1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 compliquée encore et nuancée jusqu’à l’ennui. La guerre a donné le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’on appelle symb
2 nchée, puis « le sport l’a saisi aux pattes de la guerre encore contus de huit coups de griffes et chaud de l’étreinte du fauv
3 pour lui, d’une façon obsédante, le rythme de la guerre . Du moins a-t-il ainsi évité le choc fatal pour tant d’autres du guer
4 pprentissage de la vie, est l’apprentissage de la guerre , dira-t-on. M. de Montherlant répondra : non, car la faiblesse est le
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
5 nte aventure. Les épisodes s’appellent : collège, guerre , sport… la Relève du Matin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Cha
6 Olympiques. Et voici le Chant funèbre, adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes. Terriblemen
7 tte absence de haine ; cette épouvante, devant la guerre … proviennent de plus d’humanité ou de moins de santé ». À maintes rep
8 qu’il appelle, c’est autre chose que l’absence de guerre , c’est une paix que travaillerait le levain des vertus guerrières. « 
9 st entré de plain-pied, en même temps que dans la guerre . Que de sacrifices ne lui devra-t-il pas offrir ainsi les romans « in
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
10 quement à cet épuisant et forcené gaspillage : la guerre . Certains s’en tiennent à leur dégoût et l’exploitent. Ainsi se légit
11 , Marcel Arland, — plus jeune, il n’a pas fait la guerre — c’est le même désenchantement précoce, sans la brusquerie de ses aî
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
12 ril 1926)q Un artiste de grand talent à qui la guerre a fait perdre le goût des théories d’écoles et de quelques autres pla
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
13 d’un traité de paix. Entre moi et vous, c’est la guerre . » Voilà pour les critiques, « punaises glabres et poux barbus », qui
6 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
14 bleau de la France de l’édit, victorieuse dans la guerre de Trente Ans, l’orateur expose comment on en vint à la révocation. C
15 de révocation commencent à se révéler politiques ( guerre de la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré des fél
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
16 fait de la révolution russe… cet autre fait de la guerre … et puis, tenez ! ce fait surtout de la sacro-sainte Raison utilitair
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
17 era le Central de Genève ? Tout est possible : la guerre et la paix, la tradition, l’anarchie, l’ironie, le sentiment, un réve
9 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
18 peu ironique des cours d’Europe à la veille de la guerre . De cette espèce de collaboration résultent à la fois le défaut de co
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
19 toile mouillée d’une tente d’Indiens, des petites guerres mystérieuses, avec des ennemis et des alliés imaginaires, des jeux en
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
20 toile mouillée d’une tente d’Indiens, des petites guerres mystérieuses, avec des ennemis et des alliés imaginaires, des jeux en
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
21 titulé Les Chants de Maldoror. De 1870 jusqu’à la guerre son influence fut « quasi nulle », et peut-être va-t-il rentrer dans
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
22 e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la guerre , puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
14 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
23 ivité de cet espion anglais qui parvint durant la guerre à diriger le service de contre-espionnage allemand chargé de sa filat
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
24 nte de Perken, qui est tombé sur les « pointes de guerre  » empoisonnées des Moïs, est un morceau admirable et atroce où éclate
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
25 la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse autou
17 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
26 valeurs bourgeoises qui nous ont valu la dernière guerre , nationalisme et doctrine de l’État souverain, par exemple. Elles pré
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
27 s ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre joie :
19 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
28 ève : tout est affaire de mots. Il n’y a pas de «  guerre  » en Chine, l’ordre règne à Varsovie, et en France on ne se tue plus
20 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
29 l’on eût difficilement prévue au lendemain de la guerre , c’est sur la notion — et la pratique — du service nécessaire que se
30 , leur travail, leur chômage, leurs vacances, les guerres , les grèves, les pourritures de leurs parlements et l’insolence des p
21 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
31 angnier devait relever l’anomalie : Briand met la guerre hors-la-loi, aux applaudissements des braves gens, qui par ailleurs m
32 t en prison Martin parce qu’il refuse de faire la guerre . (Ça n’est pas tout à fait des mêmes braves gens qu’il s’agit dans le
33 ins : Martin fait dans la paix ce que firent à la guerre ses aînés : c’est pour la même cause qu’il se sacrifie, avec le même
34  ? » Un seul se permit de répondre que toutes les guerres sont défensives. Quelqu’un me demandait, à la sortie : « Avez-vous j
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
35 ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la guerre , ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
36 « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pourq
37 d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’écrit Lefebvre, la seule « chance » des capitalistes. I
