mort à soi-mêm
13 tuation, c’est qu’elle a quelque peu immunisé les fidèles contre les fausses doctrines modernistes. Malgré ce que certains leur
14 du Seigneur mort pour nous, impies ? Peut-être le fidèle d’aujourd’hui n’a-t-il plus, comme ses pères, la crainte païenne de s
15 uvent, d’attaquer des erreurs auxquelles bien des fidèles tiennent aussi peu qu’aux vérités qui les réfutent. D’autres fois, no
16 s plus ou moins autorisées, de préjugés, que tout fidèle porte en soi. Nous essaierons de reconstituer l’« appareil » dogmatiq
13 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
17 Je croirais davantage à la vertu d’une théologie fidèle à la Réforme. Mais, justement, cette théologie nous ordonne d’agir, e
14 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
18 e conçois de liberté concrète que dans l’exercice fidèle de ma vocation personnelle. Liberté devient synonyme d’obéissance inc
15 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
19 uble résistance sont claires. Un protestant resté fidèle à la doctrine de la Réforme55 sait que le premier commandement, c’est
20 inent entre ces pseudo-protestants et les églises fidèles à l’Évangile.
16 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
21 ne saurait fonder son pouvoir que sur l’exercice fidèle de sa charge. Or, l’exercice du pouvoir spirituel nous est prescrit,
17 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
22 ésentants d’une Église légale et particulièrement fidèle au roi, ne pouvait nuire au prestige et à l’ordre de l’État. D’autre
18 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
23 double résistance sont claires. Un chrétien resté fidèle à la doctrine de la Réforme48 sait que le premier commandement, c’est
24 inent entre ces pseudo-protestants et les églises fidèles à l’Évangile.
19 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
25  ne saurait fonder son pouvoir que sur l’exercice fidèle de sa charge. Or, l’exercice du pouvoir spirituel nous est prescrit,
20 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
26 ture », une tentative de représenter aux yeux des fidèles les choses qu’il annonce. L’important, c’est qu’il soit bien entendu
21 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
27 choses, et d’abord la cité, à l’exercice libre et fidèle des vocations, refaire un monde à la mesure de l’homme concret, de la
22 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
28 Il se fit tailler en morceaux et enterrer par son fidèle serviteur. Mais celui-ci, impatient, ouvrit la tombe deux jours trop
23 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
29 Comme tout cela est rafraîchissant, satisfaisant, fidèle et pur. Notez aussi cette petite phrase du récit de Brett : « Puis vo
24 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
30 dogmatique romaine. On pourrait remarquer que le fidèle protestant a, sur le fidèle catholique, l’avantage sans prix d’avoir
31 rait remarquer que le fidèle protestant a, sur le fidèle catholique, l’avantage sans prix d’avoir toujours à portée de la main
32 e voile la réalité de l’abîme, et ne détourne les fidèles de cette seule chose nécessaire, de cette foi au seul moyen de salut
33 ho des formules orthodoxes dans la conscience des fidèles , et des fidèles de ce pays de France dont on ne peut nier que Bossuet
34 orthodoxes dans la conscience des fidèles, et des fidèles de ce pays de France dont on ne peut nier que Bossuet soit l’un des c
35 res] qu’il leur laissait son Église pour être une fidèle interprète de ses volontés, et une sûre dispensatrice de ses sacremen
36 ents » dans la mesure exacte où elle demeure la «  fidèle interprète » des volontés de Dieu. Mais c’est ici que Bossuet nous ar
37 us arrête : « Qu’entendez-vous, nous dit-il, par “ fidèle ” ? — Nous entendons : fidèle à la Révélation donnée une fois pour tou
38 s, nous dit-il, par “fidèle” ? — Nous entendons : fidèle à la Révélation donnée une fois pour toutes par Dieu lui-même dans so
39 e rapporter sans cesse toute prédication vraiment fidèle . Cette méconnaissance profonde de la Réforme est la rançon fatale de
25 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
40 bauche intellectuelle. Et je redoute que certains fidèles ne soient gênés, comme je le suis, par l’affirmation répétée que l’au
26 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
41 ni vraie ni fausse ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et représente. Seul, le jugement porté sur c
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
42 pour l’Hébreu, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son langage même s’ordonne dès l’origine à cette
28 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
43 ni vraie ni fausse ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et représente. Seul, le jugement porté sur c
