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compliquée encore et nuancée jusqu’à l’ennui. La
guerre
a donné le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’on appelle symb
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nchée, puis « le sport l’a saisi aux pattes de la
guerre
encore contus de huit coups de griffes et chaud de l’étreinte du fauv
3
pour lui, d’une façon obsédante, le rythme de la
guerre
. Du moins a-t-il ainsi évité le choc fatal pour tant d’autres du guer
4
pprentissage de la vie, est l’apprentissage de la
guerre
, dira-t-on. M. de Montherlant répondra : non, car la faiblesse est le
5
nte aventure. Les épisodes s’appellent : collège,
guerre
, sport… la Relève du Matin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Cha
6
Olympiques. Et voici le Chant funèbre, adieu à la
guerre
et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes. Terriblemen
7
tte absence de haine ; cette épouvante, devant la
guerre
… proviennent de plus d’humanité ou de moins de santé ». À maintes rep
8
qu’il appelle, c’est autre chose que l’absence de
guerre
, c’est une paix que travaillerait le levain des vertus guerrières. «
9
st entré de plain-pied, en même temps que dans la
guerre
. Que de sacrifices ne lui devra-t-il pas offrir ainsi les romans « in
10
quement à cet épuisant et forcené gaspillage : la
guerre
. Certains s’en tiennent à leur dégoût et l’exploitent. Ainsi se légit
11
, Marcel Arland, — plus jeune, il n’a pas fait la
guerre
— c’est le même désenchantement précoce, sans la brusquerie de ses aî
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ril 1926)q Un artiste de grand talent à qui la
guerre
a fait perdre le goût des théories d’écoles et de quelques autres pla
13
d’un traité de paix. Entre moi et vous, c’est la
guerre
. » Voilà pour les critiques, « punaises glabres et poux barbus », qui
14
bleau de la France de l’édit, victorieuse dans la
guerre
de Trente Ans, l’orateur expose comment on en vint à la révocation. C
15
de révocation commencent à se révéler politiques (
guerre
de la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré des fél
16
fait de la révolution russe… cet autre fait de la
guerre
… et puis, tenez ! ce fait surtout de la sacro-sainte Raison utilitair
17
era le Central de Genève ? Tout est possible : la
guerre
et la paix, la tradition, l’anarchie, l’ironie, le sentiment, un réve
18
peu ironique des cours d’Europe à la veille de la
guerre
. De cette espèce de collaboration résultent à la fois le défaut de co
19
toile mouillée d’une tente d’Indiens, des petites
guerres
mystérieuses, avec des ennemis et des alliés imaginaires, des jeux en
20
toile mouillée d’une tente d’Indiens, des petites
guerres
mystérieuses, avec des ennemis et des alliés imaginaires, des jeux en
21
titulé Les Chants de Maldoror. De 1870 jusqu’à la
guerre
son influence fut « quasi nulle », et peut-être va-t-il rentrer dans
22
e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la
guerre
, puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
23
ivité de cet espion anglais qui parvint durant la
guerre
à diriger le service de contre-espionnage allemand chargé de sa filat
24
nte de Perken, qui est tombé sur les « pointes de
guerre
» empoisonnées des Moïs, est un morceau admirable et atroce où éclate
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la terre, les maladies, la famine, la révolte, la
guerre
et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse autou
26
valeurs bourgeoises qui nous ont valu la dernière
guerre
, nationalisme et doctrine de l’État souverain, par exemple. Elles pré
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s ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de
guerre
et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre joie :
28
ève : tout est affaire de mots. Il n’y a pas de «
guerre
» en Chine, l’ordre règne à Varsovie, et en France on ne se tue plus
29
l’on eût difficilement prévue au lendemain de la
guerre
, c’est sur la notion — et la pratique — du service nécessaire que se
30
, leur travail, leur chômage, leurs vacances, les
guerres
, les grèves, les pourritures de leurs parlements et l’insolence des p
31
angnier devait relever l’anomalie : Briand met la
guerre
hors-la-loi, aux applaudissements des braves gens, qui par ailleurs m
32
t en prison Martin parce qu’il refuse de faire la
guerre
. (Ça n’est pas tout à fait des mêmes braves gens qu’il s’agit dans le
33
ins : Martin fait dans la paix ce que firent à la
guerre
ses aînés : c’est pour la même cause qu’il se sacrifie, avec le même
34
? » Un seul se permit de répondre que toutes les
guerres
sont défensives. Quelqu’un me demandait, à la sortie : « Avez-vous j
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ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la
guerre
, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
36
« ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la
guerre
proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pourq
37
d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la
guerre
soit, comme l’écrit Lefebvre, la seule « chance » des capitalistes. I
38
roduit ses effets sur tous les plans, celui de la
