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VII « Combien j’aimai ce lac aux rives
glauques
! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
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(août 1948)k Combien j’aimai ce lac aux rives
glauques
! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
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VII « Combien j’aimai ce lac aux rives
glauques
! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme celles d’un marécage,
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ux espace Ouranien Rayonna, seul ardent, sur la
glauque
étendue. Le divin Taureau dit : — Ô Vierge, ne crains rien. Viens
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ieux espace Ouranien Rayonna, seul ardent, sur la
glauque
étendue, Le divin Taureau dit : — Ô Vierge ne crains rien. Viens ! Vo
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ourtant tout signifie, profondeurs nacrées, rives
glauques
, hauteurs baignées de vapeurs denses. Ce n’est pas un monde inhumain,