1 ctériser la nouvelle classe opposée à la noblesse féodale . Pour les auteurs bourgeois de cette époque « la dignité de l’homme n

2 qu’ils passèrent de l’ascétisme bourgeois au luxe féodal , ils subirent le jugement de la révolution. Ils pouvaient d’autant mo

3 tral, la vertu décisive et première de la société féodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, de même l

4 ctériser la nouvelle classe opposée à la noblesse féodale . Pour les auteurs bourgeois de cette époque « la dignité de l’homme n

5 qu’ils passèrent de l’ascétisme bourgeois au luxe féodal , ils subirent le jugement de la révolution. Ils pouvaient d’autant mo

6 tral, la vertu décisive et première de la société féodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, de même l

7 e, et l’on irait de temps à autre arraisonner les féodaux d’industrie du pays. « Communauté », mot de passe de cette génération

8 e, et l’on irait de temps à autre arraisonner les féodaux d’industrie du pays. 18 mai 1935 « Communautés ». — On en parle

9 en plutôt qu’une dérogation aux coutumes du droit féodal . Mais là-dessus se produisit la confusion inévitable de la Dame, pur

10 ècle entre la règle chevaleresque et les coutumes féodales . Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons

11 trer le conflit de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le

12 sode des trois barons « félons ». Selon la morale féodale , le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droi

13 pour la chevalerie « courtoise » contre le droit féodal . Mais nous avons d’autres raisons de le croire. La conception de la f

14 né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales . On sait que le mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seign

15 hoisira donc, dans ce cas, d’observer la fidélité féodale , masque et complice énigmatique de la fidélité courtoise. Il choisit

16 e le Roi et les barons, il pourrait, dans le plan féodal qu’il adopte, faire valoir le droit de la force… Étrange amour, va-t-

17 eux lois qui entrent en jeu, chevalerie et morale féodale , ne sont observées par l’auteur que dans les seules situations où ell

18 e. En tout cela ; Tristan n’obéit qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de « valeur », il s’agit d

19 strer, entre la loi de chevalerie et les coutumes féodales , nous a permis de surprendre le mécanisme de ces contradictions. Alor

20 non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féodale . Mais sans cette faute initiale, il n’y aurait pas de roman du tout.

21 viennent plus robustes. » (Amyot). La chevalerie féodale , de même, honorait dans la chasteté un obstacle instinctif à l’instin

22 é du siècle. Elles pénétrèrent bientôt la société féodale . Celle-ci ne connaissait pas toujours l’origine et la portée mystique

23 e la femme n’ayant pas été, dans les institutions féodales du Midi, moins humble et dépendante que dans celles du Nord.32 » Or,

24 s’ils invectivent les clercs et leurs alliés les féodaux  ? Et s’ils vivent de préférence à la manière errante des « purs » qui

25 irlandais et breton ; des coutumes de chevalerie féodale  ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une sensualité parfois trè

26 ns la conscience occidentale et dans les coutumes féodales , tout cela vient sourdement retentir dans le mythe. Nous avons donc r

27 du Midi, au contraire, presque affranchie du lien féodal … » Alors ? En réalité, cette seconde phrase n’est pas fausse : il y a

28 rdre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodale par l’État-roi, entraîne des modifications assez profondes dans les r

29 r le rêve d’une aristocratie déchue de l’héroïsme féodal . Un Richelieu ou un Lauzun dans la plus haute société, un Bezenval et

30 : haine, orgueil et violence barbare de l’honneur féodal , jusqu’au crime. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’ell

31 amour méridionale se distinguait de la chevalerie féodale en ceci surtout : c’est que tout homme, fût-il bourgeois ou vilain, p

32 al de cette suzeraine, selon la règle des guerres féodales , tout comme si c’était lui qui avait subi la défaite 164. Il ne lui r

33 tieux de la guerre s’oppose aux violences du sang féodal comme le culte de la chasteté, chez les troubadours, s’oppose à l’exa

34 en plutôt qu’une dérogation aux coutumes du droit féodal . Mais là-dessus se produisit la confusion dont nous avons longuement

35 t sur le reste de la légende qui est cléricale et féodale ). Cette analogie avec Tristan nous donne un repère pour apprécier la

36 ge et de sa fidélité, en même temps que des liens féodaux . Mais les différences ne sont pas moins significatives. Dans Tristan,

37 qui conduit à la mort ; ici, ce sont les intérêts féodaux qui entraînent à des guerres sans fin. — Voici deux autres textes « c

38 ècle entre la règle chevaleresque et les coutumes féodales . Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons

39 trer le conflit de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 16, l

40 sode des trois barons « félons ». Selon la morale féodale , le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droi

