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nnit le charme et toute grâce vaporeuse. Mais ses
fleurs
de cristal, si elles sont sans parfum, ne se faneront pas. t. « Jea
2
nuit. Nous nous sommes retournés vers la ville.
Fleurs
de lumières sur les champs sombres du ciel de l’est, et une façade pa
3
définissable, comme toute chose vivante… Gerbe de
fleurs
disparates, aux tiges divergentes, mais qu’un ruban rouge et vert lie
4
écrie-t-il, c’est un poème, un poème du rêve, une
fleur
du fond de la mort. » Or, on découvre à la fin de la pièce que c’est
5
dans mon souvenir par le rayonnement de la robe,
fleur
qui s’ouvre pour dégager le mouvement obsédant de deux jambes, l’harm
6
tre, c’est l’épanouissement violent d’une immense
fleur
palpitante au parfum de passions, c’est une atmosphère toute chargée
7
re paraissait sous l’égide de la mort. Il vit des
fleurs
de son enfance, une églantine, quelques roses, un sourire qui perce l
8
ont l’idée me vient à la vue de cette vendeuse de
fleurs
. C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets dans la r
9
ns inévitable : la jeune femme refusa d’abord les
fleurs
pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nou
10
fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des
fleurs
obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide Tu pleurera
11
n d’après-midi, ces musiquettes et ces parfums de
fleurs
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
12
points de vue les plus cocasses, que la forme des
fleurs
, que les animaux qui circulent. Un auteur qui n’imite personne court
13
fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des
fleurs
obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais
14
us arrachions les moulures et les vieux papiers à
fleurs
. La confiance, la sincérité, l’amitié, s’arrondissaient autour des li
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à portée d’une riposte. Ils préfèrent couvrir de
fleurs
les lombes des « victimes du devoir ». Grand troupeau pitoyable et ma
16
ont l’idée me vient à la vue de cette vendeuse de
fleurs
. C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets rue de Ca
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ns inévitable : la jeune femme refusa d’abord les
fleurs
pour se donner le temps de regarder autour d’elle ; l’intérêt que nou
18
’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de
fleurs
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
19
met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse
fleur
qui resplendissait comme une étoile. Mais pourquoi détourner la tête
20
prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de
fleurs
descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Un
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prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de
fleurs
descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Un
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’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de
fleurs
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
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met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse
fleur
qui resplendissait comme une étoile. » Mais pourquoi détourner la têt
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rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des
fleurs
vraies ! Ah mon cher, ici tout est beau !… — Mais tout ici a été fait
25
« faire une guirlande en mettant bout à bout des
fleurs
des champs et des fleurs de rhétorique ? » Ce Jésus « reconstitué » p
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mettant bout à bout des fleurs des champs et des
fleurs
de rhétorique ? » Ce Jésus « reconstitué » par les historiens négateu
27
souvient46, l’amour chrétien n’est que « la fine
fleur
du ressentiment » que les natures faibles vouent aux valeurs aristocr
28
« faire de la politique » consiste à recouvrir de
fleurs
de rhétorique rationalo-sentimentale une opération très précise de sp
29
« faire de la politique » consiste à recouvrir de
fleurs
de rhétorique rationalo-sentimentale une opération très précise de sp
30
que, qui dans les langues sémitiques est encore à
fleur
de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit. I, p. 49
31
rdessus par un froid extraordinaire, cueillir une
fleur
, voler un pain, faire l’amour, choisir un menu, courir après l’autobu
32
que, qui dans les langues sémitiques est encore à
fleur
de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
33
rdessus par un froid extraordinaire, cueillir une
fleur
, voler un pain, faire l’amour, choisir un menu, courir, après l’autob
34
vers la grille ouvragée, on voit une profusion de
fleurs
violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
35
