1
tion casquée. Feu consumateur de toute faiblesse,
flamme
d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle paraît parfois, lorsque
2
ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette «
flamme
pensante » dans l’ossuaire de Douaumont. Puis la vie l’exalte de nouv
3
sant un corps minable, il ne restera plus que les
flammes
, les soleils et aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il fau
4
une rage. Sur quelles épaules jeter ce manteau de
flammes
, puis à qui dédier l’ennui de ma révolte ? Aragon sarcastique se tien
5
l’amour et du chant prophétique, confondant leurs
flammes
. Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
6
les, — et les lampes meurent en jetant une longue
flamme
. À Venise, sous le brouillard qui cachait le front des palais, une nu
7
« L’un garde encore la connaissance au sein d’une
flamme
plus grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’es
8
ardent auquel un souffle tempétueux arrache cette
flamme
trop grande pour son support. Reste une cendre où longtemps encore pa
9
igure en figure — voir l’âme ? — Tu iras dans les
flammes
. » Quant aux documents sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen
10
l’amour et du chant prophétique, confondant leurs
flammes
. Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
11
les, — et les lampes meurent en jetant une longue
flamme
. À Venise, sous le brouillard qui cachait le front des palais, une nu
12
l’amour et du chant prophétique, confondant leurs
flammes
. Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
13
l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est
flamme
et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
14
, alors que les lyriques anglais nourrissent leur
flamme
d’une connaissance voluptueuse de l’antagonisme cosmique, la France r
15
la nuit, ondule une paroi de bannières, paroi de
flammes
, sous les projecteurs dont le faisceau se perd dans la hauteur. Nous
16
belle nuit d’été, vers le ciel vide ! Minuit. La
flamme
jaillit de l’énorme bûcher, illuminant des faces rouges, immobiles. O
17
nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la
flamme
secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
18
r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive
flamme
d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
19
nitiatique ? Ne sais comment lui faire savoir Ma
flamme
, craignant qu’il n’en transpire. dit l’un. Et tel autre : Renoncez,
20
me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les
flammes
, je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
21
son parasite135. Il n’y eut plus qu’une dernière
flamme
, mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
22
» et tout le commentaire de ce vers dans la Vive
flamme
d’amour (II, 1). 127. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
23
tes de fard aux joues. Nous dansions autour d’une
flamme
invisible à tout autre qu’à nous, et dont nous n’étions même pas touj
24
entence inique ! Je les ai vus ! Et j’ai senti la
flamme
qui sortait de leurs bouches puantes ! Les assistants. — Il est f
25
nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la
flamme
secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
26
r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive
flamme
d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
27
me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les
flammes
, je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
28
son parasite153. Il n’y eut plus qu’une dernière
flamme
, mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
29
» et tout le commentaire de ce vers dans la Vive
flamme
d’amour (II, 1). 145. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
30
nt déjà, au fond de la nuit qui vient, poindre la
flamme
secrète, ravivée par l’absence. 9.L’amour de la Mort Mais il no
31
r, mais le Dieu qui promet sa grâce, et la « vive
flamme
d’amour » éclose aux « déserts » de la Nuit. Tristan, lui, ne peut ri
32
me, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour. Dans les
flammes
, je brûle et je languis, en criant ; en vivant, je meurs, et en moura
33
son parasite142. Il n’y eut plus qu’une dernière
flamme
, mince et pure, qui s’appelle la Princesse de Clèves. La mort s’y att
34
» et tout le commentaire de ce vers dans la Vive
flamme
d’amour (II, 1). 134. Sainte Thérèse : « De ce désir qui en un insta
35
par le feu du ciel et précipité dans un étang de
flammes
et de souffre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et
36
r de la psyché occidentale, est né d’un retour de
flamme
du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
37
par le feu de ciel et précipité dans un étang de
flammes
et de soufre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et j
38
r de la psyché occidentale, est né d’un retour de
flamme
du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
39
par le feu de ciel et précipité dans un étang de
flammes
et de soufre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et j
40
r de la psyché occidentale, est né d’un retour de
flamme
du christianisme dans les marges de l’hérésie. Inconnu de l’Antiquité
41
par le feu du ciel et précipité dans un étang de
flammes
et de souffre avec ses faux prophètes, pour y être tourmenté nuit et
42
matique d’un mystérieux sens de l’honneur blessé.
