1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 r digne de son rôle et vraiment le coryphée d’une génération casquée. Feu consumateur de toute faiblesse, flamme d’une pureté si r
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 du le sens social. Cela devient frappant dans les générations nouvelles. Toute la jeune littérature décrit un type d’homme profondé
3 du moi paraissent bien les ancêtres des nouvelles générations de héros de roman, lesquels sont tous éperdument égoïstes. Égoïstes a
4 érer de l’universelle hypocrisie accompli par des générations qui ne lèguent aux suivantes que leur lassitude : sachons au contrair
5 up sacrifièrent leur jeunesse. (« Nous sommes une génération de cobayes » remarque Paul Morand.) Il faut agir, ou bien être agi. D
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
6 ages ne manquent pas sur la détresse morale de la génération surréaliste. Mais tandis que la plupart en sont encore à des symboles
7 ition romanesque le trouble caractéristique de sa génération . Terrible aveu d’impuissance, il n’a plus même la force de l’hypocris
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
8 constructive des expériences entreprises par les générations précédentes. Parce qu’elles se sont souvent enlisées dans leurs reche
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
9 turelle a rapproché, dans sa maturité, des jeunes générations , en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel il aboutit co
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
10 ag Il faut souhaiter que ce témoignage sur les générations nouvelles et leurs maîtres soit lu par tous ceux qui cherchent à s’or
11 esse ne verrait qu’une abdication. Il décrit la «  génération nouvelle » avec une intelligente sympathie et un sens rare des direct
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
12 ne est maniaque, comme tous les jeunes gens de sa génération . Seulement chez lui, cela ne s’est pas porté sur les autos. Il préfèr
13 savoir ce qu’il est. C’est une autre manie de sa génération . Mais là encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y po
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
14 onne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma génération , ne m’étant pas livré à l’enquête préalable qui seule eût pu, à la ri
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
15 ousser la difficulté dans l’avenir, d’une ou deux générations . Pendant ce temps elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de ci
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
16 rds gros de dangers, c’est peut-être à quoi notre génération devra limiter l’efficacité de ses efforts. Critiquer le présent au no
17 ’en formuler une seconde. Laissons ce soin, à des générations plus libres d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de ce
11 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
18 al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des générations de « bourgeois cultivés » à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme.
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
19 onne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma génération , ne m’étant pas livré à l’enquête préalable qui seule eût pu, à la ri
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
20 ousser la difficulté dans l’avenir, d’une ou deux générations . Pendant ce temps elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de ci
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
21 rds gros de dangers, c’est peut-être à quoi notre génération devra limiter l’efficacité de ses efforts. Critiquer le présent au no
22 ’en formuler une seconde. Laissons ce soin, à des générations plus libres d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de ce
15 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
23 umanités nous paraissaient devoir transmettre aux générations cette notion d’un équilibre proprement humain. Ainsi passèrent quelqu
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
24 morale du milieu… Étrange misère que celle d’une génération qui, après tant de sarcasmes contre l’enfer bourgeois, n’a trouvé d’a
17 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
25 inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’à cette génération ne soit échue qu’une œuvre de critique, impitoyable de rigueur et d’e
18 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
26 ensée du xixe siècle vient s’incarner dans notre génération . Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous dev
19 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
27 ts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune génération littéraire et philosophique, c’est en vain que l’on chercherait un « 
28 nécessaire que se fait l’unanimité de la nouvelle génération . Quels que soient par ailleurs les antagonismes qui la divisent — bie
29 aractéristiques de ce double péril qui menace une génération  : péril de gauche et péril de droite, pourrait-on dire, afin de simpl
20 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
30 mot d’actualisation. C’est le mot de passe d’une génération révolutionnaire. Et en même temps la définition de notre humanisme, s
31 on » concrète chez les meilleurs esprits de notre génération , ceux de l’Ordre nouveau (Arnaud Dandieu, Robert Aron), ceux du group
32 is, parisiens au surplus.) Jamais, peut-être, une génération n’avait trouvé spontanément pareille communauté d’attitude essentiell
21 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
33 al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des générations de bourgeois cultivés à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
34 ve donc ici une prise de parti.   Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
35 al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des générations de bourgeois cultivés à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
36 s trente-deux ancêtres de mon père à la cinquième génération , je compte quatorze Neuchâtelois, un Hollandais, deux Allemands, et q
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
37 s burgs secrets de la Prusse-Orientale, — tant de générations aux fortunes diverses ne m’en séparent-elles pas autant qu’elles m’y
26 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
38 e son destin se confond avec le problème de notre génération . La sécurité ne sera jamais garantie par la signature des vieillards 
27 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
39 tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre génération , apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
28 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
40 livres fameux proclamant la « mission de la jeune génération  », la France jusqu’ici s’était bornée à les traduire et à les critiqu
41 s-guerre. Nos deux publicistes appartiennent à la génération qui atteint la trentaine et qui s’exprime dans des revues comme L’Or