guerre
y compris. Mais il est bon de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exe
39
rtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la
guerre
. Brève nuit d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraît
40
e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la
guerre
, puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
41
pital. Comme les autres ils ont été ruinés par la
guerre
, c’est-à-dire qu’ils n’ont plus de monnaie : cela n’a rien changé à l
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roduit ses effets sur tous les plans, celui de la
guerre
y compris. Mais il est bon de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exe
43
rtant je vis des larmes dans ses yeux, c’était la
guerre
. Brève nuit d’août, le temps d’un peu se souvenir. Et bientôt paraîtr
44
e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la
guerre
, puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell
45
pital. Comme les autres ils ont été ruinés par la
guerre
, c’est-à-dire qu’ils n’ont plus de monnaie : cela n’a rien changé à l
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que jamais, dominatrice et bafouée. Demain, la
guerre
! Le soir du 28 août 1939, je finissais de dîner dans un hôtel de
47
ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Demain, la
guerre
! Le directeur n’était pas satisfait de son ensemble. Une femme du c
48
qui fait la valeur de la vie. Je songe au chef de
guerre
qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : il n
49
op nombreux. En France, en Suisse aussi, avant la
guerre
, déjà, on trouvait qu’il y avait trop de Juifs réfugiés. Des gens fra
50
adieux, filant pavois au vent vers l’Europe et la
guerre
… Mémoire de l’Europe New York, fin 1944 Je ne savais pas que to
51
ance. Une dame qui vient de passer le temps de la
guerre
en Amérique frémit de toutes ses fourrures et se récrie : « Quel goût
52
tout ici a été fait par les Américains pendant la
guerre
… — Taisez-vous, me crie-t-elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas l
53
tale. Il se peut que la Suisse ait seule gagné la
guerre
, et seule n’ait pas été contaminée par le gangstérisme à la mode. C’e
54
comme contrainte à se fédérer par la menace de la
guerre
atomique. On m’assure que le monde n’est pas prêt pour cela. Les chef
55
prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la
guerre
, chez nos voisins. Du Front noir national-socialiste (Otto Strasser)
56
cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la
guerre
. Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
57
contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la
guerre
et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
58
tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la
guerre
pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
59
dénoncerons les mystiques nationalistes et leurs
guerres
. Ainsi notre accusation ne sera pas l’égoïste résistance du bien « pa
60
i parler. Le problème de notre attitude devant la
guerre
est subordonné à celui de notre révolution. La guerre des capitaliste
61
re est subordonné à celui de notre révolution. La
guerre
des capitalistes est une pièce de leur système. Ces massacres pour de
62
cres pour des gros sous ne méritent pas le nom de
guerre
. Nous réservons ce nom pour désigner les luttes réelles, peut-être in
63
riens on marxistes à l’Ordre nouveau. Sabotons la
guerre
capitaliste. Par tous les moyens. Elle ne peut que retarder l’accessi
64
erreurs qui, depuis vingt, ans, nous ont valu la
guerre
, le chômage et les dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude h
65
déjà bouleversé les mœurs au moment où éclata la
guerre
, mais qui n’avait pas encore trouvé, à cette époque, une forme politi
66
nt les questions que se posait, vers la fin de la
guerre
, dans le presbytère d’un village de la Suisse allemande, un jeune pas
67
equel, trop souvent, elles s’étaient appuyées, la
guerre
et la révolution le bouleversaient brutalement, mettant à nu les vrai
68
mais qui paraît finalement en librairie après la
guerre
. Aventure étonnante que celle de ce commentaire né de la détresse quo
69
eurs décisifs de l’inflation, du chômage et de la
guerre
moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes natur
70
eurs décisifs de l’inflation, du chômage et de la
guerre
moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes natur
71
Ce que cela veut dire. C’est une des leçons de la
guerre
. Notre refus est instinctif devant un avenir, un espoir, une action d
72
102 ans (« Il avait arpenté tous les camps de la
guerre
de Sécession, mais il n’en parla pas »), et servi par un garçon trist
73
Cahiers vaudois, réuni autour de Ramuz pendant la
guerre
. (C’est par cela surtout qu’il est Suisse, au mépris de tous les raci
74
tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la
guerre
, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
75
x, la préparation des esprits qui prélude à toute
guerre
moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
76
soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la
guerre
, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
77
