1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
1 nnit le charme et toute grâce vaporeuse. Mais ses fleurs de cristal, si elles sont sans parfum, ne se faneront pas. t. « Jea
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 nuit. Nous nous sommes retournés vers la ville. Fleurs de lumières sur les champs sombres du ciel de l’est, et une façade pa
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
3 définissable, comme toute chose vivante… Gerbe de fleurs disparates, aux tiges divergentes, mais qu’un ruban rouge et vert lie
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
4 écrie-t-il, c’est un poème, un poème du rêve, une fleur du fond de la mort. » Or, on découvre à la fin de la pièce que c’est
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
5 dans mon souvenir par le rayonnement de la robe, fleur qui s’ouvre pour dégager le mouvement obsédant de deux jambes, l’harm
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 tre, c’est l’épanouissement violent d’une immense fleur palpitante au parfum de passions, c’est une atmosphère toute chargée
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
7 re paraissait sous l’égide de la mort. Il vit des fleurs de son enfance, une églantine, quelques roses, un sourire qui perce l
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 ont l’idée me vient à la vue de cette vendeuse de fleurs . C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets dans la r
9 ns inévitable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nou
9 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
10 fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide   Tu pleurera
10 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
11 n d’après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
12 points de vue les plus cocasses, que la forme des fleurs , que les animaux qui circulent. Un auteur qui n’imite personne court
12 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
13 fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
14 us arrachions les moulures et les vieux papiers à fleurs . La confiance, la sincérité, l’amitié, s’arrondissaient autour des li
14 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
15 à portée d’une riposte. Ils préfèrent couvrir de fleurs les lombes des « victimes du devoir ». Grand troupeau pitoyable et ma
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
16 ont l’idée me vient à la vue de cette vendeuse de fleurs . C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets rue de Ca
17 ns inévitable : la jeune femme refusa d’abord les fleurs pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nou
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
18 ’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse fleur qui resplendissait comme une étoile. Mais pourquoi détourner la tête
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de fleurs descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Un
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
21 prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de fleurs descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Un
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
22 ’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse fleur qui resplendissait comme une étoile. » Mais pourquoi détourner la têt
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
24 rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici tout est beau !… — Mais tout ici a été fait
23 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
25 « faire une guirlande en mettant bout à bout des fleurs des champs et des fleurs de rhétorique ? » Ce Jésus « reconstitué » p
26 mettant bout à bout des fleurs des champs et des fleurs de rhétorique ? » Ce Jésus « reconstitué » par les historiens négateu
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
27 souvient46, l’amour chrétien n’est que « la fine fleur du ressentiment » que les natures faibles vouent aux valeurs aristocr
25 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
28 « faire de la politique » consiste à recouvrir de fleurs de rhétorique rationalo-sentimentale une opération très précise de sp
26 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
29 « faire de la politique » consiste à recouvrir de fleurs de rhétorique rationalo-sentimentale une opération très précise de sp
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
30 que, qui dans les langues sémitiques est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit. I, p. 49
28 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
31 rdessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleur , voler un pain, faire l’amour, choisir un menu, courir après l’autobu
29 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
32 que, qui dans les langues sémitiques est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
30 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
33 rdessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleur , voler un pain, faire l’amour, choisir un menu, courir, après l’autob
31 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
34 vers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
32 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
35 uge du rêve, tout en marchant le long du quai aux Fleurs . Mais la prière n’est pas un refuge ; elle est un acte d’accusation,
33 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
36 elle de terre ingrate, dans sa courette pleine de fleurs . Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
34 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
37 fend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. ⁂ (Conclusion.) — S
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
38 e de terre ingrate, ou dans sa courette pleine de fleurs . Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
39 ril 1934 Voici l’île purifiée et rajeunie, des fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au j
40 ur, d’œillets, de pois d’Espagne, de glycines, de fleurs orangées et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
41 vers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
37 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
42 ue qui, dans les langues sémitiques, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
38 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
43 fend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. Conclusion. — S’oc
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
44 de Tristan et celui de la reine, il sème de la «  fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
45 le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
40 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
46 n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette fleur des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
47 ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à fleur de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
41 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
48 amour au duc Girard. Je lui donne de mon oscle la fleur , parce que je l’aime plus que mon père et plus que mon mari ; et le v
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
49 de Tristan et celui de la reine, il sème de la «  fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
50 le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
51 n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette fleur des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
52 ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à fleur de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
53 de Tristan et celui de la reine, il sème de la «  fleur de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
