1 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
1 le sol aride : mais Stéphane n’entend pas encore gronder les eaux profondes. Le désir de s’hypnotiser l’irrite toujours vaguem
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
2 nes se dévorent, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde , le génie de l’Amour paraît dans un nuage et annonce la fin de l’ench
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 nes se dévorent, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde , le génie de l’Amour paraît dans un nuage et annonce la fin de l’ench
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
4 nes se dévorent, le ciel s’obscurcit, le tonnerre gronde , le génie de l’Amour paraît dans un nuage et annonce la fin de l’ench
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
5 s chiens surgissent des coins d’ombre, aboient et grondent , tournent autour de moi, me flairent avec angoisse, et fuient soudain
6 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
6 le sol aride : mais Stéphane n’entend pas encore gronder les eaux profondes. Le désir de s’hypnotiser l’irrite, toujours vague
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
7 isé ». Il s’ensuit que le vrai Peuple — celui qui gronde — et que les vraies « masses », qui sont une part de ce 20 % dont on