on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la
guerre
. Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
78
s à dénoncer et à combattre les instruments de la
guerre
menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
79
agents les plus puissants qui travaillent pour la
guerre
. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
80
soutenir que le régime est organiquement lié à la
guerre
, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
81
gime est organiquement lié à la guerre, et que la
guerre
est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
82
réelle, comme il était, en régime capitaliste, la
guerre
du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
83
la fraternité. Capital, police, lutte de classes,
guerre
. Primauté du paraître sur l’être. ⁂ Définitions. — La personne, c’es
84
? Certes, et c’est cela que nous voyons depuis la
guerre
. On pourrait aussi supposer que la leçon des catastrophes dictatorial
85
s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de
guerres
, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
86
salut.) Le Mouvement des Groupes est né après la
guerre
, de l’activité purement individuelle d’un jeune pasteur américain, Fr
87
la christianisation du Japon, une autre contre la
guerre
de Chine. « La société contemporaine est une invalide, mentalement dé
88
s, anciens officiers et sous-officiers pendant la
guerre
, s’embarquent pour l’Amérique du Sud. On les a engagés pour instruire
89
par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la
Guerre
, un métis assez suspect, les paye mais ne leur donne rien à faire ; f
90
r dire le mot de ce destin. « Nous avons perdu la
guerre
, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous
91
ps. Ce destin qui obligeait l’Allemagne, après la
guerre
, à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu’auparavant, et q
92
lemagne, après la guerre, à vivre dans un état de
guerre
encore plus cruel qu’auparavant, et qui en faisait un pays pauvre, ab
93
ir le coup, malgré les trahisons du sort. Mais la
guerre
, mais la politique surtout, sont en train d’ébranler leur prestige. L
94
le bien que la pensée dominante, dans toute cette
guerre
faite à la foi évangélique, ait été celle des Espagnols et des Romain
95
es premières graves confusions commises depuis la
guerre
sur le mot de révolution. Le public littéraire rendit un très mauvais
96
pour les plus déplorables duperies collectives :
guerre
« nationale1 », plan quinquennal, racisme, mentalité du citoyen moyen
97
me défends en attaquant. Je préfère porter cette
guerre
qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour
98
pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la
guerre
est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessaire » ? Nécessité et
99
hoses ; et la morale voudrait qu’on ne fît pas de
guerre
. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une m
100
oudrait qu’on ne fît pas de guerre. D’ailleurs la
guerre
moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une mainmise de la finance
101
uerre. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la
guerre
. Elle naît d’une mainmise de la finance sur les sentiments patriotiqu
102
des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la
guerre
, un autre groupe de clercs, fort désireux d’aller au peuple. On est f
103
ands. Et ce n’est pas la Fatalité qui prépare les
guerres
, mais plutôt, à en croire certains, le conseil d’administration du Tr
104
tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la
guerre
, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
105
x, la préparation des esprits qui prélude à toute
guerre
moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
106
soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la
guerre
, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
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cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la
guerre
. Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
108
contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la
guerre
et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
109
sme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la
guerre
et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu voir ! », di
110
ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la
guerre
, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
111
« ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la
guerre
proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pour
112
d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la
guerre
soit, comme l’écrit Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalis
113
on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la
guerre
. Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
114
s à dénoncer et à combattre les instruments de la
guerre
menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
115
agents les plus puissants qui travaillent pour la
guerre
. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
116
soutenir que le régime est organiquement lié à la
guerre
, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
117
gime est organiquement lié à la guerre, et que la
