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mais aussi de leurs voisins slovaques à l’Est, et
germanophones
à l’Ouest ? Qui peut nier que l’une des causes directes de la Seconde
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a Suisse alémanique et les Sudètes, les minorités
germanophones
de la Belgique, de l’Alsace, de la Transylvanie, de la Slovénie, des
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la Suisse alémanique, les Sudètes, les minorités
germanophones
de la Belgique, de l’Alsace, de la Transylvanie, de la Slovénie, de l
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, et 629 578 sur 662 000 dans le Bas-Rhin étaient
germanophones
(c’est-à-dire unilingues, bilingues ou trilingues). Quant aux francop
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dètes, l’Autriche, le Sud-Tyrol, et les minorités
germanophones
de la Belgique, de l’Alsace, du Schleswig, de la Transylvanie, de la
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manique, l’Autriche et les Sudètes, les minorités
germanophones
de la Belgique, du Luxembourg, de l’Alsace, de l’Italie, de la Transy
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tourne dès la Réforme vers les Bernois, pourtant
germanophones
, plutôt que vers les Vaudois, pourtant francophones, ou les Fribourge
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159. À la différence des francophones, tous les
germanophones
parlent un dialecte. Mais les journaux, les revues et les livres, les
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lture britannique et du Hochdeutsch dans les pays
germanophones
. À cela se borne la réalité des « cultures nationales ». Elles n’exis
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ure britannique » et du Hochdeutsch dans les pays
germanophones
. À cela se borne la réalité culturelle des « cultures nationales ». E