uge du rêve, tout en marchant le long du quai aux
Fleurs
. Mais la prière n’est pas un refuge ; elle est un acte d’accusation,
36
elle de terre ingrate, dans sa courette pleine de
fleurs
. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
37
fend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à
fleurs
sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. ⁂ (Conclusion.) — S
38
e de terre ingrate, ou dans sa courette pleine de
fleurs
. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
39
ril 1934 Voici l’île purifiée et rajeunie, des
fleurs
partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au j
40
ur, d’œillets, de pois d’Espagne, de glycines, de
fleurs
orangées et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
41
vers la grille ouvragée, on voit une profusion de
fleurs
violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
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ue qui, dans les langues sémitiques, est encore à
fleur
de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
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fend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à
fleurs
sur le quai désert du métro, enfin un être vrai. Conclusion. — S’oc
44
de Tristan et celui de la reine, il sème de la «
fleur
de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
45
le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la
fleur
de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
46
n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette
fleur
des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
47
ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à
fleur
de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
48
amour au duc Girard. Je lui donne de mon oscle la
fleur
, parce que je l’aime plus que mon père et plus que mon mari ; et le v
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de Tristan et celui de la reine, il sème de la «
fleur
de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
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le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la
fleur
de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
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n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette
fleur
des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
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ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à
fleur
de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
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de Tristan et celui de la reine, il sème de la «
fleur
de blé ». Tristan, que Marc a chargé d’une nouvelle mission, veut rej
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le dortoir. Ils voient des traces de sang sur la
fleur
de blé. La preuve de l’adultère est ainsi faite. Iseut sera livrée à
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n’est-ce pas une ironie du sort qui fit que cette
fleur
des chevaliers errants à la mode de Bourgogne, Jacques de Lalaing, fu
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ses, un bien bizarre mélange de sentimentalisme à
fleur
de nerfs et d’histoires de rentes et de dots : ce qu’il n’a pas cessé
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amour au duc Girard. Je lui donne de mon oscle la
fleur
, parce que je l’aime plus que mon père et plus que mon mari ; et le v
58
rbres étranges qui poussent d’un jet, donnent une
fleur
unique, puis meurent : aussitôt. Mais il préfère élaguer quelques bra
59
et artifices, et commanda de les éliminer. De ses
fleurs
, elle fit des clichés1. Abandonné à l’inspiration pure, comme la colo
60
Paulhan, publié en France sous l’occupation : Les
Fleurs
de Tarbes. 2. Ce cauchemar est fort bien décrit par Lewis Carroll da
61
rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des
fleurs
vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… » — « Mais tout ici a été
62
quet silencieux. Partout, des chœurs en robe, des
fleurs
, des croix, des cierges. Eh quoi ! c’est catholique ! s’écrie scandal
63
hidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de
fleurs
dans les cabines où sautaient les bouchons de champagne, ces corridor
64
ille chapelle anglicane, sous des flamboyants aux
fleurs
pourpres. Escale à Rio de Janeiro, qui décourage la description, plut
65
rer. C’en est trop. Je lui arrache une poignée de
fleurs
et d’un seul coup j’atteins le but. Alors elle s’est retournée vers m
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rie : — Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des
fleurs
vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… — Mais tout ici a été fai
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prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres de
