1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 tion casquée. Feu consumateur de toute faiblesse, flamme d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle paraît parfois, lorsque
2 ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette «  flamme pensante » dans l’ossuaire de Douaumont. Puis la vie l’exalte de nouv
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
3 sant un corps minable, il ne restera plus que les flammes , les soleils et aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il fau
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 une rage. Sur quelles épaules jeter ce manteau de flammes , puis à qui dédier l’ennui de ma révolte ? Aragon sarcastique se tien
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
5 l’amour et du chant prophétique, confondant leurs flammes . Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
6 les, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme . À Venise, sous le brouillard qui cachait le front des palais, une nu
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
7 « L’un garde encore la connaissance au sein d’une flamme plus grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’es
8 ardent auquel un souffle tempétueux arrache cette flamme trop grande pour son support. Reste une cendre où longtemps encore pa
9 igure en figure — voir l’âme ? — Tu iras dans les flammes . » Quant aux documents sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
10 l’amour et du chant prophétique, confondant leurs flammes . Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
11 les, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme . À Venise, sous le brouillard qui cachait le front des palais, une nu
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
12 l’amour et du chant prophétique, confondant leurs flammes . Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est flamme et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
11 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
14 , alors que les lyriques anglais nourrissent leur flamme d’une connaissance voluptueuse de l’antagonisme cosmique, la France r
12 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
15 la nuit, ondule une paroi de bannières, paroi de flammes , sous les projecteurs dont le faisceau se perd dans la hauteur. Nous
16 belle nuit d’été, vers le ciel vide ! Minuit. La flamme jaillit de l’énorme bûcher, illuminant des faces rouges, immobiles. O
13 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
17 nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la flamme secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
18 r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
14 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
19 nitiatique ? Ne sais comment lui faire savoir Ma flamme , craignant qu’il n’en transpire. dit l’un. Et tel autre : Renoncez,
15 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
20 me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes , je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
16 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
21 son parasite135. Il n’y eut plus qu’une dernière flamme , mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
22  » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 127. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
17 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
23 tes de fard aux joues. Nous dansions autour d’une flamme invisible à tout autre qu’à nous, et dont nous n’étions même pas touj
18 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
24 entence inique ! Je les ai vus ! Et j’ai senti la flamme qui sortait de leurs bouches puantes ! Les assistants. —  Il est f
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
25 nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la flamme secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
26 r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
27 me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes , je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
28 son parasite153. Il n’y eut plus qu’une dernière flamme , mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
29  » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 145. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
30 nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la flamme secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
31 r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive flamme d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
23 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
32 me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les flammes , je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
33 son parasite142. Il n’y eut plus qu’une dernière flamme , mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
34  » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amour (II, 1). 134. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
25 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
35 par le feu du ciel et précipité dans un étang de flammes et de souffre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et
26 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
36 r de la psyché occidentale, est né d’un retour de flamme du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
27 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
37 par le feu de ciel et précipité dans un étang de flammes et de soufre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et j
28 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
38 r de la psyché occidentale, est né d’un retour de flamme du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
29 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
39 par le feu de ciel et précipité dans un étang de flammes et de soufre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et j
30 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
40 r de la psyché occidentale, est né d’un retour de flamme du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
31 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
41 par le feu du ciel et précipité dans un étang de flammes et de souffre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et
32 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
42 matique d’un mystérieux sens de l’honneur blessé. Flamme aveuglante, vague de sang, terreur froide, ou goût du suicide. Ne me
33 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
43 un univers de machines féroces, d’explosions, de flammes instantanées et de bruits déchirants qui, bien avant la dernière guer
34 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
44 l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est flamme et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
35 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
45 ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
36 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
46 ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
37 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
47 l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est flamme et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
48 l’amour et du chant prophétique, confondant leurs flammes . Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
49 la nuit, ondule une paroi de bannières, paroi de flammes , sous les projecteurs dont le faisceau se perd dans la hauteur. Nous
50 belle nuit d’été, vers le ciel vide ! Minuit. La flamme jaillit de l’énorme bûcher, illuminant des faces rouges, immobiles. O
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
51 cour du Louvre dans la lueur soudaine de grandes flammes jaillies des guichets 65. À l’Opéra, les décors sont affreux, comme t
52 rapidement maîtrisé dans les combles. Ces grandes flammes ne furent signe que pour le romantique en moi. 66. « Prenez garde !
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
53 de caisses et d’immenses cartonnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
54 l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est flamme et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
43 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
55 ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
44 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
56 la forme venait, le Feu se jetait dessus avec ses Flammes  : c’était le Néant le plus fort. Et la prière a été inventée, avec de
57 a été inventée, avec des chants, pour apprivoiser Flamme et Feu. Les femmes se jetaient dans la Flamme parce que seule une des
58 ser Flamme et Feu. Les femmes se jetaient dans la Flamme parce que seule une destruction peut nourrir ou détruire une destruct
45 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
59 un univers de machines féroces, d’explosions, de flammes instantanées et de bruits déchirants qui, bien avant la dernière guer
46 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
60 est commencée. Maintenant il faut souffler sur la flamme qui couve. Nous n’avons plus beaucoup de temps. Quant aux objectifs g
47 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
61 mains les roses resplendissantes à la couleur de flamme , attirait parmi elle les regards comme parmi les Charites la déesse n
48 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
62 oquent le vol d’un sombre papillon fasciné par la flamme de Don Juan. Nietzsche a vécu plus seul encore, et guère moins chaste
49 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
63 oquent le vol d’un sombre papillon fasciné par la flamme de Don Juan. Nietzsche a vécu plus seul encore, et guère moins chaste
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
64 mains les roses resplendissantes à la couleur de flamme , attirait parmi elles les regards comme parmi les Charites la déesse
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
65 e l’humanité européenne devient soudain, mêlé aux flammes des Tuileries, l’éclairage du Grand Soir et de la fin de l’Europe. J
52 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
66 e : il en a toujours été ainsi. C’est la dernière flamme qui est la plus longue ; le dernier soupir qui est le plus profond. À
53 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
67 ’ils ne devaient pas emporter, ils le livrent aux flammes  : ainsi, en s’interdisant tout espoir de retour, ils seraient mieux p
54 1974, Articles divers (1974-1977). À propos de Théodore Strawinsky [préface] (1974)
68 ec quelle conviction, quel savoir-faire et quelle flamme tu as su défendre les intérêts spirituels de ton père, que tu as mani
55 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
69 des d’Urfé, Gomberville ou Scudéry. Une dernière flamme , mince et pure, La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, brûle
56 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
70 éritable élément. Si je ne m’étais pas réservé la flamme . Vraiment, qu’aurais-je encore en propre ?45 Tout cela éveille, dan