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aut bien croire qu’il y a là un talent, charmant,
glacé
, spirituellement « poétique ». y. « Jacques Spitz : La Croisière in
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t mieux que charmant, — douloureux et désinvolte,
glacé
, passionné. ad. « Guy de Pourtalès : Montclar (NRF, Paris) », Bibli
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leil caché », ou bien, en un printemps liquide et
glacé
, balançant parmi les roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires. Il
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: me voici sourd à la musique mais des sonorités
glacées
naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’aie pu b
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entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
glacé
du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
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vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon
glacé
dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
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ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique
glacée
. Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
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: me voici sourd à la musique mais des sonorités
glacées
naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’ai pu bo
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entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
glacé
du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
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vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon
glacé
dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
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ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique
glacée
. Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
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e, perdue à 4000 mètres d’altitude dans un désert
glacé
, dominé par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la Guerre, un m
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n lent cauchemar la Bête de l’Apocalypse, le dieu
glacé
État qu’ils édifient pour le Grand Soir. Et cet éclat rougeâtre, hurl
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n lent cauchemar la Bête de l’Apocalypse, le dieu
glacé
État qu’ils édifient pour le Grand Soir fasciste ou stalinien. Et cet
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vant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages
glacés
. « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméable, que
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et tape deux coups : la terre gicle sur mes joues
glacées
et sur mon casque. Les hommes me regardent, et ils ne rient même pas.
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tape quelques coups. La terre gicle sur mes joues
glacées
et sur mon casque. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même
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branche mon radiateur électrique (la chambre est
glacée
), je m’installe à ma table sans retirer mon manteau, et je décroche m
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: me voici sourd à la musique mais des sonorités
glacées
naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’aie pu b
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entre les arcades d’un péristyle sombre. Le bleu
glacé
du petit jour noie les buis qui s’éteignent par degrés. Un peu de nua
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vance comme un chat sur le lit conjugal, un salon
glacé
dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous
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ches. L’architecture, dit Goethe, est une musique
glacée
. Mais l’arborescence est une musique vivante, une musique infiniment
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vant du bateau, et de l’eau gicle sur nos visages
glacés
. « Tire le gramophone entre tes jambes, là, sous ton imperméable, que
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tape quelques coups. La terre gicle sur mes joues
glacées
et sur mon casque. Les hommes me regardent sans bouger, ne rient même
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branche mon radiateur électrique (la chambre est
glacée
), je m’installe à ma table sans retirer mon manteau, et je décroche m
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etraite mémorable : elle se termina sur les bords
glacés
de la Bérézina en 1813, comme l’épopée de l’ancienne Suisse s’était t
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a température intermédiaire entre celle du Colure
glacé
et celle du Tropique brûlant et qui est, pour les êtres protégés natu
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s de l’Indus ! Mallarmé fixe tout dans un présent
glacé
, intemporel (« Le transparent glacier des vols qui n’ont pas fui »).