23 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
38 roduit ses effets sur tous les plans, celui de la guerre y compris. Mais il est bon de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exe
39 rtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre . Brève nuit d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraît
24 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
40 e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la guerre , puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
25 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
41 pital. Comme les autres ils ont été ruinés par la guerre , c’est-à-dire qu’ils n’ont plus de monnaie : cela n’a rien changé à l
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
42 roduit ses effets sur tous les plans, celui de la guerre y compris. Mais il est bon de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exe
43 rtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la guerre . Brève nuit d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtr
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
44 e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la guerre , puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
45 pital. Comme les autres ils ont été ruinés par la guerre , c’est-à-dire qu’ils n’ont plus de monnaie : cela n’a rien changé à l
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
46 que jamais, dominatrice et bafouée. Demain, la guerre  ! Le soir du 28 août 1939, je finissais de dîner dans un hôtel de
47  ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Demain, la guerre  ! Le directeur n’était pas satisfait de son ensemble. Une femme du c
48 qui fait la valeur de la vie. Je songe au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il n
49 op nombreux. En France, en Suisse aussi, avant la guerre , déjà, on trouvait qu’il y avait trop de Juifs réfugiés. Des gens fra
50 adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la guerre … Mémoire de l’Europe New York, fin 1944 Je ne savais pas que to
51 ance. Une dame qui vient de passer le temps de la guerre en Amérique frémit de toutes ses fourrures et se récrie : « Quel goût
52 tout ici a été fait par les Américains pendant la guerre … — Taisez-vous, me crie-t-elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas l
53 tale. Il se peut que la Suisse ait seule gagné la guerre , et seule n’ait pas été contaminée par le gangstérisme à la mode. C’e
54 comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le monde n’est pas prêt pour cela. Les chef
30 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
55 prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la guerre , chez nos voisins. Du Front noir national-socialiste (Otto Strasser)
31 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
56 cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la guerre . Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
57 contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la guerre et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
32 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
58 tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la guerre pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
33 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
59 dénoncerons les mystiques nationalistes et leurs guerres . Ainsi notre accusation ne sera pas l’égoïste résistance du bien « pa
60 i parler. Le problème de notre attitude devant la guerre est subordonné à celui de notre révolution. La guerre des capitaliste
61 re est subordonné à celui de notre révolution. La guerre des capitalistes est une pièce de leur système. Ces massacres pour de
62 cres pour des gros sous ne méritent pas le nom de guerre . Nous réservons ce nom pour désigner les luttes réelles, peut-être in
63 riens on marxistes à l’Ordre nouveau. Sabotons la guerre capitaliste. Par tous les moyens. Elle ne peut que retarder l’accessi
34 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
64 erreurs qui, depuis vingt, ans, nous ont valu la guerre , le chômage et les dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude h
35 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
65 déjà bouleversé les mœurs au moment où éclata la guerre , mais qui n’avait pas encore trouvé, à cette époque, une forme politi
36 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
66 nt les questions que se posait, vers la fin de la guerre , dans le presbytère d’un village de la Suisse allemande, un jeune pas
67 equel, trop souvent, elles s’étaient appuyées, la guerre et la révolution le bouleversaient brutalement, mettant à nu les vrai
68 mais qui paraît finalement en librairie après la guerre . Aventure étonnante que celle de ce commentaire né de la détresse quo
37 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
69 eurs décisifs de l’inflation, du chômage et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes natur
38 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
70 eurs décisifs de l’inflation, du chômage et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes natur
39 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
71 Ce que cela veut dire. C’est une des leçons de la guerre . Notre refus est instinctif devant un avenir, un espoir, une action d
40 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
72 102 ans (« Il avait arpenté tous les camps de la guerre de Sécession, mais il n’en parla pas »), et servi par un garçon trist
73 Cahiers vaudois, réuni autour de Ramuz pendant la guerre . (C’est par cela surtout qu’il est Suisse, au mépris de tous les raci
41 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
