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ous verrons tout à l’heure que la prospective (ou
futurologie
, ou prévision systématique) va jouer un rôle décisif quant à la parti
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majorité du corps social ». La prospective et la
futurologie
elles-mêmes en viennent enfin à considérer la possibilité d’une Europ
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ls ou des rognures d’ongles de sa victime.) La
futurologie
scientifique appelle une économie de guerre De fait, les prévision
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es fascismes, aux dépens de la vie civique. La
futurologie
« scientifique » : un conservatisme utopique D’autre part, par ses
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des effets importants mais changés de signe ! La
futurologie
qui procède par la méthode kahnienne des « projections sans surprise
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ntaire mais non moins humiliante pour l’homme, la
futurologie
prétendue scientifique bride l’imagination au lieu de la libérer, et
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nd son appui dans l’homme sujet de l’Histoire. La
futurologie
serait alors « objective » parce qu’elle part des objets, des « faits
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Ce n’est pas un hasard non plus si prospective et
futurologie
sont apparues en Occident et pas ailleurs, et se sont constituées com
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es possibles. Les lieux d’abord. Prospective et
futurologie
ne pouvaient — et ne devaient — se développer qu’au sein d’une civili
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ce des Occidentaux qui en ont une. Prospective et
futurologie
sont nécessaires à notre société, puisque nous sommes contraints de c
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ar Gaston Berger vers 1950. Futuribles s’oppose à
futurologie
dès 1960. (Cf. L’Art de la conjecture, par Bertrand de Jouvenel, SEDE
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poils ou rognures d’ongles de sa victime.) La
futurologie
« scientifique » appelle l’économie de guerre De fait, les prévisi
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s fascismes — aux dépens de la vie civique. La
futurologie
« scientifique » : un conservatisme utopique D’autre part, par ses
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des effets importants, mais changés de signe ! La
futurologie
qui procède par la méthode kahnienne des « projections sans surprise
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ntaire mais non moins humiliante pour l’homme, la
futurologie
prétendue scientifique bride l’imagination au lieu de la libérer, et
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nd son appui dans l’homme sujet de l’histoire. La
futurologie
serait alors « objective » parce qu’elle part des objets, des « faits
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x les plus dévastateurs du xxe siècle, et que la
futurologie
les a manqués. De son propre aveu, je le rappelle, elle ne pouvait pr
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uiraient, si l’on s’en tenait à l’évidence que la
futurologie
« scientifique » ne peut prévoir que du calculable, et que le calcula
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s désirs, dont la technique n’est que l’outil. La
futurologie
devrait prévoir ce qui met en danger notre avenir. C’est ce qu’a fait
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lui sans envisager où il va arriver. La véritable
futurologie
devrait prévoir ce qui met notre avenir en danger. Ce sont des super-
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léaux les plus dévastateurs xxe siècle et que la
futurologie
a manqués. J’ai donc écouté Denis de Rougemont m’expliquer comment Fo
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récisément, n’a-t-on pas aujourd’hui développé la
futurologie
, la prospective ? En feignant de croire que l’avenir était davantage
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omie, la politique, l’histoire, la sociologie, la
futurologie
et j’en passe… On est un peu écrasé par la somme de travail qu’il rep
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lupart des lecteurs d’ouvrages de prospective, de
futurologie
, de futuribles, n’y cherchent pas des objectifs d’action, mais au con
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que subissent les plus grands spécialistes de la
futurologie
dite scientifique dans leurs prévisions économiques et politiques. Qu
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que subissent les plus grands spécialistes de la
futurologie
dite scientifique, dans leurs prévisions économiques et politiques. Q