1 ementaires, de son ballet désuet : droite-gauche, gauche-droite … En face de jeunesses bottées, nu-tête, chemise ouverte, dont notre p

2 retomber dans cette vieille balançoire écœurante gauche-droite , droite-gauche, — et jamais d’objectif en avant. Mais là encore, quel

3 l me faut souligner, d’ailleurs, que le parallèle gauche-droite n’est pas rigoureux dans ce cas. L’écrivain « objectif » se voit trai

4 sus des partis, au-dessus des fausses oppositions gauche-droite , capital-travail, centralisme-régionalisme. Elle sera fédéraliste, pa

5 s, ce qui se cache en réalité, c’est l’opposition gauche-droite . Les radicaux centralisateurs ne sont que des socialistes qui s’ignor

6 me dit-on, se gênent le moins…40) Or l’opposition gauche-droite est étrangère au génie de la Suisse. Son origine parlementaire le pro

7 s, ce qui se cache en réalité, c’est l’opposition gauche-droite . Les radicaux centralisateurs ne sont que des socialistes qui s’ignor

8 me dit-on, se gênent le moins…10) Or l’opposition gauche-droite est étrangère au génie de la Suisse. Son origine parlementaire le pro

9 l’évolution de l’État-nation vers le règne botté, gauche-droite , de ceux qu’il désignait précisément comme « les terribles simplifica

10 ont tournées vers l’avenir. Elles ne disent pas «  gauche-droite , gauche-droite » comme les sergents, mais « en avant ! » Comment expl

11 rs l’avenir. Elles ne disent pas « gauche-droite, gauche-droite  » comme les sergents, mais « en avant ! » Comment expliquez-vous que