54 le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la fleur de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
55 n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette fleur des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
56 ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à fleur de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
57 amour au duc Girard. Je lui donne de mon oscle la fleur , parce que je l’aime plus que mon père et plus que mon mari ; et le v
47 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
58 rbres étranges qui poussent d’un jet, donnent une fleur unique, puis meurent : aussitôt. Mais il préfère élaguer quelques bra
48 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
59 et artifices, et commanda de les éliminer. De ses fleurs , elle fit des clichés1. Abandonné à l’inspiration pure, comme la colo
60 Paulhan, publié en France sous l’occupation : Les Fleurs de Tarbes. 2. Ce cauchemar est fort bien décrit par Lewis Carroll da
49 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
61 rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… » — « Mais tout ici a été
50 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
62 quet silencieux. Partout, des chœurs en robe, des fleurs , des croix, des cierges. Eh quoi ! c’est catholique ! s’écrie scandal
51 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
63 hidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de fleurs dans les cabines où sautaient les bouchons de champagne, ces corridor
64 ille chapelle anglicane, sous des flamboyants aux fleurs pourpres. Escale à Rio de Janeiro, qui décourage la description, plut
65 rer. C’en est trop. Je lui arrache une poignée de fleurs et d’un seul coup j’atteins le but. Alors elle s’est retournée vers m
52 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
66 rie : — Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… — Mais tout ici a été fai
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
67 prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de fleurs descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Pa
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
68 ’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
69 met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse fleur qui resplendissait comme une étoile. Mais pourquoi détourner la tête
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
70 e de terre ingrate, ou dans sa courette pleine de fleurs . Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
71 ril 1934 Voilà l’île purifiée et rajeunie, des fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au j
72 ur, d’œillets, de pois d’Espagne, de glycines, de fleurs orangées et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
73 vers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
74 hidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de fleurs dans les cabines où sautaient les bouchons de champagne, ces corridor
75 ille chapelle anglicane, sous des flamboyants aux fleurs pourpres. Escale à Rio de Janeiro, qui décourage la description, plut
76 À droite et à gauche, des bosquets de mimosas en fleurs , hauts comme des chênes d’Europe, dômes de parfums, et des forêts où
77 rer. C’en est trop. Je lui arrache une poignée de fleurs et d’un seul coup j’atteins le but. Alors elle s’est retournée vers m
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
78 rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… — Mais tout ici a été fai
60 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
79 ns une maison de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’arbres pleins d’oiseaux. C’est d’ici que partit, en 1939, la fam
61 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
80 aix et la justice en embrouillant tout, au nom de fleur dialectique. Pour ma part, j’essaierai de débrouiller quelques faits,
62 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
81 quet silencieux. Partout, des chœurs en robe, des fleurs , des croix, des cierges. Eh quoi ! c’est catholique ! s’écrie scandal
63 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
82 ns une maison de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’arbres pleins d’oiseaux. Il s’avança vers moi, souriant de ses g
64 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
83 signaux éprouvés, jalonnant la voie clandestine, fleurs de cette « rhétorique du rêve » que Jean-Paul a nommée le premier, il
65 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
84 Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfares dans la cour du palais. — On dirait un maria
66 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
85 peintes en jaune. Statuettes vêtues de soie et de fleurs dans des niches, comme à Naples. Il y a bien, assises sur les marches
86 toffes rouge et or derrière la statuette, bijoux, fleurs , menues verroteries, et dans l’étroit espace devant l’autel, une femm
87 odeurs d’huile brûlée, d’encens ou de pétales de fleurs emplissant des corbeilles si fraîches à voir. Dans la fournaise d’une
88 a torsade de racines grises formant le tronc, des fleurs roses et violettes, piquées en ex-voto. Devant moi, quelques marches
89 arbre, une petite fontaine et un autel, chargé de fleurs et d’offrandes. Un homme prie debout, puis se tourne à demi en remuan
90 mine sacrée, le pipal, l’autel, la fontaine, les fleurs offertes et les fidèles muets, forme l’antichambre ou le parvis du te
91 longue veste de soie d’un violet sombre, semée de fleurs gris-clair et jaunes. Pantalons blancs étroits, souliers de soie noir
67 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
92 « Toute plante qui souffre a tendance à produire fleurs et fruits. »16 (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait ; p
68 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
93 Chartreuse de Parme. 48. Charles Baudelaire : Les Fleurs du mal. 49. Stéphane Mallarmé : Poésies. 50. Arthur Rimbaud : Une sa
94  : Psychologie de l’art. 98. Jean Paulhan  : Les Fleurs de Tarbes. 99. Graham Greene : La Puissance et la gloire. Déjà cité
69 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
95 aire de la France, des Serments de Strasbourg aux Fleurs de Tarbes, réfute cet abus de langage. Que la haute couture me pardon
70 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
96 « Toute plante qui souffre a tendance à produire fleurs et fruits41 » (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait ; pl
71 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
97 des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs . À ce point, la passion fait place à la présence, la souffrance du dé
72 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
98 it dans les mains une corbeille pour recevoir des fleurs  ; elles gagnèrent les prairies voisines de la mer, qui étaient le lie
99 saient à chercher chacune telle ou telle sorte de fleur  ; l’une prenait le narcisse odorant, une autre l’hyacinthe, celle-ci
100 lle ne devait pas longtemps prendre plaisir à ces fleurs , ni conserver intacte sa ceinture virginale. Aussitôt que le fils de
101 i, naguère dans les prés, n’était occupée que des fleurs , et en faisant, habile ouvrière, une couronne vouée aux nymphes, main
102 à travers les flots immenses ou bien cueillir les fleurs nouvelles ? Si quelqu’un, maintenant, le livrait à ma colère, ce taur
73 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
103 l’an 600, s’adresse au pape Grégoire comme à « la fleur de toute l’Europe », puis en 615 au pape Boniface IV comme au chef d
74 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Naissance de l’érotisme occidental
104 ique, la poésie et la musique, L’Alternative, Les Fleurs du mal, Tristan, témoignent d’une prise de conscience très profondéme
105 gie nucléaire vers 1939. 10. « Hymne », dans Les Fleurs du mal.