29 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VI. L’Arche de l’Alliance
44 pour l’Hébreu, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son langage même s’ordonne dès l’origine à cette
30 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
45 ni vraie ni fausse ; elle n’est que plus ou moins fidèle à la fin qu’elle prépare et représente. Seul, le jugement porté sur c
31 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
46 ). Si les chrétiens gardaient une conscience plus fidèle , partant plus douloureuse de ce fait, je crois qu’ils éviteraient d’a
32 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
47 et de plaire à Dieu. Une culture pauvre, mais fidèle Un homme du xxe siècle ne peut, me semble-t-il, qu’éprouver une s
48 pour l’Hébreu, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son langage même s’ordonne dès l’origine à cette
33 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
49 monde ; nécessité du témoignage, et du témoignage fidèle , certifié par l’Esprit et la Bible, et constituant la véritable « act
50 ’est encore en théologien, en docteur de l’Église fidèle , en prédicateur responsable, non pas en philosophe ou en métaphysicie
34 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
51 monde ; nécessité du témoignage et du témoignage fidèle , certifié par l’Esprit et la Bible, et constituant la véritable « act
52 ’est encore en théologien, en docteur de l’Église fidèle , en prédicateur responsable, non plus en philosophe ou en métaphysici
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
53 les cheveux dans les cuisines communes, et soient fidèles … La grande affaire, c’est de se méfier d’un romantisme communautaire
36 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
54 monde ; nécessité du témoignage, et du témoignage fidèle , certifié au-dedans par l’Esprit saint, et par l’Écriture au-dehors,
37 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
55 es. Autant de mots vides ou de mensonges pour les fidèles du culte allemand. Il ne s’agit ici que de religion. Ce n’est pas pou
38 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
56 faite à notre orgueil. Reconnaissons, Églises et fidèles , que si la pseudo-religion totalitaire triomphe aujourd’hui en Europe
39 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
57 ar le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles , deux corps aptes à procréer, et deux personnes juridiques. Il se tro
58 complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle , puisqu’elle n’a plus pour fin la transcendance. Elle épuise l’une ap
40 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
59 r la prédication de l’Évangile, le témoignage des fidèles . Le grand danger serait de lier sa foi à des valeurs humaines périmée
60 vangéliques » au cours desquelles des milliers de fidèles viennent écouter les chefs de leur mouvement, et communier dans la pr
61 gique. La vérité est que le très grand nombre des fidèles de cette Église sont des « nationaux » convaincus, politiquement d’ac
41 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
62 es. Autant de mots vides ou de mensonges pour les fidèles du culte allemand. Il ne s’agit ici que de religion. Ce n’est pas pou
42 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
63 lire Mein Kampf ou les traductions plus ou moins fidèles et tronquées qu’on nous en offre. Car M. Rivaud a le grand mérite d’a
43 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
64 out n’est pas encore clair. Tristan lui aussi fut fidèle  ! Et toute passion véritable est fidèle. (Pour ne rien dire des succe
65 aussi fut fidèle ! Et toute passion véritable est fidèle . (Pour ne rien dire des successives fidélités de nos « liaisons », et
66 ralenti.) Où est alors la différence ? Et le mari fidèle , ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme une Is
67 nce du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appe
68 a mort (c’était la passion de Tristan). ⁂ L’amour fidèle de Tristan détruisait son bonheur et sa vie pour témoigner en faveur
69 de la Nuit, c’est-à-dire du moi glorifié. L’amour fidèle dans le mariage chrétien témoigne que la volonté de Dieu, même quand
70 qu’une « solution », pour qui croit que Dieu est fidèle , et que l’amour ne trompe jamais l’aimé. Certes, Kierkegaard ne parvi
44 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
71 s’excommuniaient réciproquement, ainsi que leurs fidèles , en sorte que toute la chrétienté se vit alors frappée d’anathème ! —
72 de voir dans le cas du paysan, illettré et simple fidèle , une sorte de préfiguration du drame qui se jouera un peu plus tard d
45 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
73 personnelles à la place de l’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intéresse ici,
