1 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
1 té, une vérité. » À la formule philosophique homo finitus non capax infiniti, Barth répond par la formule chrétienne homo pecca
2 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
2 fait que la finitude n’est pas capable d’infini — finitus non capax infiniti — comme le savaient les scolastiques et comme il s
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Deuxième partie. De la prévision — 6. L’avenir sensible au cœur
3 que la finitude n’est pas capable d’infini — homo finitus non capax infiniti — comme le savaient les scolastiques et comme il s
4 1978, Articles divers (1978-1981). Questions gênantes mais fécondes (26 juillet 1978)
4 n des adages de la scolastique médiévale disait : finitus non capax infiniti, le fini n’est pas capable de l’infini (c’est-à-di