29 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
42 n remarquable l’évolution accomplie par toute une génération de protestants, celle qui commence à s’exprimer dans des revues comme
30 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
43 grandir un fils, puis les enfants d’une troisième génération . (C’est un des grands pouvoirs des romanciers du Nord, que d’introdui
31 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
44 t antagonisme radical vient s’incarner dans notre génération . Saura-t-elle le pousser jusqu’à ses confins créateurs, — ou va-t-ell
32 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
45 onscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération  : la violence véritable est celle des constructeurs. Le premier manif
33 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
46 ujours plus rageusement ? Nous avons vu plusieurs générations mener cette course épuisante, et s’abattre à la fin dans les colonnes
34 1934, Politique de la personne. Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
47 aussi mal engagée que celle que doit jouer notre génération , n’est pas de ceux dont on puisse parler avec une légèreté de bon alo
35 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (D’après une discussion)
48 avent se faire entendre sans discontinuer par les générations successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quan
36 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
49 dans les Conclusions que voici. Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
37 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
50 médiate que vous voyez grandir dans les nouvelles générations de France et d’Angleterre. Est-ce l’avènement d’un nouvel Ordre europ
38 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
51 tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre génération , apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
39 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
52 onscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération  : la violence véritable est celle des constructeurs76. Le premier man
40 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
53 t antagonisme radical vient s’incarner dans notre génération . Saura-t-elle le pousser jusqu’à ses confins créateurs, — ou va-t-ell
41 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
54 grandir un fils, puis les enfants d’une troisième génération . (C’est un des grands pouvoirs des romanciers du Nord que d’introduir
42 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
55 d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa génération . 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas estimer que les obje
43 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
56 aussi mal engagée que celle que doit jouer notre génération , n’est pas de ceux dont on puisse parler avec une légèreté de bon alo
44 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (d’après une discussion)
57 avent se faire entendre sans discontinuer par les générations successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quan
45 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XI. D’un Cahier de revendications
58 dans les conclusions que voici. Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
46 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
59 médiate que vous voyez grandir dans les nouvelles générations de France et d’Angleterre. Est-ce l’avènement d’un nouvel Ordre europ
47 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
60 tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre génération , apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
48 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
61 t-ce pas ce « Dieu moral » qui détourna plusieurs générations des églises où on le prêchait envers et contre tout « honneur de Dieu
49 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
62 fin je finis par me dire ; je vois des visages de générations passées — cette contrée est couverte par les images d’hommes intrépid
50 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
63 ait voir s’attacher les romanciers de la nouvelle génération  : cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein, ce sens du con
51 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
64 res années, l’un des porte-paroles de la nouvelle génération en pleine révolte contre la tyrannie bancaire et puritaine, Waldo Fra
52 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
65 en appliquant l’astrologie, redécouvrit pour les générations futures « l’horizon primordial de la médecine », comme l’écrit le Dr
53 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
66 à l’avenir comme le témoin et le symbole de notre génération . I. Résidence de l’Esprit dans la cité actuelle En publiant ce
54 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
67 ce résultat… apprends d’abord à bien connaître ta génération , et surtout ses erreurs, ses plaisirs, ses fièvres, ce qu’elle voudra
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
68 s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles générations , dont les chefs qui les ont formées avouent déjà qu’elles leur parais
56 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
69 ire) ; une longue médiation sur les maîtres d’une génération et le passé de la race qu’ils prolongent (Barrès, Péguy, Romain Rolla
70 es j’ai pensé : document sur les déceptions d’une génération . Puis j’ai trouvé ce cri : « Tout me concerne », et ce sous-titre, ve
57 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
71 e une évasion, encore un exotisme à l’usage d’une génération sans foi. 62. Payot, 1932, page 135. z. Rougemont Denis de, « [Co
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
72 » bourgeoises, surtout pendant les deux dernières générations qui précédèrent leur chute, se mirent en majeure partie à placer leur
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
73 Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette génération sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
74 ut le régime de Weimar. Partis, régions, classes, générations , ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et
61 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
75 s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles générations , dont les chefs qui les ont formées avouent qu’elles leur paraissent
62 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
76 nsabilité. » Il faut bien constater que plusieurs générations — contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolst
77 se, sans trop de mauvais goût cette fois, par une génération que l’on dit peu subtile, — qui surtout n’a pas envie de se faire ass
78 est ainsi que les clercs distingués ont formé des générations à se concevoir en toute honnêteté irresponsables de leur destinée.