46 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
74 oxies. On vit en elle la pire menace sociale. Ses fidèles furent massacrés, leurs écrits dispersés et brûlés. Si bien que les t
75 s trois quarts de la poésie provençale, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vides de sens. » Certe
76 prétendre qu’elle fit en Occident des millions de fidèles secrets, malgré la très sanglante croisade des albigeois — ou à cause
77  : « Un chevalier peut-il être à la fois marié et fidèle à sa dame ? » — voilà qui nous donne à penser si l’on songe à tous le
78 sant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’ai plus revu depuis la nuit venue Et
79 omplaisant, loyal et doux, tendre, respectueux et fidèle … Je n’aime rien, sauf cet anneau qui m’est cher, parce qu’il a été au
80 ohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui déclare : « Je suis toi-même ! » O
47 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
81 monstre fabuleux qui ne se nourrit que de femmes fidèles , aussi est-il d’une maigreur effroyable, tandis que son confrère Bigo
82 nchantée, selon l’oracle, que par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le racha
83 ue par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le rachat de la fatalité du philtre
84 l’absence d’un obstacle entre son Angélique, trop fidèle , et lui-même. Il manque un « roi Marc » à ce jeu. C’est la situation
85 e contre le mariage. Or Alidor et son amante trop fidèle se trouvent malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut
48 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
86 ar le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles , deux corps aptes à procréer, et deux personnes juridiques. Il se tro
87 complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle , puisqu’elle n’a plus pour fin la transcendance. Elle épuise l’une ap
49 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
88 out n’est pas encore clair. Tristan lui aussi fut fidèle  ! Et toute passion véritable est fidèle. (Pour ne rien dire des succe
89 aussi fut fidèle ! Et toute passion véritable est fidèle . (Pour ne rien dire des successives fidélités de nos « liaisons », et
90 ralenti). Où est alors la différence ? Et le mari fidèle , ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme une Is
91 nce du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appe
92 la mort (c’était la passion de Tristan). L’amour fidèle de Tristan détruisait son bonheur et sa vie pour témoigner en faveur
93 de la Nuit, c’est-à-dire du moi glorifié. L’amour fidèle dans le mariage chrétien témoigne que la volonté de Dieu, même quand
94 qu’une « solution », pour qui croit que Dieu est fidèle , et que l’amour ne trompe jamais l’aimé. Certes, Kierkegaard ne parvi
50 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
95 — donnant l’explication du langage symbolique des fidèles d’Amour dans les compositions lyriques, romans et épopées chevaleresq
96 e et l’orthodoxie, auxquelles il demeura toujours fidèle . Et Sabatier remarque, non sans profondeur, que la charité franciscai
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
97 fecta de voir en elle la pire menace sociale. Ses fidèles furent massacrés, leurs écrits dispersés et brûlés. Si bien que les t
98 s trois quarts de la poésie provençale, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vides de sens ». Certe
99 prétendre qu’elle fit en Occident des millions de fidèles secrets, malgré la très sanglante croisade des albigeois, au xiiie s
100  : « Un chevalier peut-il être à la fois marié et fidèle à sa dame ? » — Voilà qui nous donne à penser, si l’on songe à tous l
101 sant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’ai plus revu depuis la nuit venue    
102 omplaisant, loyal et doux, tendre, respectueux et fidèle … Je n’aime rien, sauf cet anneau qui m’est cher, parce qu’il a été au
103 Sohrawardi une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui déclare : « Je suis toi-même ! » O
52 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
104 monstre fabuleux qui ne se nourrit que de femmes fidèles , aussi est-il d’une maigreur effroyable, tandis que son confrère Bigo
105 nchantée, selon l’oracle, que par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le racha
106 ue par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le rachat de la fatalité du philtre
107 l’absence d’un obstacle entre son Angélique, trop fidèle , et lui-même. Il manque un « roi Marc » à ce jeu. C’est la situation
108 e contre le mariage. Or Alidor et son amante trop fidèle se trouvent malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
109 ar le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles , deux corps aptes à procréer, et deux personnes juridiques. Il se tro
