1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
1 VII « Combien j’aimai ce lac aux rives glauques  ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
2 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
2 (août 1948)k Combien j’aimai ce lac aux rives glauques  ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
3 VII « Combien j’aimai ce lac aux rives glauques  ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
4 ux espace Ouranien Rayonna, seul ardent, sur la glauque étendue. Le divin Taureau dit : — Ô Vierge, ne crains rien. Viens
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
5 ieux espace Ouranien Rayonna, seul ardent, sur la glauque étendue, Le divin Taureau dit : — Ô Vierge ne crains rien. Viens ! Vo
6 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
6 ourtant tout signifie, profondeurs nacrées, rives glauques , hauteurs baignées de vapeurs denses. Ce n’est pas un monde inhumain,