74 tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la guerre , caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
75 x, la préparation des esprits qui prélude à toute guerre moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
76 soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre , reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
42 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
77 on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la guerre . Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
78 s à dénoncer et à combattre les instruments de la guerre menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
79 agents les plus puissants qui travaillent pour la guerre . Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
80 soutenir que le régime est organiquement lié à la guerre , et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
81 gime est organiquement lié à la guerre, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
82 réelle, comme il était, en régime capitaliste, la guerre du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
83 la fraternité. Capital, police, lutte de classes, guerre . Primauté du paraître sur l’être. ⁂ Définitions. — La personne, c’es
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
84 ? Certes, et c’est cela que nous voyons depuis la guerre . On pourrait aussi supposer que la leçon des catastrophes dictatorial
44 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
85 s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres , de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
45 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
86 salut.) Le Mouvement des Groupes est né après la guerre , de l’activité purement individuelle d’un jeune pasteur américain, Fr
87 la christianisation du Japon, une autre contre la guerre de Chine. « La société contemporaine est une invalide, mentalement dé
46 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
88 s, anciens officiers et sous-officiers pendant la guerre , s’embarquent pour l’Amérique du Sud. On les a engagés pour instruire
89 par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la Guerre , un métis assez suspect, les paye mais ne leur donne rien à faire ; f
90 r dire le mot de ce destin. « Nous avons perdu la guerre , Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous
91 ps. Ce destin qui obligeait l’Allemagne, après la guerre , à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu’auparavant, et q
92 lemagne, après la guerre, à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu’auparavant, et qui en faisait un pays pauvre, ab
93 ir le coup, malgré les trahisons du sort. Mais la guerre , mais la politique surtout, sont en train d’ébranler leur prestige. L
47 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
94 le bien que la pensée dominante, dans toute cette guerre faite à la foi évangélique, ait été celle des Espagnols et des Romain
48 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
95 es premières graves confusions commises depuis la guerre sur le mot de révolution. Le public littéraire rendit un très mauvais
49 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
96 pour les plus déplorables duperies collectives : guerre « nationale1 », plan quinquennal, racisme, mentalité du citoyen moyen
97 me défends en attaquant. Je préfère porter cette guerre qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour
98 pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la guerre est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessaire » ? Nécessité et
99 hoses ; et la morale voudrait qu’on ne fît pas de guerre . D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une m
100 oudrait qu’on ne fît pas de guerre. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une mainmise de la finance
101 uerre. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la guerre . Elle naît d’une mainmise de la finance sur les sentiments patriotiqu
50 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
102 des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la guerre , un autre groupe de clercs, fort désireux d’aller au peuple. On est f
51 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
103 ands. Et ce n’est pas la Fatalité qui prépare les guerres , mais plutôt, à en croire certains, le conseil d’administration du Tr
52 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
104 tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la guerre , caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
105 x, la préparation des esprits qui prélude à toute guerre moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
106 soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre , reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
53 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
107 cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la guerre . Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
108 contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la guerre et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
54 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
109 sme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu voir ! », di
55 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
110 ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la guerre , ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
111 « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pour
112 d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’écrit Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalis
56 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
113 on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la guerre . Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