110 complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle , puisqu’elle n’a plus pour fin la transcendance. Elle épuise l’une ap
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
111 out n’est pas encore clair. Tristan lui aussi fut fidèle  ! Et toute passion véritable est fidèle. (Pour ne rien dire des succe
112 aussi fut fidèle ! Et toute passion véritable est fidèle . (Pour ne rien dire des successives fidélités de nos « liaisons », et
113 ralenti.) Où est alors la différence ? Et le mari fidèle , ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme une Is
114 nce du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte, qui s’app
115 ’actes conscients que l’on assume : aimer, rester fidèle , éduquer ses enfants. On voit ici combien sont différents les sens du
116 qu’une « solution », pour qui croit que Dieu est fidèle , et que l’amour ne trompe jamais l’aimé. Certes, Kierkegaard ne parvi
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
117 fecta de voir en elle la pire menace sociale. Ses fidèles furent massacrés, leurs écrits dispersés et brûlés. Si bien que les t
118 s trois quarts de la poésie provençale, une image fidèle de la réalité et un pur assemblage de formules vides de sens. » Certe
119 prétendre qu’elle fit en Occident des millions de fidèles secrets, malgré la très sanglante croisade des albigeois, au xiiie s
120  : « Un chevalier peut-il être à la fois marié et fidèle à sa dame ? » voilà qui nous donne à penser, si l’on songe à tous les
121 sant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain fidèle soit aide et bienvenue Car ne l’ai plus revu depuis la nuit venue Et
122 omplaisant, loyal et doux, tendre, respectueux et fidèle … Je n’aime rien, sauf cet anneau qui m’est cher, parce qu’il a été au
123 ohrawardi, une jeune fille éblouissante attend le fidèle à la sortie du pont Chinvat et lui déclare : « Je suis toi-même ! » O
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
124 monstre fabuleux qui ne se nourrit que de femmes fidèles , aussi est-il d’une maigreur effroyable, tandis que son confrère Bigo
125 nchantée, selon l’oracle, que par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le racha
126 ue par la mort du plus fidèle amant et de la plus fidèle amante. (Thème de Tristan : c’est le rachat de la fatalité du philtre
127 l’absence d’un obstacle entre son Angélique, trop fidèle , et lui-même. Il manque un « roi Marc » à ce jeu. C’est la situation
128 e contre le mariage. Or Alidor et son amante trop fidèle se trouvent malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
129 ar le sacrement unissait tout à la fois deux âmes fidèles , deux corps aptes à procréer, et deux personnes juridiques. Il se tro
130 complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle , puisqu’elle n’a plus pour fin la transcendance. Elle épuise l’une ap
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
131 out n’est pas encore clair. Tristan lui aussi fut fidèle  ! Et toute passion véritable est fidèle. (Pour ne rien dire des succe
132 aussi fut fidèle ! Et toute passion véritable est fidèle . (Pour ne rien dire des successives fidélités de nos « liaisons », et
133 ralenti.) Où est alors la différence ? Et le mari fidèle , ne serait-ce pas simplement celui qui a reconnu dans sa femme une Is
134 nce du moi coupable et asservi. Tristan n’est pas fidèle à une promesse, ni à cet être symbolique, ce beau prétexte qui s’appe
135 ’actes conscients que l’on assume : aimer, rester fidèle , éduquer ses enfants. On voit ici combien sont différents les sens du
136 qu’une « solution », pour qui croit que Dieu est fidèle , et que l’amour ne trompe jamais l’aimé. Certes, Kierkegaard ne parvi
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
137 — donnant l’explication du langage symbolique des fidèles d’Amour dans les compositions lyriques, romans et épopées chevaleresq
138 e et l’orthodoxie, auxquelles il demeura toujours fidèle . Et Sabatier remarque, non sans profondeur, que la charité franciscai
60 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
139 personnelles à la place de l’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intéresse ici,
61 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
140 e a sauvé la Suisse. Et c’est elle qui est restée fidèle aux préceptes du Frère Claus. Un grand État participant aux luttes de
62 1940, Articles divers (1938-1940). Au peuple suisse ! (22 juillet 1940)
141 Venus de tous les points de l’horizon politique, fidèles à nos amitiés, mais décidés à faire converger nos efforts, nous fondo
63 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
142 l’exigent un jour prochain. Je me demande si les fidèles de nos cultes se sentent plus fortement liés aux autres membres de l’