guerre
est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
118
réelle, comme il était, en régime capitaliste, la
guerre
du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
119
la fraternité. Capital, police, lutte de classes,
guerre
. Primauté du paraître sur l’être. La Personne : fondement de la Co
120
tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la
guerre
pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
121
s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de
guerres
, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
122
ur les plus déplorables duperies collectives, les
guerres
« nationales », par exemple2. Le fascisme a montré à nu ces prétentio
123
me défends en attaquant. Je préfère porter cette
guerre
qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour
124
pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la
guerre
est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessaire » ? Nécessité et
125
hoses ; et la morale voudrait qu’on ne fît pas de
guerre
. D’ailleurs, la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une
126
udrait qu’on ne fît pas de guerre. D’ailleurs, la
guerre
moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une mainmise de la finance
127
erre. D’ailleurs, la guerre moderne n’est plus la
guerre
. Elle naît d’une mainmise de la finance sur les sentiments patriotiqu
128
tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la
guerre
, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
129
x, la préparation des esprits qui prélude à toute
guerre
moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
130
soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la
guerre
, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
131
cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la
guerre
. Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
132
contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la
guerre
et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
133
sme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la
guerre
et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu voir ! », di
134
ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la
guerre
, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
135
« ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la
guerre
proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pour
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d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la
guerre
soit, comme l’écrit Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalis
137
on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la
guerre
. Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
138
s à dénoncer et à combattre les instruments de la
guerre
menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
139
agents les plus puissants qui travaillent pour la
guerre
. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
140
soutenir que le régime est organiquement lié à la
guerre
, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
141
gime est organiquement lié à la guerre, et que la
guerre
est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
142
le, tandis qu’il était, en régime capitaliste, la
guerre
du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
143
la fraternité. Capital, police, lutte de classes,
guerre
. Primauté du paraître sur l’être. La Personne : fondement de la C
144
s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de
guerres
, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui
145
es de solitude à Paris, puis en Suisse pendant la
guerre
. Elles préparent aussi le retour de Lénine en Russie, au début de 191
146
t, qui, cinquante ans avant Nietzsche, partait en
guerre
contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonçait en ell
147
lliser un désordre. C’est croire que l’absence de
guerre
suffit à établir une paix vivante. C’est l’éternelle erreur de l’État
148
aiser leur conflit. Si l’on rappelle en outre les
guerres
du Languedoc entre Rohan et Richelieu — dernières luttes du fédéralis
149
l’on n’arrêtera pas en augmentant les dépenses de
guerre
. Edschmid nous conte les aventures de cinq sous-officiers de la derni
150
s aventures de cinq sous-officiers de la dernière
guerre
que le chômage contraint à s’engager comme instructeurs de l’armée bo
151
e, le droit de parler haut. « Nous avons perdu la
guerre
, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous
152
chmid est plus fort. Attendrons-nous la prochaine
guerre
pour lire dans ce Destin allemand l’un des secrets de notre destin à
153
eur chrétien commandant aux chrétiens de faire la
guerre
, à Charlemagne baptisant les Saxons pour leur prouver la puissance de
154
e des formations de masses s’est avérée depuis la
guerre
, soit en Russie, où Lénine triompha par le moyen d’une minorité infim
155
éveloppe très rapidement dans le Japon d’avant la
guerre
, il comprend qu’il lui est impossible de se dire vraiment chrétien ta
156
ctature, un « état fort ». La dictature mène à la
guerre
entre autres. Faut-il préciser contre qui ? Leurs intérêts pratiques
157
issance contre les menaces réelles, — qui sont la
guerre
