1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
1 t comparer à Gorki, ses poèmes en prose sont d’un franciscain . Il y a en lui un amour des objets, un sens de la nature, une compréh
2 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
2 une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains , dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
3 , on était moins obtus. La chevalerie errante des Franciscains se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
4 ans courtois sont les sources directes du lyrisme franciscain , lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
5 e cri célèbre de sainte Thérèse est inspiré de la franciscaine Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 107. J. Baruzi
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
6 s obscurités de la littérature émanée des cercles franciscains et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
7 elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement franciscain naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
4 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
8 e possible de l’hérésie courtoise sur la mystique franciscaine . Il commence par nier toute communication directe de l’une à l’autre.
9 ier remarque, non sans profondeur, que la charité franciscaine obtint sans faire couler le sang la résorption de l’hérésie en Italie
5 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
10 il y a d’autres sens encore que celui-ci, qui est franciscain avant la lettre). Et quant aux épithètes « réalistes » qui décriraien
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
11 une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains , dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
12 , on était moins obtus. La chevalerie errante des Franciscains se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
13 ans courtois sont les sources directes du lyrisme franciscain , lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
14 célèbre de sainte Thérèse fait écho à celui de la franciscaine Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 125. J. Baruzi,
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
15 s obscurités de la littérature émanée des cercles franciscains et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
16 elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement franciscain naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
17 il y a d’autres sens encore que celui-ci, qui est franciscain avant la lettre). Et quant aux épithètes « réalistes » qui décriraien
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
18 une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains , dès le xiiie siècle, nous eût fourni un autre exemple non moins fra
19 , on était moins obtus. La chevalerie errante des Franciscains se répandit en Italie comme les troubadours s’étaient répandus dans l
20 ans courtois sont les sources directes du lyrisme franciscain , lequel à son tour devait influencer si profondément le langage mysti
21 célèbre de sainte Thérèse fait écho à celui de la franciscaine Angèle de Foligno : « Je meurs du désir de mourir. » 115. J. Baruzi
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
22 s obscurités de la littérature émanée des cercles franciscains et même parfois dominicains. J’avoue que l’extension du langage même
23 elle des hérésies. Un peu plus tard, le mouvement franciscain naîtra d’une conjonction semblable entre les « spirituels » (mais dan
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
24 e possible de l’hérésie courtoise sur la mystique franciscaine . Il commence par nier toute communication directe de l’une à l’autre.
25 ier remarque, non sans profondeur, que la charité franciscaine obtint sans faire couler le sang la résorption de l’hérésie en Italie
26 selon laquelle Jeanne d’Arc aurait été tertiaire franciscaine s’appuie exclusivement sur le fait qu’un document contemporain (Chron
12 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
27 iaire des princes nestoriens d’Asie et des moines franciscains , n’ont abouti qu’à des échanges simplistes de grandioses prétentions
13 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
28 notre ère européenne, ordres celtes, bénédictins, franciscains , jésuites… Quant aux hippies, je les trouve décrits dans les chroniqu