114 s à dénoncer et à combattre les instruments de la guerre menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
115 agents les plus puissants qui travaillent pour la guerre . Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
116 soutenir que le régime est organiquement lié à la guerre , et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
117 gime est organiquement lié à la guerre, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
118 réelle, comme il était, en régime capitaliste, la guerre du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
119 la fraternité. Capital, police, lutte de classes, guerre . Primauté du paraître sur l’être. La Personne : fondement de la Co
57 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
120 tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la guerre pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
58 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
121 s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres , de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
59 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
122 ur les plus déplorables duperies collectives, les guerres « nationales », par exemple2. Le fascisme a montré à nu ces prétentio
123 me défends en attaquant. Je préfère porter cette guerre qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour
124 pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la guerre est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessaire » ? Nécessité et
125 hoses ; et la morale voudrait qu’on ne fît pas de guerre . D’ailleurs, la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une
126 udrait qu’on ne fît pas de guerre. D’ailleurs, la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une mainmise de la finance
127 erre. D’ailleurs, la guerre moderne n’est plus la guerre . Elle naît d’une mainmise de la finance sur les sentiments patriotiqu
60 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
128 tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la guerre , caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
129 x, la préparation des esprits qui prélude à toute guerre moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
130 soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la guerre , reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
61 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
131 cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la guerre . Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
132 contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la guerre et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
62 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
133 sme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu voir ! », di
63 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
134 ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la guerre , ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
135 « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pour
136 d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’écrit Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalis
64 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
137 on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la guerre . Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
138 s à dénoncer et à combattre les instruments de la guerre menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
139 agents les plus puissants qui travaillent pour la guerre . Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
140 soutenir que le régime est organiquement lié à la guerre , et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
141 gime est organiquement lié à la guerre, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
142 le, tandis qu’il était, en régime capitaliste, la guerre du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
143 la fraternité. Capital, police, lutte de classes, guerre . Primauté du paraître sur l’être. La Personne : fondement de la C
65 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
144 s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de guerres , de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
66 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
145 es de solitude à Paris, puis en Suisse pendant la guerre . Elles préparent aussi le retour de Lénine en Russie, au début de 191
67 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
146 t, qui, cinquante ans avant Nietzsche, partait en guerre contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonçait en ell
68 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
147 lliser un désordre. C’est croire que l’absence de guerre suffit à établir une paix vivante. C’est l’éternelle erreur de l’État
148 aiser leur conflit. Si l’on rappelle en outre les guerres du Languedoc entre Rohan et Richelieu — dernières luttes du fédéralis
69 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
149 l’on n’arrêtera pas en augmentant les dépenses de guerre . Edschmid nous conte les aventures de cinq sous-officiers de la derni
150 s aventures de cinq sous-officiers de la dernière guerre que le chômage contraint à s’engager comme instructeurs de l’armée bo
151 e, le droit de parler haut. « Nous avons perdu la guerre , Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous
152 chmid est plus fort. Attendrons-nous la prochaine guerre pour lire dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à
70 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
153 eur chrétien commandant aux chrétiens de faire la guerre , à Charlemagne baptisant les Saxons pour leur prouver la puissance de
154 e des formations de masses s’est avérée depuis la guerre , soit en Russie, où Lénine triompha par le moyen d’une minorité infim
155 éveloppe très rapidement dans le Japon d’avant la guerre , il comprend qu’il lui est impossible de se dire vraiment chrétien ta
71 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
156 ctature, un « état fort ». La dictature mène à la guerre entre autres. Faut-il préciser contre qui ? Leurs intérêts pratiques
72 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
157 issance contre les menaces réelles, — qui sont la guerre et l’étatisme totalitaire. C’est très simple. Trop simple, sans doute
73 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
158 che), ses brusques changements de décor suivis de guerre d’usure contre l’inertie fascinante, cette vie faite d’embêtements et
159 Le spectacle de la culture européenne, depuis la guerre , nous enseigne deux grandes vérités empiriques : d’une part, les cler
74 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
160 s dire, avec E. R. Curtius, d’une « propagande de guerre  » qu’on aimait à croire périmée. M. Chuzeville a eu le tort de vouloi
75 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
161 les pacifistes pour oser réclamer ouvertement la guerre (contre les régimes fascistes). « Orgueil patriotique » — c’est de no
76 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
162 le nom de liberté, la dictature, l’étatisme et la guerre . La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction
163 iberté, la dictature, l’étatisme et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction de l’armée
164 et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction de l’armée française. Car, si nous compren
165 d’hommes qui savent ce qu’ils ne veulent pas : la guerre , l’anarchie capitaliste, la dictature, le Comité des forges, la diplo
77 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
166 urons, ces défilés farouches — tout cela signifie guerre en français. Il n’y a rien à faire contre ce jugement. Je vous le dis
167 possible : c’est que ces types se préparent à la guerre . Lui. — Je vous répète que ce n’est là, tout simplement, qu’un goût
168 goût que nous avons, cela n’a rien à voir avec la guerre , la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allema
169 us avons, cela n’a rien à voir avec la guerre, la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allemands ont aim
170 : « La lutte contre la faim et le froid est notre guerre . » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les autres peuples en
171 par là : « Les autres peuples en sont encore à la guerre armée, nous, nous luttons pour édifier un monde sans misère : voilà n
172 s pour édifier un monde sans misère : voilà notre guerre  ! » En somme, si le mot n’était pas interdit, je dirais que c’est de
173 s pourquoi faut-il que votre paix soit encore une guerre  ? Ne pouvez-vous vraiment enthousiasmer vos concitoyens qu’en les app
174 ousiasmer vos concitoyens qu’en les appelant à la guerre , même si c’est pour la paix ? Voyez la différence : quand Briand voul
175 raît bien plus urgent que d’aller faire la petite guerre dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien
176 versaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre . Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dange
177 ilité34. À quoi cela vous mènera-t-il, sinon à la guerre  ? Lui. — Peut-être qu’il faut cela… Moi. — Vous ne le disiez pas to
178 e, c’est bien plutôt son idéalisme lamentable. La guerre actuelle n’est pas du tout un appel à la virilité. Nous ne sommes plu
179 s de Frédéric le Grand et du maréchal de Saxe. La guerre actuelle n’est pas une éducation de la violence physique, c’est une m
180 ts humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre . Faire valoir toutes les différences, tous les contrastes, à l’extrêm
181 umaine, l’exaltation des différences aboutit à la guerre , forcément. Moi. — Dans votre optique, oui ! Parce que vous placez t
182 bien que nous n’avons aucune raison de vouloir la guerre contre la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le demande ? M
183 gime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la guerre en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation
184 cures, brutales, de l’homme ? La préparation à la guerre . Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, ave
185 s la transposer sur un plan autre que celui de la guerre moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution, étant don
186 que celui de la guerre moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution, étant donnés ses instruments actuels. Nous
187 donnés ses instruments actuels. Nous voulons une guerre créatrice, et non pas destructrice. Tout l’effort de la civilisation
78 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
188 e Luther ! De même l’article suivant : « Faire la guerre aux Turcs n’est pas contraire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la gr
79 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
189 . Avec lui, 6 académiciens ont été élus avant la guerre (suivent les noms). Depuis 1930, l’Académie a élu 13 membres nouveaux
80 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
190 la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse grand
81 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
191 eunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fi
192 rce en face d’impérialismes conquérants mène à la guerre  ? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec puissance, si nous ref
82 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
193 moins que ceux de Sorel. Jusqu’au lendemain de la guerre , il était difficile de mettre en doute la sincérité de son attachemen
194 ées d’une révolution de masses, donc d’un état de guerre , l’étatisme a pu — et même dû — devenir du premier coup totalitaire.
