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passage du travail audacieux des producteurs à la
gestion
prévoyante des propriétaires. Et tout cela se résume dans une grande
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passage du travail audacieux des producteurs à la
gestion
prévoyante des propriétaires. Et tout cela se résume dans une grande
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stinctions que formule la Somme — usage commun et
gestion
personnelle des biens, nécessaire vital et nécessaire personnel, entr
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« d’hommes nouveaux, — d’hommes entendus dans la
gestion
humaine, non dans la précession des équinoxes », et qu’il nous aide !
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epoussent ses projets, ou refusent d’approuver la
gestion
d’un Département, il ne démissionne pas. La Suisse ne connaît pas les
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tôt familiale. Notons enfin que le problème de la
gestion
paritaire des entreprises (comités d’entreprises et communautés profe
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neté du peuple, car le peuple sera associé à leur
gestion
. Il importe d’expliquer cela aux masses, car ainsi sera dissipée la c
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neté du peuple, car le peuple sera associé à leur
gestion
. Il importe d’expliquer cela aux masses, car ainsi sera dissipée la c
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ineté du peuple car le peuple sera associé à leur
gestion
. Il importe d’expliquer cela aux masses, car ainsi sera dissipée la c
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’eusse aimé suggérer certaines garanties de bonne
gestion
. A. Me prenez-vous pour un sous-développé ? B. Je vous prends pour qu
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pécialistes en automation, — les historiens, — la
gestion
d’entreprises, on pourrait mettre en pool les enseignements généraux
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ociation de républiques autonomes, libres de leur
gestion
intérieure et responsables les unes des autres devant le danger commu
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au Conseil fédéral de présenter un tableau de sa
gestion
« considérée dans ses grandes lignes et dans son ensemble », se voit
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epoussent ses projets, ou refusent d’approuver la
gestion
d’un Département, l’exécutif n’est pas renversé pour autant. La Suiss
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nassimilables, réduit la part des cantons dans la
gestion
de leur fédération, accru les compétences de l’État, dévalorisé les p
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au Conseil fédéral de présenter un tableau de sa
gestion
« considérée dans ses grandes lignes et dans son ensemble », s’entend
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ociation de républiques autonomes, libres de leur
gestion
intérieure et responsables les unes des autres devant le danger commu
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er son rôle, entrer dans un gouvernement, dans la
gestion
d’une entreprise. Au sens le plus passif, c’est « faire partie », êtr
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-lieux », c’est-à-dire de centres d’animation, de
gestion
et de réunions ; tout cela se prêtant à des formules d’ubiquité du co
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e, de toute évidence, résulte d’une très mauvaise
gestion
de notre terre et de ses ressources. Mais qui était le Gérant respons
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rincipe de la crise qui résulte de cette mauvaise
gestion
de la terre, nous tenons donc un responsable incontesté, l’État-natio
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is puisqu’il désigne comme au temps d’Aristote la
gestion
des rapports humains dans la cité. Que le Conseil en soit remercié pa
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rendent vaine notre idée de participation à leur
gestion
, donc de civisme. Participation et civisme ne reprendront un sens co
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puisqu’il désigne, comme au temps d’Aristote, la
gestion
des rapports humains dans la cité. Que le Conseil en soit remercié pa
25
rendent vaine notre idée de participation à leur
gestion
, donc de civisme. Participation et civisme ne reprendront un sens co
26
ipe de la crise mondiale réside dans une mauvaise
gestion
de la Terre par l’homme. L’homme pollue, scalpe, écorche et défigure
27
e la paix des lâches. Beaux résultats ! Brillante
gestion
! Mais au fait : qui était le gérant ? La réponse est dangereusement
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océans les ius uti et abutendi, et toute forme de
gestion
globale, comme devraient l’être celles de la pêche, de l’exploitation
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la crise universelle provoquée par sa déplorable
gestion
de la Terre depuis un siècle et demi, l’État-nation souverain ne peut
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même étend ses prétentions au pouvoir exclusif de
gestion
de son morceau de la Terre, et dès lors les calculs les plus catastro
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. L’État-nation, grand responsable de la mauvaise
gestion
de la Planète, est aussi le fauteur de la crise dans la mesure où l’o
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e canton de Genève, et qui appellent d’urgence la
gestion
d’une autorité régionale, sous le contrôle direct des populations int
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puis la crise du pétrole — résulte d’une mauvaise
gestion
de la planète : famine et pollution, pillage des ressources naturelle
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e la paix des lâches. Beaux résultats ! Brillante
gestion
! Mais qui était le gérant ? L’État-nation. Ils sont 150 aujourd’hui,
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communautaires. Grand responsable de la mauvaise
gestion
de la planète, l’État-nation est aussi le fauteur de la crise, dans l
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mondiale réside, à l’évidence, dans une mauvaise
gestion
de la terre : pollution, pillage des ressources, surpopulation, surar
