1 eutralité : on craignait que de nouvelles guerres franco-allemandes ne dissocient le lien des cantons, et l’on avait par trop souffert de

2 ns une vive nostalgie de l’œuvre de rapprochement franco-allemand qu’il avait entreprise dans cette ville. Échange d’étudiants, confére

3 eutralité : on craignait que de nouvelles guerres franco-allemandes ne dissociassent le lien des cantons, et l’on avait par trop souffert

4 ns une vive nostalgie de l’œuvre de rapprochement franco-allemand qu’il avait entreprise dans cette ville. Échange d’étudiants, confére

5 « Êtes-vous partisan du rapprochement franco-allemand  ? » (29 janvier 1949)h L’ère des « rapprochements » est dépassée.

6 problèmes franco-allemands, mais pas de solution franco-allemande . La seule solution est l’Europe. Une exploitation fédérale des houill

7 ation. h. « Êtes-vous partisan du rapprochement franco-allemand  ? », Réforme, Paris, n° 202, 29 janvier 1949, p. 4. Réponse à une enq

8 nationaux, la volonté de régler le vieux conflit franco-allemand , la nostalgie de l’indépendance de nos pays. L’un des arguments que l

9 t russe menace de les submerger tous. Le problème franco-allemand reste insoluble dans son plan. En revanche, il se transforme et se ré

10 ité territoriale (cas des trois dernières guerres franco-allemandes , en ce qui concernait la Suisse) 2°) s’il juge que des raisons vitale

11 voici les maximes. 1. Il ne faut plus de guerres franco-allemandes . Cette conviction fit les premiers fédéralistes parmi les dirigeants

12 ivable, serait l’issue fatale d’une grande guerre franco-allemande , déclenchée par les idées révolutionnaires de Paris : Quel serait l’

13 commun, qui gage matériellement la réconciliation franco-allemande  ; de l’alliance de guerre avec l’URSS au Mur de Berlin, et de la Libé

14 libre de droits de douane traversait la frontière franco-allemande . Bien d’autres faits, non moins patents, devaient réduire l’une après

15 de rappeler que le premier passage à la frontière franco-allemande d’un train de charbon libre de droits de douane était fixé au lendema

16 it alors de rendre impossible une nouvelle guerre franco-allemande  : le discours de Churchill à Zurich, en 1946, le dit expressément. Et

17 ibre de droits de douane, traversait la frontière franco-allemande . Bien d’autres faits, non moins patents, devaient réduire l’une après

18 qu’un pasteur indigné décrit comme « un centaure franco-allemand  », mais qui nous laisse une image classique des régimes patriciens du

19 à la Libération, une politique de réconciliation franco-allemande dont même la démence hitlérienne n’a jamais réussi à le faire désespé

20 er motif : empêcher le retour d’une conflagration franco-allemande , était au cœur du discours de Zurich, et il va inspirer le traité de

21 s démocraties pourra prévenir une nouvelle guerre franco-allemande , comme celles qui ont servi de détonateur à deux guerres mondiales da

22 élites intellectuelles et politiques. Une guerre franco-allemande n’est pas plus imaginable aujourd’hui qu’une guerre entre deux canton

23 l’Allemagne d’aujourd’hui… Le problème de l’union franco-allemande ne peut se poser sainement qu’à partir de la Révolution […] La jeunes

24 décidé de manifester : ils ont été à la frontière franco-allemande toute proche et ont jeté bas une douzaine de poteaux frontières, en b

25 siliensis (helvéto-franco-allemande), des Euregio franco-allemandes , ou belgo-hollando-allemandes, ou austro-italo-slovène, etc.101 Le p