195 sées sont en effet les conditions qu’impose toute guerre moderne, civile ou étrangère. Ainsi les dictatures, décriées par les
196 rales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la guerre  : pour réussir à concentrer l’économie entre les mains de l’État, il
83 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
197 ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de guerre  : « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
84 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
198 ue la condition indispensable d’une discipline de guerre . Il n’a pas vu que cette même structure était la cause de la stérilit
199 aix européenne. Car il est clair que la menace de guerre se confond actuellement avec le fait totalitaire. C’est pourquoi, pré
200 re. Tant qu’on n’a pas détruit cette racine de la guerre , on ne peut empêcher le pire, qui devient dès lors fatalité. Le jacob
201 abstrait — en temps de paix — que pour devenir la guerre concrète. Tout cela ne se justifie que par la guerre. Hors de toute v
202 rre concrète. Tout cela ne se justifie que par la guerre . Hors de toute volonté humaine, bonne ou mauvaise. Alors, qui osera d
203 op tard ? Désespérer de la paix, c’est rendre une guerre fatale. Désespérer de la révolution française, c’est désespérer de la
204 sément parce qu’il est trop tard pour empêcher la guerre par tout autre moyen, que nous devons faire cette révolution-là. 57
205 ns ici même : l’État totalitaire, c’est l’état de guerre , nous pouvons affirmer qu’une idéologie née du seul combat (Mein Kamp
85 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
206 quand se pose soudain la question du uhlan de la guerre de Bohême : il s’arrête au milieu de la campagne et demande : « De qu
207 de vieux combats qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition plus vaste. C’est donner dès maintenan
86 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
208 x mesures de l’utilité générale. C’est dans cette guerre d’usure, millénaire, qu’elle s’est formée et clarifiée, qu’elle s’est
87 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
209 e. On porte l’arche au-devant des armées, dans la guerre , comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
210 u peuple, mais son usage est interdit pendant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
211 ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre … On l’a dit : le royaume d’Israël fut davantage une ecclesia qu’une p
88 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
212 ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de guerre  : « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
89 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
213 t, de la situation intenable que révéla la Grande Guerre . Cela ne pouvait pas durer. Les masses ne pouvaient pas durer dans la
90 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
214 rise. Certes la décadence du régime tsariste, la guerre perdue, la misère du peuple, l’absence de tout esprit civique dans le
91 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
215 ons, ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et la mesure commune nulle part. Hitler parut et dit :
216 nte qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la guerre est déclarée, au nom de doctrines et de buts dont certains nous parai
217 ques des deux côtés. Le travail doit remplacer la guerre . (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
218 (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre  ! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver al
92 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
219 eunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fi
220 voir un principe d’action créatrice, ou une bonne guerre d’agression qui lui permette de doubler le cap de la désespérance. Et
221 e, en face d’impérialismes conquérants, mène à la guerre  ? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec puissance, si nous ref
93 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
222 igner l’auteur mystérieux du mauvais temps, de la guerre ou des pestes. Cet amour, ce culte rendu à des déterminismes de plus
94 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
223 quand se pose soudain la question du uhlan de la guerre de Bohême : il s’arrête au milieu de la campagne et demande : « De qu
224 de vieux combats qui traînent, mais déclarer une guerre nouvelle au nom d’une ambition plus vaste. C’est donner dès maintenan
95 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
225 x mesures de l’utilité générale. C’est dans cette guerre d’usure, millénaire, qu’elle s’est formée et clarifiée, qu’elle s’est
96 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
226 e. On porte l’arche au-devant des armées, dans la guerre , comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
227 u peuple, mais son usage est interdit pendant les guerres civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
228 ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la guerre … On l’a dit : le royaume d’Israël fut davantage une ecclesia qu’une p
97 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
229 ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de guerre  : « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
98 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
230 t, de la situation intenable que révéla la Grande Guerre . Cela ne pouvait pas durer. Les masses ne pouvaient pas durer dans la
99 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
231 prise. Certes la décadence du régime tsariste, la guerre perdue, la misère du peuple, l’absence de tout esprit civique dans le
100 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
232 ons, ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et la mesure commune nulle part. Hitler parut et dit :
233 nte qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la guerre est déclarée, au nom de doctrines et de buts dont certains nous parai
234 ques des deux côtés. Le travail doit remplacer la guerre . (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
235 (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre  ! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver al