1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jacques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
1 aut bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé , spirituellement « poétique ». y. Rougemont Denis de, « [Compte re
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
2 t mieux que charmant, — douloureux et désinvolte, glacé , passionné. ad. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Guy de Pourta
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
3 leil caché », ou bien, en un printemps liquide et glacé , balançant parmi les roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires. Il
4 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
4  : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’aie pu b
5 entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu glacé du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
5 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
7 ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique glacée . Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
8  : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’ai pu bo
9 entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu glacé du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
11 ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique glacée . Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
8 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
12 n lent cauchemar la Bête de l’Apocalypse, le dieu glacé État qu’ils édifient pour le Grand Soir. Et cet éclat rougeâtre, hurl
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
13 e, perdue à 4000 mètres d’altitude dans un désert glacé , dominé par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la Guerre, un m
10 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
14 n lent cauchemar la Bête de l’Apocalypse, le dieu glacé État qu’ils édifient pour le Grand Soir fasciste ou stalinien. Et cet
11 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
15 vant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages glacés . « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméable, que
12 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
16 et tape deux coups : la terre gicle sur mes joues glacées et sur mon casque. Les hommes me regardent, et ils ne rient même pas.
13 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
17 tape quelques coups. La terre gicle sur mes joues glacées et sur mon casque. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même
14 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
18 branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée ), je m’installe à ma table sans retirer mon manteau, et je décroche m
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
19  : me voici sourd à la musique mais des sonorités glacées naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’aie pu b
20 entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu glacé du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
21 vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
22 ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique glacée . Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
23 vant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages glacés . « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméable, que
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
24 tape quelques coups. La terre gicle sur mes joues glacées et sur mon casque. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
25 branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée ), je m’installe à ma table sans retirer mon manteau, et je décroche m
20 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Europe et l’Amérique (1er mai 1950)
26 éveil d’une opinion européenne, certains souffles glacés qui viennent parfois des steppes, certains appels aussi, qui nous obl
21 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
27 etraite mémorable : elle se termina sur les bords glacés de la Bérézina en 1813, comme l’épopée de l’ancienne Suisse s’était t
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 1. De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
28 a température intermédiaire entre celle du Colure glacé et celle du Tropique brûlant et qui est, pour les êtres protégés natu
23 1965, Articles divers (1963-1969). La Suisse, maquette pour une Europe du bonheur (automne 1965)
29 rope du bonheur (automne 1965)s Robustes, bien glacées , aux couleurs franches et gaies, les cartes postales par millions déf
24 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
30 s de l’Indus ! Mallarmé fixe tout dans un présent glacé , intemporel (« Le transparent glacier des vols qui n’ont pas fui »).