1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
1 rouler et bloquerait le ravitaillement. Quant aux gaullistes , ils ne font pas la guerre contre les nazis, mais contre le liftier f
2 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
2 que d’un réveil brusque, socialistes allemands et gaullistes français se découvrent frères et complices des insulaires de gauche e
3 1955, Preuves, articles (1951–1968). De gauche à droite (mars 1955)
3 mesure exacte où celui-ci s’éloignait des thèses gaullistes sur la Russie. Encore un peu de persévérance, ils vont trouver ce qu’
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
4 e comptait ceux qui, hier, ont voté non, plus les gaullistes . L’anti-Europe de 1954 s’est regroupée contre le Général, qui l’appuy
5 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
5 ais et le Marché commun, par le succès des thèses gaullistes , et par la carence des mouvements fédéralistes. Il en résulte alors,
6 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
6 commun dans l’esprit de ses promoteurs. Tous les gaullistes se sont posés en défenseurs du traité de Rome, qui exclut leur « Euro
7 roupes se trouvant renforcés par l’opposition des gaullistes à la supranationalité. La première de ces deux politiques a gagné le
7 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
8 ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent gaulliste . Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et plu
8 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
9 ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent gaulliste . » « Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et
9 1970, Articles divers (1970-1973). « L’Europe ? Une révolution culturelle ! » (15 octobre 1970)
10 gés, où l’on décèle l’origine de toutes les idées gaullistes  ; le fameux cliché d’une Europe « de Gibraltar à l’Oural » s’y trouve
10 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
11 ’a supprimée par les soins diligents des légistes gaullistes , qui rappellent ceux de Philippe le Bel affirmant pour le compte de l
11 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
12 ubventions à Paris. Voyez les Bretons, qui votent gaulliste . » « Les conflits entre les régions seront forcément plus nombreux et
12 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Paul Valéry et l’Europe (29 octobre 1971)
13 le culte de la nation souveraine. (Communistes et gaullistes contre l’Europe intégrée.) Mais il a été le premier, et le seul écriv
13 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
14 Enfin M. Sanguinetti, secrétaire général du parti gaulliste UDR, convaincu que les militants autonomistes en France sont « des im
15 ançaise, qu’ils soient de gauche ou de droite, ou gaullistes , revendiquent tous dans les mêmes termes l’indépendance absolue de le
14 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
16 sont les deux grandes traditions jacobines — les gaullistes et les communistes — qui se retrouvent pour brandir des slogans, inca
15 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
17 ais moyen d’aujourd’hui, qu’il soit socialiste ou gaulliste , fait confiance à l’autorité incarnée par le chef de l’État, tout en
16 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
18 ichel Debré. Quant au secrétaire général du parti gaulliste il traite « d’imbéciles ignorants de l’histoire », au surplus « agiss
17 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
19 1. Puis il y a eu à Paris un congrès du RPR (les gaullistes orthodoxes) qui pour défendre « la vraie Europe » a sifflé et conspué
20 e sept lieues ! »12 Il s’agissait alors, pour lui gaulliste , d’une Europe des États, c’est vrai, mais cependant dotée d’une « Ass
21 n d’un continent entièrement dominé par la nation gaulliste . Ils condamnent toute fédération comme attentat délibéré à l’intégrit
18 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
22 ciens, les pires exemples de délire nationaliste ( gaullistes et communistes à l’envi) et par son peuple, les raisons les plus rais
23 n « Essai de déclaration » rédigé par les membres gaullistes du Parlement européen cite M. Couve de Murville comme ayant déclaré :
24 t les régions S’il est un sujet sur lequel les gaullistes d’aujourd’hui se réclament avec passion de leur fidélité à la pensée
25 ui s’y sont ajoutés, de 1963 à 1979. La thèse des gaullistes durs sur la région est totalement négative. Dans les deux volumes de
26 ce petit livre, dont on comprend si bien que les gaullistes l’aient passé sous silence. Pour Philippe de Gaulle, il n’y avait pa
27 ui éclate à l’évidence, c’est que les « fidèles » gaullistes trahissent ouvertement le dernier Grand Dessein du Général en se rang
19 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
28 lement français, à la suite de la coalition entre gaullistes et communistes, au nom de la crainte alléguée d’un contingent alleman
29 inébranlable de l’immense majorité des Européens ( gaullistes et eurocommunistes compris) dans l’ouverture automatique du « paraplu