fleurs
descendent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un lac sinueux. Pa
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’un après-midi, ces musiquettes et ces parfums de
fleurs
et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des de
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met du bûcher paraissait une blanche et lumineuse
fleur
qui resplendissait comme une étoile. Mais pourquoi détourner la tête
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e de terre ingrate, ou dans sa courette pleine de
fleurs
. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie pas nécess
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ril 1934 Voilà l’île purifiée et rajeunie, des
fleurs
partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au j
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ur, d’œillets, de pois d’Espagne, de glycines, de
fleurs
orangées et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
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vers la grille ouvragée, on voit une profusion de
fleurs
violentes et d’orties. L’ensemble est imposant et comme démesuré dans
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hidées au col des femmes entrevues, ces gerbes de
fleurs
dans les cabines où sautaient les bouchons de champagne, ces corridor
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ille chapelle anglicane, sous des flamboyants aux
fleurs
pourpres. Escale à Rio de Janeiro, qui décourage la description, plut
76
À droite et à gauche, des bosquets de mimosas en
fleurs
, hauts comme des chênes d’Europe, dômes de parfums, et des forêts où
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rer. C’en est trop. Je lui arrache une poignée de
fleurs
et d’un seul coup j’atteins le but. Alors elle s’est retournée vers m
78
rie : « Quel goût ! Voilà l’Europe enfin ! Et des
fleurs
vraies ! Ah mon cher, ici, tout est beau !… — Mais tout ici a été fai
79
ns une maison de bois jaune entourée de gazon, de
fleurs
et d’arbres pleins d’oiseaux. C’est d’ici que partit, en 1939, la fam
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aix et la justice en embrouillant tout, au nom de
fleur
dialectique. Pour ma part, j’essaierai de débrouiller quelques faits,
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quet silencieux. Partout, des chœurs en robe, des
fleurs
, des croix, des cierges. Eh quoi ! c’est catholique ! s’écrie scandal
82
ns une maison de bois jaune entourée de gazon, de
fleurs
et d’arbres pleins d’oiseaux. Il s’avança vers moi, souriant de ses g
83
signaux éprouvés, jalonnant la voie clandestine,
fleurs
de cette « rhétorique du rêve » que Jean-Paul a nommée le premier, il
84
Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des
fleurs
partout, et des fanfares dans la cour du palais. — On dirait un maria
85
peintes en jaune. Statuettes vêtues de soie et de
fleurs
dans des niches, comme à Naples. Il y a bien, assises sur les marches
86
toffes rouge et or derrière la statuette, bijoux,
fleurs
, menues verroteries, et dans l’étroit espace devant l’autel, une femm
87
odeurs d’huile brûlée, d’encens ou de pétales de
fleurs
emplissant des corbeilles si fraîches à voir. Dans la fournaise d’une
88
a torsade de racines grises formant le tronc, des
fleurs
roses et violettes, piquées en ex-voto. Devant moi, quelques marches
89
arbre, une petite fontaine et un autel, chargé de
fleurs
et d’offrandes. Un homme prie debout, puis se tourne à demi en remuan
90
mine sacrée, le pipal, l’autel, la fontaine, les
fleurs
offertes et les fidèles muets, forme l’antichambre ou le parvis du te
91
longue veste de soie d’un violet sombre, semée de
fleurs
gris-clair et jaunes. Pantalons blancs étroits, souliers de soie noir
92
« Toute plante qui souffre a tendance à produire
fleurs
et fruits. »16 (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait ; p
93
Chartreuse de Parme. 48. Charles Baudelaire : Les
Fleurs
du mal. 49. Stéphane Mallarmé : Poésies. 50. Arthur Rimbaud : Une sa
94
: Psychologie de l’art. 98. Jean Paulhan : Les
Fleurs
de Tarbes. 99. Graham Greene : La Puissance et la gloire. Déjà cité
95
aire de la France, des Serments de Strasbourg aux
Fleurs
de Tarbes, réfute cet abus de langage. Que la haute couture me pardon
96
« Toute plante qui souffre a tendance à produire
fleurs
et fruits41 » (Un peu plus de souffrance et elle se dessécherait ; pl
97
des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de
fleurs
. À ce point, la passion fait place à la présence, la souffrance du dé
98
it dans les mains une corbeille pour recevoir des
fleurs
; elles gagnèrent les prairies voisines de la mer, qui étaient le lie
99
saient à chercher chacune telle ou telle sorte de
