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t comparer à Gorki, ses poèmes en prose sont d’un
franciscain
. Il y a en lui un amour des objets, un sens de la nature, une compréh
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une confrontation. Mais la lecture des mystiques
franciscains
, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
3
, on était moins obtus. La chevalerie errante des
Franciscains
se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
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ans courtois sont les sources directes du lyrisme
franciscain
, lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
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e cri célèbre de sainte Thérèse est inspiré de la
franciscaine
Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 107. J. Baruzi
6
s obscurités de la littérature émanée des cercles
franciscains
et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
7
elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement
franciscain
naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
8
e possible de l’hérésie courtoise sur la mystique
franciscaine
. Il commence par nier toute communication directe de l’une à l’autre.
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ier remarque, non sans profondeur, que la charité
franciscaine
obtint sans faire couler le sang la résorption de l’hérésie en Italie
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il y a d’autres sens encore que celui-ci, qui est
franciscain
avant la lettre). Et quant aux épithètes « réalistes » qui décriraien
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une confrontation. Mais la lecture des mystiques
franciscains
, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
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, on était moins obtus. La chevalerie errante des
Franciscains
se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
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ans courtois sont les sources directes du lyrisme
franciscain
, lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
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célèbre de sainte Thérèse fait écho à celui de la
franciscaine
Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 125. J. Baruzi,
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s obscurités de la littérature émanée des cercles
franciscains
et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
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elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement
franciscain
naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
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il y a d’autres sens encore que celui-ci, qui est
franciscain
avant la lettre). Et quant aux épithètes « réalistes » qui décriraien
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une confrontation. Mais la lecture des mystiques
franciscains
, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
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, on était moins obtus. La chevalerie errante des
Franciscains
se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
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ans courtois sont les sources directes du lyrisme
franciscain
, lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
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célèbre de sainte Thérèse fait écho à celui de la
franciscaine
Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 115. J. Baruzi
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s obscurités de la littérature émanée des cercles
franciscains
et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
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elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement
franciscain
naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
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e possible de l’hérésie courtoise sur la mystique
franciscaine
. Il commence par nier toute communication directe de l’une à l’autre.
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ier remarque, non sans profondeur, que la charité
franciscaine
obtint sans faire couler le sang la résorption de l’hérésie en Italie
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selon laquelle Jeanne d’Arc aurait été tertiaire
franciscaine
s’appuie exclusivement sur le fait qu’un document contemporain (Chron
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iaire des princes nestoriens d’Asie et des moines
franciscains
, n’ont abouti qu’à des échanges simplistes de grandioses prétentions
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notre ère européenne, ordres celtes, bénédictins,
franciscains
, jésuites… Quant aux hippies, je les trouve décrits dans les chroniqu