Flamme
aveuglante, vague de sang, terreur froide, ou goût du suicide. Ne me
43
un univers de machines féroces, d’explosions, de
flammes
instantanées et de bruits déchirants qui, bien avant la dernière guer
44
l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est
flamme
et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
45
ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés.
Flammes
gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
46
ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés.
Flammes
gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
47
l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est
flamme
et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
48
l’amour et du chant prophétique, confondant leurs
flammes
. Dix années dans le Grand Jeu. Dix années où le génie tourmente cet ê
49
la nuit, ondule une paroi de bannières, paroi de
flammes
, sous les projecteurs dont le faisceau se perd dans la hauteur. Nous
50
belle nuit d’été, vers le ciel vide ! Minuit. La
flamme
jaillit de l’énorme bûcher, illuminant des faces rouges, immobiles. O
51
cour du Louvre dans la lueur soudaine de grandes
flammes
jaillies des guichets 65. À l’Opéra, les décors sont affreux, comme t
52
rapidement maîtrisé dans les combles. Ces grandes
flammes
ne furent signe que pour le romantique en moi. 66. « Prenez garde !
53
de caisses et d’immenses cartonnages goudronnés.
Flammes
gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
54
l’Irlande vient la nuit. Derrière nous, tout est
flamme
et or. Mais un toit d’ombre épaisse descend obliquement, rejoint la m
55
ux de caisses, d’immenses cartonnages goudronnés.
Flammes
gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la
56
la forme venait, le Feu se jetait dessus avec ses
Flammes
: c’était le Néant le plus fort. Et la prière a été inventée, avec de
57
a été inventée, avec des chants, pour apprivoiser
Flamme
et Feu. Les femmes se jetaient dans la Flamme parce que seule une des
58
ser Flamme et Feu. Les femmes se jetaient dans la
Flamme
parce que seule une destruction peut nourrir ou détruire une destruct
59
un univers de machines féroces, d’explosions, de
flammes
instantanées et de bruits déchirants qui, bien avant la dernière guer
60
est commencée. Maintenant il faut souffler sur la
flamme
qui couve. Nous n’avons plus beaucoup de temps. Quant aux objectifs g
61
mains les roses resplendissantes à la couleur de
flamme
, attirait parmi elle les regards comme parmi les Charites la déesse n
62
oquent le vol d’un sombre papillon fasciné par la
flamme
de Don Juan. Nietzsche a vécu plus seul encore, et guère moins chaste
63
oquent le vol d’un sombre papillon fasciné par la
flamme
de Don Juan. Nietzsche a vécu plus seul encore, et guère moins chaste
64
mains les roses resplendissantes à la couleur de
flamme
, attirait parmi elles les regards comme parmi les Charites la déesse
65
e l’humanité européenne devient soudain, mêlé aux
flammes
des Tuileries, l’éclairage du Grand Soir et de la fin de l’Europe. J
66
e : il en a toujours été ainsi. C’est la dernière
flamme
qui est la plus longue ; le dernier soupir qui est le plus profond. À
67
’ils ne devaient pas emporter, ils le livrent aux
flammes
: ainsi, en s’interdisant tout espoir de retour, ils seraient mieux p
68
ec quelle conviction, quel savoir-faire et quelle
flamme
tu as su défendre les intérêts spirituels de ton père, que tu as mani
69
des d’Urfé, Gomberville ou Scudéry. Une dernière
flamme
, mince et pure, La Princesse de Clèves de Madame de Lafayette, brûle
70
éritable élément. Si je ne m’étais pas réservé la
flamme
. Vraiment, qu’aurais-je encore en propre ?45 Tout cela éveille, dan