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Henry de Montherlant, Chant
funèbre
pour les morts de Verdun (mars 1925)a Henry de Montherlant, hériti
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atin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Chant
funèbre
, adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles con
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ût du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant
funèbre
. Et une phrase telle que « … Nous sommes sûrs de ne pas nous tromper
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nsentie, voilà ce que nous admirons dans le Chant
funèbre
. Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette œuvre :
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vent de joie. a. « Henry de Montherlant : Chant
funèbre
pour les morts de Verdun (B. Grasset, Paris) », Bibliothèque universe
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vec un certain mauvais goût au milieu d’harmonies
funèbres
, comme un qui n’attendrait pas que l’enterrement s’éloigne pour enton
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l marchait en silence à la suite de la procession
funèbre
, toutes ses relations avec son père se déroulèrent comme un panorama
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là des sentiments de Hamlet, voyant la procession
funèbre
d’Ophélie, pensa Eiichi, il y avait la redoutable réalité, et il pleu
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des écritures. En écoutant la mystérieuse musique
funèbre
, Eiichi prit une résolution. Désormais, rompant tout lien avec le pas
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ique dans le vol pesant du corbeau, dans les cris
funèbres
des oiseaux de la nuit, dans les rugissements éloignés des bêtes sauv
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fait un curieux ricanement, en manière d’oraison
funèbre
. Et après ? « Vous n’allez pas me dire que vous êtes fasciste ? — Heu
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
funèbres
, des cérémonies d’imprécation, des sacrifices propitiatoires, le tam-
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tueuses, reconnaissable à je ne sais quel frisson
funèbre
. À peine Saint-Preux voit-il ses « vœux » comblés (I, lettre LV) qu’i
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la passion dont nous parlons ici. Voici le Chant
funèbre
d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
funèbres
, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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tueuses, reconnaissable à je ne sais quel frisson
funèbre
. À peine Saint-Preux voit-il ses « vœux » comblés (I, lettre LV) qu’i
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la passion dont nous parlons ici. Voici le Chant
funèbre
d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat
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tueuses, reconnaissable à je ne sais quel frisson
funèbre
. À peine Saint-Preux voit-il ses « vœux » comblés (I, lettre LV) qu’i
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la passion dont nous parlons ici. Voici le Chant
funèbre
d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
funèbres
, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
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, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
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, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
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, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
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, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam
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réclament encore du sang, des morts, des cortèges
funèbres
, des cérémonies d’imprécation, des sacrifices propitiatoires, le tam-
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Et le professeur Martensen, prononçant son éloge
funèbre
, crut devoir saluer sa mémoire comme celle d’un « vrai témoin de la v
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rince qui allait devenir saint Henri II, un chant
funèbre
, rimé par un poète rhénan, clama la fin de l’idée carolingienne de l’
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Et le professeur Martensen, prononçant son éloge
funèbre
, crut devoir saluer sa mémoire comme celle d’un « vrai témoin de la v
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rince qui allait devenir saint Henri II, un chant
funèbre
, rimé par un poète rhénan, clama la fin de l’idée carolingienne de l’
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rent de splendeur et de pompe lors des cérémonies
funèbres
, pour glorifier son nom et sa grandeur ; même dans la capitale de l’e
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empire turc un noble ennemi honora par un service
funèbre
public la mémoire du grand monarque qui avait quitté le monde. L’Euro