fleur
; l’une prenait le narcisse odorant, une autre l’hyacinthe, celle-ci
100
lle ne devait pas longtemps prendre plaisir à ces
fleurs
, ni conserver intacte sa ceinture virginale. Aussitôt que le fils de
101
i, naguère dans les prés, n’était occupée que des
fleurs
, et en faisant, habile ouvrière, une couronne vouée aux nymphes, main
102
à travers les flots immenses ou bien cueillir les
fleurs
nouvelles ? Si quelqu’un, maintenant, le livrait à ma colère, ce taur
103
l’an 600, s’adresse au pape Grégoire comme à « la
fleur
de toute l’Europe », puis en 615 au pape Boniface IV comme au chef d
104
ique, la poésie et la musique, L’Alternative, Les
Fleurs
du mal, Tristan, témoignent d’une prise de conscience très profondéme
106
des pelouses le fleuve silencieux d’une neige de
fleurs
. À ce point, la passion fait place à la présence, la souffrance du dé
107
it dans les mains une corbeille pour recevoir des
fleurs
; elles gagnèrent les prairies voisines de la mer, qui étaient le lie
108
saient à chercher chacune telle ou telle sorte de
fleur
; l’une prenait le narcisse odorant, une autre l’hyacinthe, celle-ci
109
lle ne devait pas longtemps prendre plaisir à ces
fleurs
, ni conserver intacte sa ceinture virginale. Aussitôt que le fils de
110
i, naguère dans les prés, n’était occupée que des
fleurs
, et en faisait, habile ouvrière, une couronne vouée aux nymphes, main
111
à travers les flots immenses ou bien cueillir les
fleurs
nouvelles ? Si quelqu’un, maintenant, le livrait à ma colère, ce taur
112
s l’an 600, s’adresse au pape Grégoire comme à la
fleur
de toute l’Europe, puis en 615 au pape Boniface IV comme au chef de
113
hez elle nulle ombre d’autorité. Seule la France,
fleur
intacte du royaume du Christ, est son asile le plus sûr. Si par hasar
114
stent au milieu des frimas pour donner encore des
fleurs
dans un nouveau printemps. L’abbé Ferdinando Galiani (1727-1787) né
115
nt tout à fait le soir ; à travers la verdure des
fleurs
placées sur la fenêtre, un faisceau de rayons obliques frappait la vi
116
ée dans l’allégresse de nationalismes pimpants, «
fleur
au fusil », dans l’inconscience générale du véritable enjeu de la gue
117
liorer que comme telles. Elles sont à la fois les
fleurs
et les jardiniers de la forme. La forme est une autre manifestation s
118
œuvres aussi diverses que le Faust de Goethe, les
Fleurs
du mal de Baudelaire, le Zarathustra de Nietzsche, les Four Quartets
119
ue qui, dans les langues sémitiques, est encore à
fleur
de sol, obscurcit la déduction abstraite… » (Renan, op. cit., I, p. 4
120
âturages à l’herbe rase, plantes grasses, petites
fleurs
intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hé
121
Kinsey, entre la Porte étroite et Notre-Dame des
Fleurs
ou Le Silence de Bergman, ce qui s’est passé d’important se situe au
122
r un horizon de collines boisées et de vergers en
fleurs
auprès d’un lac qui virent la fuite du Téméraire, la liberté des vill
123
âturages à l’herbe rase, plantes grasses, petites
fleurs
intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hé
124
recopier d’une belle écriture sage et d’orner de
fleurs
au crayon de couleur. Fourier était alors son nouvel intercesseur : i
125
recopier d’une belle écriture sage et d’orner de
fleurs
au crayon de couleur. Fourier était alors son nouvel Intercesseur : i
126
it, comme nous l’apprirent beaucoup plus tard les
Fleurs
de Tarbes !) Il n’avait encore publié que deux ou trois petits livres
127
n me permette au moins de recopier cette page des
Fleurs
de Tarbes où je retrouve l’étonnante liberté de jugement, mais les sc
128
Churchill et sa femme conduisant. Il y avait des
fleurs
partout, et des fanfares dans la cour du palais. “On dirait un mariag
129
Dans la vasque puiser, à travers le parfum de tes
fleurs
, et répandre, Sur le sol où renaît la prairie, l’eau sacrée et mes la
130
e ». Et les ports répondent aux sources comme les
fleurs
répondent aux graines, le système scientifique à l’éclair de voyance
131
feutre du plafond de photos miniatures encadrées,
fleurs
séchées, amulettes, croix grecques, images de saints aux belles coule
132
lé en son temps. (On chercherait en vain dans Les
Fleurs
du mal des phrases de catéchisme ou les canons du concile de Trente m
133
rs » : pouvoir féminin, pouvoir noir, pouvoir des
fleurs
, pouvoir jeune, pouvoir régional, etc. Le seul pouvoir qui importe es
134
rs » : pouvoir féminin, pouvoir noir, pouvoir des
fleurs
, pouvoir jeune, pouvoir régional. Or, un seul nous importe au bout du
135
Car « de même que les racines expliquent moins la
fleur
qu’elles ne sont impliquées par elle, la fin d’une phrase justifie se
136
ela donnait une sorte de champignon ou presque de
fleur
. J’étais fasciné par ce genre de chose, je ne faisais que ça. J’étais