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n de la paix des lâches. Beau résultat, brillante
gestion
! Mais, au fait, qui était le gérant ? La réponse est dangereusement
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maintient ses prétentions au pouvoir exclusif de
gestion
de la terre — et, dès lors, les calculs d’avenir les plus catastrophi
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s, mais réelles. Grand responsable de la mauvaise
gestion
de la planète, l’État-nation est aussi le fauteur de la crise, dans l
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nt dotés d’un budget suffisant et jouissent d’une
gestion
autonome ; que les directeurs de ces institutions se réunissent pério
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. Ce n’est pas une question de personnes, mais de
gestion
administrative. M. Reusch se déclare en faveur d’un transfert immédia
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ionales et nationalistes — rendent impossible une
gestion
raisonnable de la nature. On pourrait faire le même constat pour le R
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nt la crise universelle provoquée par la mauvaise
gestion
de la Terre depuis plus de cent ans, quand nous lui demandons aujourd
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rincipe de la crise qui résulte de cette mauvaise
gestion
de la Terre, nous tenons donc un responsable incontesté, l’État-natio
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encore leurs « droits » et pouvoirs exclusifs de
gestion
. En 1973, la France étend ses eaux territoriales autour de Mururoa po
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e la Terre si on leur en laisse plus longtemps la
gestion
: ni air, ni eau, ni arbre et nulle vie animale — pollution achevée,
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rgement dysfonctionnelle pour la protection et la
gestion
de l’environnement », écrit Lynton K. Caldwell, de l’Université d’Ind
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onales et de la participation des citoyens à leur
gestion
. 4. Le quatrième critère nous est devenu familier depuis quelques an
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nécessaire, l’État c’est nous, parce que c’est la
gestion
des affaires dont nous sommes responsables : notre habitat, nos habit
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bilité, non d’une discipline partisane ; et d’une
gestion
bien contrôlée et pas du tout d’un « gouvernement fort ». Better self
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ermes simples que l’autogestion, c’est d’abord la
gestion
par les communautés dites de base — municipalités et entreprises, pui
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et de contrôle de ceux qui les exécuteront. À la
gestion
centralisée et nécessairement ruineuse (voir toute la presse de ce jo
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proche de lui, à tous égards, rendra compte de sa
gestion
devant le peuple souverain et devant lui seul, dont il sera le servit
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c’est tout de même autre chose qu’un marché ! La
gestion
d’une partie de l’économie partiellement intégrée de neuf pays ne pré
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onales et de la participation des citoyens à leur
gestion
; c) éviter tout ce qui pollue notre milieu social, urbain ou naturel
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tes ces entités jouissent d’une autonomie pour la
gestion
de leurs intérêts respectifs ». Enfin, les art. 143 à 158 définissent
57
ntervenir dans la politique de construction et de
gestion
de l’Europe. 22. Extrait de la brochure Pour une politique cultur
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e canton de Genève, et qui appellent d’urgence la
gestion
d’une autorité régionale, sous le contrôle direct des populations int
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de la Terre, ne laissant à nos descendants que la
gestion
d’énormes dépôts radioactifs à refroidir pendant 100 000 ans, ou bien
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tèlement des centrales après trente ans, et de la
gestion
des déchets radioactifs et explosifs pendant 120000 ans ; — enfin, et
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permettrait d’intervenir dans certains projets de
gestion
des eaux, d’intérêt commun pour plusieurs États. L’une des premières
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ent existant ne saurait s’engager à assurer cette
gestion
pendant 240000 ans : aucune civilisation jusqu’ici n’a duré plus de 4
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tes ces entités jouissent d’une autonomie pour la
gestion
de leurs intérêts respectifs ». Enfin, les articles 143 à 158 définis
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ntervenir dans la politique de construction et de
gestion
de l’Europe. 41. Source : Eurobaromètre (édit. par la Commission
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’autre qu’administration, que bienfaisance et que
gestion
fidèle ». Si le Tyran (lisons : l’État-nation) veut contraindre, le P
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centrales ; la formation et la surveillance et la
gestion
des déchets radioactifs entreposés dans les centrales ; le transport
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t, et de leurs personnels ; la surveillance et la
gestion
des dépôts terminaux stockant les déchets pour des siècles (des centa
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, fondée sur des siècles d’autonomie locale et de
gestion
communale, populaire. Éducation civique Il est absolument vain
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onales et de la participation des citoyens à leur
gestion
. 4. Le quatrième critère nous est devenu familier depuis quelques an
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onales et de la participation des citoyens à leur
gestion
. Le quatrième critère nous est devenu familier depuis quelques années
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tralisation et la régionalisation des pouvoirs de
gestion
publique. Un jour, avec Louis Armand, nous parlions du problème des r
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réelles et l’État-nation agit à sa place dans la
gestion
des affaires publiques. Identifié à une Personne majuscule, il récupè