75 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
106 des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de fleurs . À ce point, la passion fait place à la présence, la souffrance du dé
76 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
107 it dans les mains une corbeille pour recevoir des fleurs  ; elles gagnèrent les prairies voisines de la mer, qui étaient le lie
108 saient à chercher chacune telle ou telle sorte de fleur  ; l’une prenait le narcisse odorant, une autre l’hyacinthe, celle-ci
109 lle ne devait pas longtemps prendre plaisir à ces fleurs , ni conserver intacte sa ceinture virginale. Aussitôt que le fils de
110 i, naguère dans les prés, n’était occupée que des fleurs , et en faisait, habile ouvrière, une couronne vouée aux nymphes, main
111 à travers les flots immenses ou bien cueillir les fleurs nouvelles ? Si quelqu’un, maintenant, le livrait à ma colère, ce taur
112 s l’an 600, s’adresse au pape Grégoire comme à la fleur de toute l’Europe, puis en 615 au pape Boniface IV comme au chef de
77 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
113 hez elle nulle ombre d’autorité. Seule la France, fleur intacte du royaume du Christ, est son asile le plus sûr. Si par hasar
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
114 stent au milieu des frimas pour donner encore des fleurs dans un nouveau printemps. L’abbé Ferdinando Galiani (1727-1787) né
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
115 nt tout à fait le soir ; à travers la verdure des fleurs placées sur la fenêtre, un faisceau de rayons obliques frappait la vi
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
116 ée dans l’allégresse de nationalismes pimpants, «  fleur au fusil », dans l’inconscience générale du véritable enjeu de la gue
81 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
117 liorer que comme telles. Elles sont à la fois les fleurs et les jardiniers de la forme. La forme est une autre manifestation s
82 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
118 œuvres aussi diverses que le Faust de Goethe, les Fleurs du mal de Baudelaire, le Zarathustra de Nietzsche, les Four Quartets
83 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
119 ue qui, dans les langues sémitiques, est encore à fleur de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
84 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
120 âturages à l’herbe rase, plantes grasses, petites fleurs intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hé
85 1965, Arts, articles (1952-1965). Le déferlement de l’érotisme : pour une nouvelle théologie (5-11 mai 1965)
121 Kinsey, entre la Porte étroite et Notre-Dame des Fleurs ou Le Silence de Bergman, ce qui s’est passé d’important se situe au
86 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
122 r un horizon de collines boisées et de vergers en fleurs auprès d’un lac qui virent la fuite du Téméraire, la liberté des vill
87 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
123 âturages à l’herbe rase, plantes grasses, petites fleurs intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hé
88 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
124 recopier d’une belle écriture sage et d’orner de fleurs au crayon de couleur. Fourier était alors son nouvel intercesseur : i
89 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
125 recopier d’une belle écriture sage et d’orner de fleurs au crayon de couleur. Fourier était alors son nouvel Intercesseur : i
90 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
126 it, comme nous l’apprirent beaucoup plus tard les Fleurs de Tarbes !) Il n’avait encore publié que deux ou trois petits livres
127 n me permette au moins de recopier cette page des Fleurs de Tarbes où je retrouve l’étonnante liberté de jugement, mais les sc
91 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
128 Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des fleurs partout, et des fanfares dans la cour du palais. “On dirait un mariag
92 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
129 Dans la vasque puiser, à travers le parfum de tes fleurs , et répandre, Sur le sol où renaît la prairie, l’eau sacrée et mes la
93 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
130 e ». Et les ports répondent aux sources comme les fleurs répondent aux graines, le système scientifique à l’éclair de voyance
94 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
131 feutre du plafond de photos miniatures encadrées, fleurs séchées, amulettes, croix grecques, images de saints aux belles coule
95 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
132 lé en son temps. (On chercherait en vain dans Les Fleurs du mal des phrases de catéchisme ou les canons du concile de Trente m
96 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
133 rs » : pouvoir féminin, pouvoir noir, pouvoir des fleurs , pouvoir jeune, pouvoir régional, etc. Le seul pouvoir qui importe es
97 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
134 rs » : pouvoir féminin, pouvoir noir, pouvoir des fleurs , pouvoir jeune, pouvoir régional. Or, un seul nous importe au bout du
98 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
135 Car « de même que les racines expliquent moins la fleur qu’elles ne sont impliquées par elle, la fin d’une phrase justifie se
99 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
136 ela donnait une sorte de champignon ou presque de fleur . J’étais fasciné par ce genre de chose, je ne faisais que ça. J’étais