1
sans rêves une langueur dont on ne voudrait plus
guérir
… Mais nous voyons la ville debout dans ses lumières. Architectures !
2
, le siècle ne sera plus malade, les temps seront
guéris
de leur crise, les valeurs auront retrouvé leur stabilité, et comme M
3
n’est pas en l’ignorant par attitude que vous la
guérirez
. Au contraire, il s’agit de l’envisager sans fièvre, pour en circonsc
4
mpte, il sera temps de songer sérieusement à m’en
guérir
. Vous me demanderez « alors » ce que j’attends de ma vie. Je serais t
5
forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal
guéris
. Certes Ramuz attend beaucoup du peuple russe, de « cette immense et
6
ats d’un fanatisme à vrai dire splendide. (Qui me
guérira
de la honte de n’être pas Rimbaud ?) Plus que jamais, il faudrait s’a
7
Je préférai soudain monter dans un express. Pour
guérir
de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage : l’on découvre bientôt
8
lle indique seulement un défaut qu’il convient de
guérir
par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
9
e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —
guérir
de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
10
x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à
guérir
pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
11
Je préférai soudain monter dans un express. Pour
guérir
de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage : l’on découvre bientôt
12
lle indique seulement un défaut qu’il convient de
guérir
par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
13
e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —
guérir
de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
14
x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à
guérir
pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
15
faire attention suffirait presque à prévenir et à
guérir
. Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite cont
16
compris la gravité du cas humain. Nous n’avons à
guérir
personne, mais à montrer que la maladie est sérieuse, si sérieuse qu’
17
est pur aux « petits purs ». Laissons cela, on se
guérit
toujours trop tôt de ses vingt ans. Il y a plus grave, et chez des ho
18
est devenue folle par sa faute, Dieu seul peut la
guérir
. » Les marxistes n’aiment pas ce radicalisme, qui n’est pas conforme
19
, où se trouve aussi le remède. Pour connaître et
guérir
une maladie, il ne suffit pas de voir l’homme seul ; il faut considér
20
s certains lui offrant une chance admirable de se
guérir
de son irréalisme. Une pratique assez longue, et d’ailleurs imposée,
21
un Ramuz qui détiennent les simples par quoi nous
guérirons
du platonisme et du cartésianisme. Les clercs s’écrient : Esprit ! Es
22
telle, dont la foi seule, non la vertu, peut nous
guérir
. Quant à ceux qui le qualifient de « métaphysicien du néant », ils ou
23
nce. Et maintenant je demande qu’elle s’abaisse !
Guérir
une décadence par un abaissement, voilà qui peut paraître une opérati
24
r vivre lui-même et dont il faut désespérer qu’il
guérisse
jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Peuple. Maladress
25
te la pensée moderne. L’Occident ne pourrait s’en
guérir
qu’en revenant à une éthique d’engagement personnel et réfléchi. (Au
26
l’idéal ! » N’allons pas croire qu’ils veuillent
guérir
, simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolution
27
à étouffer la santé nouvelle, bien davantage qu’à
guérir
des maux déjà anciens, et dont ces médecins-là s’accommodaient très b
28
nce. Et maintenant je demande qu’elle s’abaisse !
Guérir
une décadence par un abaissement, voilà qui peut paraître une opérati
29
r vivre lui-même et dont il faut désespérer qu’il
guérisse
jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Peuple. Maladress
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te la pensée moderne. L’Occident ne pourrait s’en
guérir
qu’en revenant à une éthique d’engagement personnel et réfléchi. (Au
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l’idéal ! » N’allons pas croire qu’ils veuillent
guérir
, simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolution
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à étouffer la santé nouvelle bien davantage qu’à
guérir
des maux déjà anciens, et dont ces médecins-là s’accommodaient très b
33
he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment
guérie
, 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
34
s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait
guérir
. Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
35
tre les autres. Et qui, ou quoi, pourrait nous en
guérir
? — Commençons par nous avouer, passons outre à nos vieilles pudeurs
36
de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se
guérir
, s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
37
de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se
guérir
, s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
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he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment
guérie
, 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
39
s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait
guérir
. Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
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ontre les autres. Et qui ou quoi pourrait nous en
guérir
? — Commençons par nous avouer. Passons outre à nos vieilles pudeurs
41
du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale
guérirait
tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
42
e le pansay. Dieu le guarit. » Nous ne saurions «
guérir
» personne. On ne nous demande qu’un diagnostic exact de l’humain, c’
43
divisée. Comment alors sortir du cercle, comment
guérir
? Comment récupérer la vie totale dans sa bienheureuse unité ? Ce n’e
44
dans leur au-delà une Présence qui pardonne, qui
guérisse
, et qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le
45
e ? À ceux qui veulent savoir, peut-être, ou même
guérir
? Je suis parti d’un type de la passion telle que la vivent les Occid
46
son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le
guérit
. C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
47
ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le
guérir
. Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
48
onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas
guérir
, ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
49
e Belenoi47. La « joie vilaine », c’est ce qui le
guérirait
de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
50
te ou aille par chemins Puisque celle qui me peut
guérir
ne me plaint. … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur
51
ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne
guérit
pas mon tourment avec un baiser (consolamentum) avant le Nouvel An, e
52
mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui
guérissent
et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
53
refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la
guérir
. Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
54
ine, quoi qu’il advienne, — et le frère se trouve
guéri
, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
55
it mourir ; Un moment de froideur, et je pourrais