et l’étatisme totalitaire. C’est très simple. Trop simple, sans doute
158
che), ses brusques changements de décor suivis de
guerre
d’usure contre l’inertie fascinante, cette vie faite d’embêtements et
159
Le spectacle de la culture européenne, depuis la
guerre
, nous enseigne deux grandes vérités empiriques : d’une part, les cler
160
s dire, avec E. R. Curtius, d’une « propagande de
guerre
» qu’on aimait à croire périmée. M. Chuzeville a eu le tort de vouloi
161
les pacifistes pour oser réclamer ouvertement la
guerre
(contre les régimes fascistes). « Orgueil patriotique » — c’est de no
162
le nom de liberté, la dictature, l’étatisme et la
guerre
. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction
163
iberté, la dictature, l’étatisme et la guerre. La
guerre
et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction de l’armée
164
et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La
guerre
à Hitler et la destruction de l’armée française. Car, si nous compren
165
d’hommes qui savent ce qu’ils ne veulent pas : la
guerre
, l’anarchie capitaliste, la dictature, le Comité des forges, la diplo
166
urons, ces défilés farouches — tout cela signifie
guerre
en français. Il n’y a rien à faire contre ce jugement. Je vous le dis
167
possible : c’est que ces types se préparent à la
guerre
. Lui. — Je vous répète que ce n’est là, tout simplement, qu’un goût
168
goût que nous avons, cela n’a rien à voir avec la
guerre
, la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allema
169
us avons, cela n’a rien à voir avec la guerre, la
guerre
contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allemands ont aim
170
: « La lutte contre la faim et le froid est notre
guerre
. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les autres peuples en
171
par là : « Les autres peuples en sont encore à la
guerre
armée, nous, nous luttons pour édifier un monde sans misère : voilà n
172
s pour édifier un monde sans misère : voilà notre
guerre
! » En somme, si le mot n’était pas interdit, je dirais que c’est de
173
s pourquoi faut-il que votre paix soit encore une
guerre
? Ne pouvez-vous vraiment enthousiasmer vos concitoyens qu’en les app
174
ousiasmer vos concitoyens qu’en les appelant à la
guerre
, même si c’est pour la paix ? Voyez la différence : quand Briand voul
175
raît bien plus urgent que d’aller faire la petite
guerre
dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien
176
versaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la
guerre
. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dange
177
ilité34. À quoi cela vous mènera-t-il, sinon à la
guerre
? Lui. — Peut-être qu’il faut cela… Moi. — Vous ne le disiez pas to
178
e, c’est bien plutôt son idéalisme lamentable. La
guerre
actuelle n’est pas du tout un appel à la virilité. Nous ne sommes plu
179
s de Frédéric le Grand et du maréchal de Saxe. La
guerre
actuelle n’est pas une éducation de la violence physique, c’est une m
180
ts humains. Mais il y a d’autres solutions que la
guerre
. Faire valoir toutes les différences, tous les contrastes, à l’extrêm
181
umaine, l’exaltation des différences aboutit à la
guerre
, forcément. Moi. — Dans votre optique, oui ! Parce que vous placez t
182
bien que nous n’avons aucune raison de vouloir la
guerre
contre la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le demande ? M
183
gime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la
guerre
en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation
184
cures, brutales, de l’homme ? La préparation à la
guerre
. Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, ave
185
s la transposer sur un plan autre que celui de la
guerre
moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution, étant don
186
que celui de la guerre moderne. Nous nions que la
guerre
soit jamais une solution, étant donnés ses instruments actuels. Nous
187
donnés ses instruments actuels. Nous voulons une
guerre
créatrice, et non pas destructrice. Tout l’effort de la civilisation
188
e Luther ! De même l’article suivant : « Faire la
guerre
aux Turcs n’est pas contraire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la gr
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. Avec lui, 6 académiciens ont été élus avant la
guerre
(suivent les noms). Depuis 1930, l’Académie a élu 13 membres nouveaux
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la terre, les maladies, la famine, la révolte, la
guerre
et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse grand
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eunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la
guerre
une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fi
192
rce en face d’impérialismes conquérants mène à la
guerre
? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec puissance, si nous ref
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moins que ceux de Sorel. Jusqu’au lendemain de la
guerre
, il était difficile de mettre en doute la sincérité de son attachemen
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ées d’une révolution de masses, donc d’un état de
guerre
, l’étatisme a pu — et même dû — devenir du premier coup totalitaire.