41 pour la chevalerie « courtoise » contre le droit féodal . Mais nous avons d’autres raisons de le croire. La conception de la f

42 né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales . On sait que le mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seign

43 hoisira donc, dans ce cas, d’observer la fidélité féodale , masque et complice énigmatique de la fidélité courtoise. Il choisit

44 e le Roi et les barons, il pourrait, dans le plan féodal qu’il adopte, faire valoir le droit de la force… Étrange amour, va-t-

45 eux lois qui entrent en jeu, chevalerie et morale féodale , ne sont observées par l’auteur que dans les seules situations où ell

46 ie. En tout cela, Tristan n’obéit qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de « valeur », il s’agit d

47 strer, entre la loi de chevalerie et les coutumes féodales , nous a permis de surprendre le mécanisme de ces contradictions. Alor

48 non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féodale . Mais sans cette faute initiale, il n’y aurait pas de roman du tout.

49 ants en viennent plus robustes »18. La chevalerie féodale , de même, honorait dans la chasteté un obstacle instinctif à l’instin

50 é du siècle. Elles pénétrèrent bientôt la société féodale . Celle-ci ne connaissait pas toujours l’origine et la portée mystique

51 e la femme n’ayant pas été, dans les institutions féodales du Midi, moins humble et dépendante que dans celles du Nord. » Or, s’

52 s’ils invectivent les clercs et leurs alliés les féodaux  ? Et s’ils vivent de préférence à la manière errante des « purs » qui

53 idi de la France à un relâchement notable du lien féodal et patriarcal (partage égal des domaines entre tous les fils, ou « pa

54 irlandais et breton ; des coutumes de chevalerie féodale  ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une sensualité parfois trè

55 énéral, et dans ce monde l’ordre social du temps ( féodal , clérical, et guerrier), et dans cet ordre le mariage. b) La Minnegr

56 ns la conscience occidentale et dans les coutumes féodales , tout cela vient sourdement retentir dans le mythe. Nous avons donc r

57 rdre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodale par l’État-roi, entraîne des modifications assez profondes dans les r

58 r le rêve d’une aristocratie déchue de l’héroïsme féodal . Un Richelieu ou un Lauzun dans la plus haute société, un Bezenval et

59 haine, orgueil, et violence barbare de l’honneur féodal , jusqu’au crime. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’ell

60 al de cette suzeraine, selon la règle des guerres féodales , tout comme si c’était lui qui avait subi la défaite182. Il ne lui re

61 tieux de la guerre s’oppose aux violences du sang féodal comme le culte de la chasteté, chez les troubadours, s’oppose à l’exa

62 ècle entre la règle chevaleresque et les coutumes féodales . Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons

63 trer le conflit de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 21, l

64 sode des trois barons « félons ». Selon la morale féodale , le vassal est tenu de dénoncer au seigneur tout ce qui lèse son droi

65 pour la chevalerie « courtoise » contre le droit féodal . Mais nous avons d’autres raisons de le croire. La conception de la f

66 né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales . On sait que le mariage, au xiie siècle, était devenu pour les seign

67 hoisira donc, dans ce cas, d’observer la fidélité féodale , masque et complice énigmatique de la fidélité courtoise. Il choisit

68 e le roi et les barons, il pourrait, dans le plan féodal qu’il adopte, faire valoir le droit de la force… Étrange amour, va-t-

69 eux lois qui entrent en jeu, chevalerie et morale féodale , ne sont observées par l’auteur que dans les seules situations où ell

70 ie. En tout cela, Tristan n’obéit qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de « valeur », il s’agit d

71 strer, entre la loi de chevalerie et les coutumes féodales , nous a permis de surprendre le mécanisme de ces contradictions. Alor

72 non moins qu’aux yeux de la morale chrétienne et féodale . Mais sans cette faute initiale, il n’y aurait pas de roman du tout.

73 nts en viennent plus robustes. »11 La chevalerie féodale , de même, honorait dans la chasteté un obstacle instinctif à l’instin

74 é du siècle. Elles pénétrèrent bientôt la société féodale . Celle-ci ne connaissait pas toujours l’origine et la portée mystique

75 e la femme n’ayant pas été, dans les institutions féodales du Midi, moins humble et dépendante que dans celles du Nord. »25 Or,

76 s’ils invectivent les clercs et leurs alliés les féodaux  ? Et s’ils vivent de préférence à la manière errante des « purs » qui

77 idi de la France à un relâchement notable du lien féodal et patriarcal (partage égal des domaines entre tous les fils, ou « pa

78 irlandais et breton ; des coutumes de chevalerie féodale  ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une sensualité parfois trè