143 et des prophètes : par exemple, pour exhorter les fidèles à renoncer à leurs préjugés de partis, ou à leurs intérêts de classe 
144 abilité. C’est grâce à cette invariabilité que le fidèle peut vraiment suivre le texte, dire en lui-même ses paroles, redécouv
64 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
145 personnelles à la place de l’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intéresse ici,
65 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
146 es n’ont plus à se justifier. J’avais juré d’être fidèle , dit un conjoint, mais je m’aperçois que c’est incompatible avec la V
147 i ou devant Dieu, vous prenez l’engagement d’être fidèle « dans les bons et les mauvais jours », quoi qu’il advienne, pour tou
148 dès l’instant que j’aime une autre femme, rester fidèle à la fiction légale serait une pure hypocrisie.12 » Par malheur, ce b
66 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
149 et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fusant comme une inexorable joi
67 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
150 mnolaient dans des églises presque aussi vides de fidèles que de foi. Ils épargnaient de l’argent pendant une vie pour le perdr
68 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
151 es n’ont plus à se justifier. J’avais juré d’être fidèle , dit un conjoint, mais je m’aperçois que c’est incompatible avec la V
152 i ou devant Dieu, vous prenez l’engagement d’être fidèle « dans les bons et les mauvais jours », quoi qu’il advienne, pour tou
153 dès l’instant que j’aime une autre femme, rester fidèle à la fiction légale serait une pure hypocrisie.23 » Par malheur, ce b
69 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
154 et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fusant comme une inexorable joi
70 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
155 mnolaient dans des églises presque aussi vides de fidèles que de foi. Ils épargnaient de l’argent pendant une vie pour le perdr
71 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
156 es n’ont plus à se justifier. J’avais juré d’être fidèle , dit un conjoint, mais je m’aperçois que c’est incompatible avec la V
157 i ou devant Dieu, vous prenez l’engagement d’être fidèle « dans les bons et les mauvais jours » quoi qu’il advienne, pour tout
158 dès l’instant que j’aime une autre femme, rester fidèle à la fiction légale serait une pure hypocrisie.25 » Par malheur, ce b
72 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
159 et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fusant comme une inexorable joi
73 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
160 ose. On dirait qu’elles préfèrent conserver leurs fidèles … Mais la question se pose : qu’est-ce alors qu’un fidèle ? « Nous ne
161 Mais la question se pose : qu’est-ce alors qu’un fidèle  ? « Nous ne pouvons pourtant pas être tous des martyrs ! » — Réponse
74 1944, Les Personnes du drame. II. Liberté et fatum — 5. Luther et la liberté de la personne
162 monde ; nécessité du témoignage, et du témoignage fidèle , certifié par l’Esprit et la Bible, et constituant la véritable « act
163 ’est encore en théologien, en docteur de l’Église fidèle , en prédicateur responsable, non pas en philosophe ni en métaphysicie
164 ce problème est seul en cause pour le théologien fidèle . Et tout est clair lorsque l’on a compris que Luther ne nie pas du to
75 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
165 dans l’Église même. Car le clergé et l’élite des fidèles ne sauraient échapper à l’influence de leurs lectures, cependant qu’i
166 de parler d’un livre, j’attends, à la fois comme fidèle et comme écrivain, qu’il en parle en théologien, et non pas en homme
167 elle aurait en tout cas l’avantage de donner aux fidèles — et à leur clergé — certains critères de jugement, un certain vocabu
76 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
168 atégories théologiques traditionnelles. Quant aux fidèles , ils avaient à se défendre contre la menace quotidienne, innombrable,
169 « vie chrétienne », et qu’elle restaure chez les fidèles le sens de la vocation personnelle, seul fondement d’une conduite spé
77 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
170 s de chaque Église, mais à leurs membres les plus fidèles . Toutefois, cette méthode n’est compatible qu’avec des orthodoxies qu
171 pas de recours ou d’appel possibles de la part du fidèle . Il doit se soumettre ou sortir. S’il se soumet, il court le risque d
172 réalité de la foi ? Certes ! Si les Églises sont fidèles à leur chef, elles savent qu’il règne et crée pour ceux qui croient l
78 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
173 : une leçon de civisme ou de morale, incitant les fidèles à adopter les maximes d’une vie plus satisfaisante à tous égards. On