63 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
79 la pensée occidentale vient s’incarner dans notre génération . (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous de
80 t-être aurons-nous fait ce que devait faire notre génération . C’est le principe spirituel de la mesure qu’il nous faut tout d’abor
64 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
81 Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette génération sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
65 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
82 » bourgeoises, surtout pendant les deux dernières générations qui précédèrent leur chute, se mirent en majeure partie à placer leur
66 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
83 Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette génération sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
67 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
84 ut le régime de Weimar. Partis, régions, classes, générations , ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et
68 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
85 s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles générations , dont les chefs qui les ont formées avouent qu’elles leur paraissent
69 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
86 nsabilité. » Il faut bien constater que plusieurs générations — contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolst
87 se, sans trop de mauvais goût cette fois, par une génération que l’on dit peu subtile, — qui surtout n’a pas envie de se faire ass
88 est ainsi que les clercs distingués ont formé des générations à se concevoir en toute honnêteté irresponsables de leur destinée.
70 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
89 la pensée occidentale vient s’incarner dans notre génération . (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous de
90 t-être aurons-nous fait ce que devait faire notre génération . C’est le principe spirituel de la mesure qu’il nous faut tout d’abor
71 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
91 passant, que par rapport au snobisme furtif d’une génération littéraire. Nous sommes heureux de lire enfin un manuel où Rimbaud, S
72 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
92 mmercial. « À nous la liberté ! » s’écriait cette génération  : elle ignorait apparemment que la liberté est une conquête, et non p
93 évidence. Il y avait des places vides, toute une génération tuée à remplacer. Il y avait l’inflation, et la prospérité des nouvea
94 — jusqu’à la crise de 1930. Il nous en reste une génération de gloires rapides et sans ampleur, des « noms » qu’un seul livre imp
95 talent dans la durée et vagabondent à travers les générations . Notons qu’ils s’attardent presque tous aux générations d’avant-guerr
96 tions. Notons qu’ils s’attardent presque tous aux générations d’avant-guerre : le temps de leur jeunesse, remarque Thibaudet. Et il
97 man, pour cette tranche de siècle que meublera la génération de 1914. Il est caractéristique que le livre de Thibaudet se termine
73 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
98 refoulement séculaire de ces questions. Plusieurs générations de bourgeoisie, et la crise de cette bourgeoisie ont accouché d’un de
74 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
99 ie du pays. « Communauté », mot de passe de cette génération , n’aurons-nous fait que l’appeler de loin, ne sera-t-elle pour nous q
75 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
100 s l’espace d’une seule vie ce romantisme où trois générations vont se débattre et s’épuiser. Goethe sera l’homme en relation avec l
76 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
101 refoulement séculaire de ces questions. Plusieurs générations de bourgeoisie, et la crise de cette bourgeoisie, ont accouché d’un d
77 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
102 préside à cette stérilisation profonde des jeunes générations fascistes et staliniennes : on cherche à obtenir par des moyens bruta
78 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
103 jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des générations  » dont il définissait comme suit les éléments : « L’ancienne générati
104 éfinissait comme suit les éléments : « L’ancienne génération , celle dont les membres avaient environ la trentaine en 1900 fut une
105 bres avaient environ la trentaine en 1900 fut une génération heureuse ; la génération d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble
106 rentaine en 1900 fut une génération heureuse ; la génération d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble des hommes qui ont aujou
107 ommes qui ont aujourd’hui de 25 à 40 ans, est une génération particulièrement éprouvée par les circonstances. » D’où résulte que l
108 me. Mais lorsqu’un « jeune » fit remarquer que la génération des anciens est essentiellement celle de Barrès, de Maurras, de Sorel
109  malheureuse », — M. Benda refusa de répondre. La génération des anciens, des heureux, des intellectuels riches, c’est M. Benda, e
110 nda attribue à la jeunesse, convient en fait à la génération des « anciens ». À cette erreur totale sur les faits, M. Benda ajoute