79 énéral, et dans ce monde l’ordre social du temps ( féodal , clérical, et guerrier), et dans cet ordre le mariage. b) La Minnegr

80 ns la conscience occidentale et dans les coutumes féodales , tout cela vient sourdement retentir dans le mythe. Nous avons donc r

81 moins à l’origine, tout est symbole religieux ou féodal , autant ou plus que traduction de relations humaines. Toutefois, le n

82 rdre (pour ne pas dire mise au pas) de la société féodale par l’État-roi entraîne des modifications assez profondes dans les re

83 r le rêve d’une aristocratie déchue de l’héroïsme féodal . Un Richelieu ou un Lauzun dans la plus haute société, un Casanova au

84 haine, orgueil, et violence barbare de l’honneur féodal , jusqu’au crime. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’ell

85 al de cette suzeraine, selon la règle des guerres féodales , tout comme si c’était lui qui avait subi la défaite 169. Il ne lui r

86 tieux de la guerre s’oppose aux violences du sang féodal comme le culte de la chasteté, chez les troubadours, s’oppose à l’exa

87 t sur le reste de la légende qui est cléricale et féodale ). Cette analogie avec Tristan nous donne un repère pour apprécier la

88 ge et de sa fidélité, en même temps que des liens féodaux . Mais les différences ne sont pas moins significatives. Dans Tristan,

89 qui conduit à la mort ; ici, ce sont les intérêts féodaux qui entraînent à des guerres sans fin. — Voici deux autres textes « c

90 , en plein conflit entre cathares et catholiques, féodaux du Nord et « démocrates » du Sud ; la poésie calviniste au xvie sièc

91 aient bien poliment : signe évident d’un esprit «  féodal  » si j’en crois les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête

92 e, et l’on irait de temps à autre arraisonner les féodaux d’industrie du pays. 18 mai 1935 « Communautés. » — On en parl

93 aient bien poliment : signe évident d’un esprit «  féodal  » si j’en crois les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête

94 alisme n’est en fait qu’une crispation de névrose féodale , un complexe de repli devant les réalités qui dominent aujourd’hui la

95 isme n’est, en fait, qu’une crispation de névrose féodale , un complexe de repli devant les réalités qui dominent aujourd’hui la

96 ant un pouvoir fédéral, mettant un terme au règne féodal des souverainetés nationales absolues. La position dite britannique (

97 au lieu de discuter sur l’abandon des privilèges féodaux des États, l’Assemblée, fort sagement, s’est tournée vers les créatio

98 es communes et par l’ambition des grandes maisons féodales , au premier rang desquelles allait se placer la maison des Habsbourg.

99 d et le Sud, enfin le fait politique de la menace féodale , tels sont les facteurs principaux qui contribuèrent à cristalliser e

100 ivalisent de puissance temporelle avec les grands féodaux  : les cantons primitifs devront s’armer contre eux aussi souvent que

101 idu égoïste et profanateur, au sein même du monde féodal , qui est le monde des « fidélités ». Tristan, pris de passion, viole

102 idi de la France à un relâchement notable du lien féodal et patriarcal (partage égal des domaines entre tous les fils, ou « pa

103 nology of Vulgar Latin, et Marc Bloch, La Société féodale . 16. Denys Hay, dans Diogène, n° 17, 1957 (article tiré d’une commun

104 idu égoïste et profanateur, au sein même du monde féodal qui est le monde des « fidélités ». Tristan pris de passion viole tou

105 égeances et de la foi jurée, profanation du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcellerie, magie noir

106 le du chevalier, est contraint de violer le sacré féodal , devient traître et félon et se voit exilé de la communauté des preux

107 ol au nom de l’Empire, contre les entreprises des féodaux voisins, que les Hohenstaufen donnèrent aux petits peuples des Waldst

108 de normalement à Tristan, comme le cosmopolite au féodal . Si Tristan quitte ses terres, s’éloigne de la Cour, son « errance »

109 égeances et de la foi jurée, profanation du sacré féodal et des sacrements catholiques, faux serments, sorcellerie, magie noir

110 le du chevalier, est contraint de violer le sacré féodal , devient traître et félon et se voit exilé de la communauté des preux

111 de normalement à Tristan, comme le cosmopolite au féodal . Si Tristan quitte ses terres, s’éloigne de la Cour, son « errance »

112 t l’Église à l’Empire, l’empereur et les rois aux féodaux , les cités aux princes et l’orthodoxie aux hérésies, cette fermentati

113 t l’Église à l’Empire, l’empereur et les rois aux féodaux , les cités aux princes et l’orthodoxie aux hérésies, cette fermentati

114 d’un pluralisme intégral, nous trouvons le régime féodal mais aussi les corporations et les communes, le fédéralisme helvétiqu

115 , en plein conflit entre cathares et catholiques, féodaux du Nord et « démocrates » du Sud ; la poésie calviniste au xvie sièc

116 fameux triangle. Puis l’obstacle deviendra la loi féodale chrétienne ; ou bien il sera symbolisé tout simplement par la séparat

117 e Tell, pâtre libérateur, triomphant des despotes féodaux et fondant d’un seul trait d’arbalète dans une pomme la plus ancienne

118 qui viennent du sud. Mais bientôt la dissolution féodale de ces deux souverainetés, dont héritent les rois du Saint-Empire, do

119 d-garde pour l’Empire, contre les entreprises des féodaux . Et, d’autre part, ils se rebellent contre les intendants ministériau

120 dernier. On a vu le rôle historique des dynasties féodales avant le Pacte. Ces grandes familles sont toutes éteintes, sauf une,

121 ires de la noblesse germanique : Uradel, familles féodales dont la qualité noble est attestée antérieurement à 1350, et Briefade

122 des marchandises, cantonales, communales et même féodales , soixante-dix de plus qu’en 1803. Il y en avait partout, sauf aux fro

123 ivalisent de puissance temporelle avec les grands féodaux  : les cantons primitifs devront s’armer contre eux aussi souvent que

124 nt vraiment fidèles aux notables du xiiie siècle féodal qui firent le Pacte primitif, et dont ils savent moins que rien ; mai

125 t les ruines et le mutisme désolé des forteresses féodales . Les seigneurs de la production industrielle fondent ici leur empire

126 ant un pouvoir fédéral, mettant un terme au règne féodal des souverainetés nationales absolues. La position dite britannique (

127 le château forme le centre, il s’agit d’une cité féodale , et, quand c’est la place, d’une commune, au sens très virulent que p

128 s une extase éblouissante. Or il respecte l’ordre féodal , il ne veut pas que tout s’effondre autour de lui. En fait, il viole

129 le château forme le centre, il s’agit d’une cité féodale , et, quand c’est la place, d’une commune, au sens très virulent que p

130  : qu’on se rappelle la lutte des rois contre les féodaux , des États modernes contre les pouvoirs locaux, et de l’école primair

131  : qu’on se rappelle la lutte des rois contre les féodaux , des États modernes contre les pouvoirs locaux, et de l’école primair

132 er refuge contre la tyrannie grossière du mariage féodal et catholique. Le Breton Pierre Abélard (1079-1142), poète, philosoph

133 tard à l’amante —, l’assimilant ainsi au seigneur féodal à qui le chevalier doit allégeance ; elle oppose au mariage « de rais

134 re à sa conservation (liens parentaux, allégeance féodale , mariage, séparations physiques qui semblent souvent provoquées par l

135 as les valeurs qui « obligent » la vraie noblesse féodale à la vertu et au service, celles qui pourraient favoriser les « attac

136 er ; arquebuses et machines de siège du Moyen Âge féodal  ; canons des communes contre la cavalerie des barons, ou l’infanterie

137 s organisées mais aventureuses, et de type plutôt féodal , sans liens d’aucune sorte avec l’État en général : il suffit de pens

138 re, de la tyrannie, des empires, des principautés féodales et des communes, puis de la nation étatisée, est entrée avec nous dan

139 ont gagné nos premières libertés contre les lois féodales de leur temps. Aujourd’hui, il vous faut gagner, à Kaiseraugst, non s

140 rs la dense forêt des coutumes et des allégeances féodales , c’était à seule fin de rester libres « comme les pères le furent181 

141 Louis XIV, le roi par excellence, avait brisé les féodaux et les communes, les grands et les moyens feudataires du royaume, et

142 organisées, mais aventureuses, et de type plutôt féodal , sans liens d’aucune sorte avec l’État en général : il suffit de pens

143 passage d’une souveraineté relative, la monarchie féodale  », bornée par trois sortes de lois : « les loys de Dieu, les règles d

144 er, ça doit se passer dans le même domaine, c’est féodal , c’est l’esprit de la féodalité, qui n’est absolument pas l’esprit de

145 t l’union dans un esprit de clocher en somme très féodal . Par bien des aspects, le nationalisme ou l’esprit national est une r

146 pluralisme, vous trouvez, par exemple, le régime féodal du haut Moyen Âge, mais aussi les corporations et les communes, qui é

147 s et les communes, qui étaient opposées au régime féodal , mais étaient le même genre de pluralisme de choses extrêmement compl

148 ons, on observera le même passage de « l’anarchie féodale  » à l’absolutisme monarchique qui s’établit dès le xvie siècle et se