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Deuxième partie. Pauvre province
174 les cheveux dans les cuisines communes, et soient fidèles … La grande affaire, c’est de se méfier d’un romantisme communautaire
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
175 evêtir l’annonce de l’Évangile, le témoignage des fidèles . Le grand danger serait de lier la foi à des valeurs humaines périmée
176 vangéliques » au cours desquelles des milliers de fidèles viennent écouter les chefs de leur mouvement, et communier dans la pr
177 gique. La vérité est que le très grand nombre des fidèles de cette Église sont des « nationaux » convaincus, politiquement d’ac
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — II. Conclusions
178 es. Autant de mots vides ou de mensonges pour les fidèles du culte allemand. Il ne s’agit ici que de religion. Ce n’est pas pou
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
179 e du jeu : dans le christianisme, par exemple, le fidèle peut s’opposer à l’orthodoxie au nom de la fin transcendante qu’elle
83 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
180 atégories théologiques traditionnelles. Quant aux fidèles , ils avaient à se défendre contre la menace quotidienne, innombrable,
181 jourd’hui la vertu ; et qu’elle restaure chez les fidèles le sens de la vocation personnelle, seul fondement d’une morale spéci
84 1947, Vivre en Amérique. II. Vie culturelle et religieuse
182 : une leçon de civisme ou de morale, incitant les fidèles à adopter les maximes d’une vie plus satisfaisante à tous égards. On
85 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
183 est optimiste. Dites bien cependant que je reste fidèle à ma formule du « pessimisme actif ». Je ne me fais aucune illusion.
86 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
184 , et le don que nous pouvons lui faire en restant fidèles à nous-mêmes. b. Rougemont Denis de, « L’idée fédéraliste », La Dé
87 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
185 n du monde, un message auxquels ils sont demeurés fidèles . La guerre, la défaite, l’exil ont pu les dérouter ; leurs idées n’en
88 1948, Réforme, articles (1946–1980). Roger Breuil qui vient de mourir était un grand romancier protestant (13 mars 1948)
186 secret de la liberté d’un écrivain qui se voulait fidèle en vérité. De tous les romanciers contemporains, il est celui dont l’
89 1948, Suite neuchâteloise. III
187 ille habitants, un pays de quarante mille bons et fidèles sujets…   « En 1818 déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa remarquabl
90 1948, Suite neuchâteloise. IV
188 et une anglaise. Voilà peut-être un résumé assez fidèle des influences sociales, culturelles et religieuses, qui s’exercèrent
91 1948, Suite neuchâteloise. VI
189 ce du lac ? Et certes, j’ai pensé à Gide, le plus fidèle de tous nos hôtes, en écrivant ces phrases sur le banc. Je viens de r
92 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
190 les mais pratiquement antagonistes. Cet homme est fidèle à lui-même tant qu’il accepte le dialogue et le dépasse en créations
93 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
191 de fait ou de droit, antagonistes. Cet homme est fidèle à lui-même quand il accepte le dialogue, assume le drame, et les dépa
94 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
192 les mais pratiquement antagonistes. Cet homme est fidèle à lui-même tant qu’il accepte le dialogue et le dépasse en créations
95 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et l’Europe (IV) (20 juin 1949)
193 , à propos de mes chroniques, ont demandé que les fidèles des deux Églises prient pour l’union européenne. Car si l’Europe ne s
96 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (27 juin 1949)
194 autant qu’une charge, — une chance de se montrer fidèles à leur mission en accueillant, soutenant et animant le foyer même d’u
97 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
195 servir d’exemple au continent, les Suisses seront fidèles à leur vraie vocation en accueillant, soutenant et animant le foyer m
98 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et Strasbourg (II) (14 novembre 1949)
196 n disant cela, nous serions à la fois des Suisses fidèles à leur plus forte tradition, et des Européens actifs. Dites-moi, cher
99 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Contre une « mystique européenne » (22 janvier 1951)
197 endre qu’un seul exemple : les auditeurs les plus fidèles de la radio peuvent entendre parler du « temps probable » exactement
100 1951, {Title}. Discours au congrès de Bombay (mars 1951)
198 ent secrètement être mangés. Nous devons être ici fidèles à notre vocation d’intellectuels : ce sera notre efficacité la plus c