79 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
111 morale — et sociale — qui s’impose aux nouvelles générations . Par les menues expériences d’une vie diminuée et matériellement diff
80 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
112 teurs trop pressés ou intéressés, il existe une «  génération  » d’écrivains — prenons ces termes au sens le plus large — qui pour n
113 un poids) qui suffit presque à distinguer cette «  génération  » nouvelle de celle qui s’illustra par le surréalisme. Littérature pr
81 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
114 ul jugement métaphysique et théologique de chaque génération . 3. Ceci dit, il me paraît utile de poser ce problème, très brièvemen
82 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
115 s ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération ) et peut-être réussirons-nous à y croire. Je m’en voudrais de commen
83 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
116 esquisse à peine. Ce sera la tâche de la nouvelle génération que de le mener à chef dans le plus court délai. Car il y va de l’exi
84 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
117 s ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération ) et peut-être réussirons-nous à y croire. Ruine des croyances commun
85 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
118 ais nous aurons du moins sauvé l’honneur de cette génération anxieuse. Et pour tout dire, je ne suis pas sans espoir. Les faux die
86 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
119 pour « beaux » se produit normalement dans chaque génération , de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b
87 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
120 uatrième ou de cinquième année. C’est la dernière génération d’avant le régime. Ils connaissent Gide, Claudel, Giraudoux, mieux qu
88 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
121 s ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque génération ) et peut-être réussirons-nous à y croire. » Ruine des croyances commu
89 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
122 de sa plus émouvante saveur. Je sais : toutes les générations ont cru qu’elles étaient la dernière à cultiver le romantisme. La nôt
90 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
123 nification qu’il eut, en fait, pour les premières générations de la Réforme. Ce n’est pas sans un joyeux étonnement que je suis tom
91 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
124 onnues (au sens total) par plusieurs hommes de ma génération  : je veux parler du surréalisme et de l’influence de Freud sur ce mou
125 u xiie siècle, c’est à-dire de la toute première génération des troubadours ! Donc l’un des inventeurs de ces « formules ». Nous
92 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
126 toute la cour de France, et René désola plusieurs générations . C’est que pour admirer la nature simple, pour accepter certaines mél
93 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
127 pour « beaux » se produit normalement dans chaque génération , de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b
94 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
128 nt le gage d’une vie qui vaille d’être vécue. Les générations d’avant-guerre eurent sans doute l’existence plus facile, mais de que
129 menaces, sans résistances, sans vigilance. Notre génération trouve, au contraire, dans la connaissance du désordre et des périls
130 aussi, pourrait être sans précédent. Comme toute génération sérieusement avertie, par les faits ou par les prophètes. Isaïe révei
95 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
131 par un des écrivains les plus intelligents de sa génération . Neuchâtelois de naissance — et d’origine. Bel exemple de fédéralisme
96 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
132 mantisme, l’Allemagne change de nature. Les trois générations de romantiques allemands, individualistes en dehors de toute sociolog
97 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
133 e l’involontaire. » Et sur cette base, la seconde génération du romantisme va formuler sa fameuse théorie de l’inspiration — telle
98 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
134 onnues (au sens total) par plusieurs hommes de ma génération  : je veux parler du surréalisme et de l’influence de Freud sur ce mou
135 té que des poètes de la première et de la seconde génération des troubadours (1120 à 1180 environ). Au xiiie siècle, ceux de la d
136 0 environ). Au xiiie siècle, ceux de la dernière génération expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté. « Ce n’est plus de
137 itié du xiie siècle, c’est-à-dire de la première génération des troubadours ! Donc l’un des inventeurs de ces « formules ». Nous
99 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
138 toute la cour de France, et René désola plusieurs générations . C’est que pour admirer la nature simple, pour accepter certaines mél
100 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
139 pour « beaux » se produit normalement dans chaque génération , de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b