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sées sont en effet les conditions qu’impose toute
guerre
moderne, civile ou étrangère. Ainsi les dictatures, décriées par les
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rales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la
guerre
: pour réussir à concentrer l’économie entre les mains de l’État, il
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ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de
guerre
: « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
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ue la condition indispensable d’une discipline de
guerre
. Il n’a pas vu que cette même structure était la cause de la stérilit
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aix européenne. Car il est clair que la menace de
guerre
se confond actuellement avec le fait totalitaire. C’est pourquoi, pré
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re. Tant qu’on n’a pas détruit cette racine de la
guerre
, on ne peut empêcher le pire, qui devient dès lors fatalité. Le jacob
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abstrait — en temps de paix — que pour devenir la
guerre
concrète. Tout cela ne se justifie que par la guerre. Hors de toute v
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rre concrète. Tout cela ne se justifie que par la
guerre
. Hors de toute volonté humaine, bonne ou mauvaise. Alors, qui osera d
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op tard ? Désespérer de la paix, c’est rendre une
guerre
fatale. Désespérer de la révolution française, c’est désespérer de la
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sément parce qu’il est trop tard pour empêcher la
guerre
par tout autre moyen, que nous devons faire cette révolution-là. 57
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ns ici même : l’État totalitaire, c’est l’état de
guerre
, nous pouvons affirmer qu’une idéologie née du seul combat (Mein Kamp
206
quand se pose soudain la question du uhlan de la
guerre
de Bohême : il s’arrête au milieu de la campagne et demande : « De qu
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de vieux combats qui traînent, mais déclarer une
guerre
nouvelle au nom d’une ambition plus vaste. C’est donner dès maintenan
208
x mesures de l’utilité générale. C’est dans cette
guerre
d’usure, millénaire, qu’elle s’est formée et clarifiée, qu’elle s’est
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e. On porte l’arche au-devant des armées, dans la
guerre
, comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
210
u peuple, mais son usage est interdit pendant les
guerres
civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
211
ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la
guerre
… On l’a dit : le royaume d’Israël fut davantage une ecclesia qu’une p
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ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de
guerre
: « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
213
t, de la situation intenable que révéla la Grande
Guerre
. Cela ne pouvait pas durer. Les masses ne pouvaient pas durer dans la
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rise. Certes la décadence du régime tsariste, la
guerre
perdue, la misère du peuple, l’absence de tout esprit civique dans le
215
ons, ville et campagne, Université et peuple : la
guerre
était partout et la mesure commune nulle part. Hitler parut et dit :
216
nte qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la
guerre
est déclarée, au nom de doctrines et de buts dont certains nous parai
217
ques des deux côtés. Le travail doit remplacer la
guerre
. (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
218
(« La lutte contre le froid et la faim est notre
guerre
! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver al
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eunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la
guerre
une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fi
220
voir un principe d’action créatrice, ou une bonne
guerre
d’agression qui lui permette de doubler le cap de la désespérance. Et
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e, en face d’impérialismes conquérants, mène à la
guerre
? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec puissance, si nous ref
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igner l’auteur mystérieux du mauvais temps, de la
guerre
ou des pestes. Cet amour, ce culte rendu à des déterminismes de plus
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quand se pose soudain la question du uhlan de la
guerre
de Bohême : il s’arrête au milieu de la campagne et demande : « De qu
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de vieux combats qui traînent, mais déclarer une
guerre
nouvelle au nom d’une ambition plus vaste. C’est donner dès maintenan
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x mesures de l’utilité générale. C’est dans cette
guerre
d’usure, millénaire, qu’elle s’est formée et clarifiée, qu’elle s’est
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e. On porte l’arche au-devant des armées, dans la
guerre
, comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
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u peuple, mais son usage est interdit pendant les
guerres
civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
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ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la
guerre
… On l’a dit : le royaume d’Israël fut davantage une ecclesia qu’une p
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ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de
guerre
: « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
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t, de la situation intenable que révéla la Grande
Guerre
. Cela ne pouvait pas durer. Les masses ne pouvaient pas durer dans la
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prise. Certes la décadence du régime tsariste, la
guerre
perdue, la misère du peuple, l’absence de tout esprit civique dans le
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ons, ville et campagne, Université et peuple : la
guerre
était partout et la mesure commune nulle part. Hitler parut et dit :
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nte qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la
guerre
est déclarée, au nom de doctrines et de buts dont certains nous parai
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ques des deux côtés. Le travail doit remplacer la
guerre
. (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
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(« La lutte contre le froid et la faim est notre
guerre
! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver al