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rouler et bloquerait le ravitaillement. Quant aux
gaullistes
, ils ne font pas la guerre contre les nazis, mais contre le liftier f
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que d’un réveil brusque, socialistes allemands et
gaullistes
français se découvrent frères et complices des insulaires de gauche e
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mesure exacte où celui-ci s’éloignait des thèses
gaullistes
sur la Russie. Encore un peu de persévérance, ils vont trouver ce qu’
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e comptait ceux qui, hier, ont voté non, plus les
gaullistes
. L’anti-Europe de 1954 s’est regroupée contre le Général, qui l’appuy
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ais et le Marché commun, par le succès des thèses
gaullistes
, et par la carence des mouvements fédéralistes. Il en résulte alors,
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commun dans l’esprit de ses promoteurs. Tous les
gaullistes
se sont posés en défenseurs du traité de Rome, qui exclut leur « Euro
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roupes se trouvant renforcés par l’opposition des
gaullistes
à la supranationalité. La première de ces deux politiques a gagné le
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ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent
gaulliste
. Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et plu
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ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent
gaulliste
. » « Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et
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gés, où l’on décèle l’origine de toutes les idées
gaullistes
; le fameux cliché d’une Europe « de Gibraltar à l’Oural » s’y trouve
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’a supprimée par les soins diligents des légistes
gaullistes
, qui rappellent ceux de Philippe le Bel affirmant pour le compte de l
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ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent
gaulliste
. » « Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et
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le culte de la nation souveraine. (Communistes et
gaullistes
contre l’Europe intégrée.) Mais il a été le premier, et le seul écriv
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Enfin M. Sanguinetti, secrétaire général du parti
gaulliste
UDR, convaincu que les militants autonomistes en France sont « des im
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ançaise, qu’ils soient de gauche ou de droite, ou
gaullistes
, revendiquent tous dans les mêmes termes l’indépendance absolue de le
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sont les deux grandes traditions jacobines — les
gaullistes
et les communistes — qui se retrouvent pour brandir des slogans, inca
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ais moyen d’aujourd’hui, qu’il soit socialiste ou
gaulliste
, fait confiance à l’autorité incarnée par le chef de l’État, tout en
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ichel Debré. Quant au secrétaire général du parti
gaulliste
il traite « d’imbéciles ignorants de l’histoire », au surplus « agiss
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1. Puis il y a eu à Paris un congrès du RPR (les
gaullistes
orthodoxes) qui pour défendre « la vraie Europe » a sifflé et conspué
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e sept lieues ! »12 Il s’agissait alors, pour lui
gaulliste
, d’une Europe des États, c’est vrai, mais cependant dotée d’une « Ass
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n d’un continent entièrement dominé par la nation
gaulliste
. Ils condamnent toute fédération comme attentat délibéré à l’intégrit
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ciens, les pires exemples de délire nationaliste (
gaullistes
et communistes à l’envi) et par son peuple, les raisons les plus rais
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n « Essai de déclaration » rédigé par les membres
gaullistes
du Parlement européen cite M. Couve de Murville comme ayant déclaré :
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t les régions S’il est un sujet sur lequel les
gaullistes
d’aujourd’hui se réclament avec passion de leur fidélité à la pensée
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ui s’y sont ajoutés, de 1963 à 1979. La thèse des
gaullistes
durs sur la région est totalement négative. Dans les deux volumes de
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ce petit livre, dont on comprend si bien que les
gaullistes
l’aient passé sous silence. Pour Philippe de Gaulle, il n’y avait pa
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ui éclate à l’évidence, c’est que les « fidèles »
gaullistes
trahissent ouvertement le dernier Grand Dessein du Général en se rang
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lement français, à la suite de la coalition entre
gaullistes
et communistes, au nom de la crainte alléguée d’un contingent alleman
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inébranlable de l’immense majorité des Européens (
gaullistes
et eurocommunistes compris) dans l’ouverture automatique du « paraplu