guérir
; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
56
ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le
guérirait
de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
57
n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut
guérir
: car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J’
58
chez elle encor le moindre accès Mes desseins de
guérir
n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
59
érir n’auront point de succès. Ces « desseins de
guérir
» (entendons : de brûler, donc en fait : sa crainte de guérir !) sont
60
tendons : de brûler, donc en fait : sa crainte de
guérir
!) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
61
le plus efficace de la passion qu’elle prétendait
guérir
. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
62
st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se
guérir
du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
63
une dernière et impure langueur dans l’âme qui se
guérit
de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
64
ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous
guérira
de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
65
du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale
guérirait
tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
66
de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes,
guérit
et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout
67
son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le
guérit
. C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
68
ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le
guérir
. Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
69
onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas
guérir
, ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
70
de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le
guérirait
de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
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te ou aille par chemins Puisque celle qui peut me
guérir
ne me plaint … et ce désir Prévaut — bien que fait de délir
72
ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne
guérit
pas mon tourment avec un baiser avant le Nouvel An, elle me détruit e
73
mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui
guérissent
et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
74
refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la
guérir
. Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
75
aine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve
guéri
, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
76
it mourir : Un moment de froideur, et je pourrais
guérir
; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
77
ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le
guérirait
de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
78
n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut
guérir
: car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J’
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chez elle encor le moindre accès Mes desseins de
guérir
n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
80
érir n’auront point de succès. Ces « desseins de
guérir
» (entendons : de brûler donc en fait : sa crainte de guérir !) sont
81
ntendons : de brûler donc en fait : sa crainte de
guérir
!) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
82
le plus efficace de la passion qu’elle prétendait
guérir
. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
83
st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se
guérir
du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
84
une dernière et impure langueur dans l’âme qui se
guérit
de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
85
ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous
guérira
de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
86
du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale
guérirait
tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
87
mme on le fait d’une fièvre, serait bien moins la
guérir
que nous priver de nos chances d’en comprendre un jour le secret. Et
88
e ? À ceux qui veulent savoir, peut-être, ou même
guérir
? ⁂ Je suis parti d’un type de la passion telle que la vivent les Occ
89
son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le
guérit
. C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
90
ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le
guérir
. Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
91
onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas
guérir
, ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
92
de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le
guérirait
de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
93
te ou aille par chemins Puisque celle qui peut me
guérir
ne me plaint … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur to
94
ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne
guérit
pas mon tourment avec un baiser avant le Nouvel An, elle me détruit e
95
mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui
guérissent
et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
96
refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la
guérir
. Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
97
aine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve
guéri
, parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
98
it mourir ; Un moment de froideur, et je pourrais
guérir
; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
99
ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le
guérirait
de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
100
n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut
guérir
: car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J
101
chez elle encor le moindre accès Mes desseins de
guérir
n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
102
érir n’auront point de succès. Ces « desseins de
guérir
» (entendons : de brûler ; donc en fait : sa crainte de guérir !) son
103
endons : de brûler ; donc en fait : sa crainte de
guérir
!) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
104
le plus efficace de la passion qu’elle prétendait
guérir
. D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
105
st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se
guérir
du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
106
e dernière et brûlante langueur dans l’âme qui se
guérit
de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
107
ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous
guérira
de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
108
du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale
guérirait
tout). Van de Velde ou Hirschfeld, Kinsey ou Masters voient remède da
109
mme on le fait d’une fièvre, serait bien moins la
guérir
que nous priver de nos chances d’en comprendre un jour le secret. Et
110
de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes,
guérit
et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout
111
animés de cet esprit d’équipe qui seul peut nous
guérir
de l’individualisme, tout en prévenant la maladie collectiviste. C’es
112
tienne. Un régime sain prévient le mal. Mais pour
guérir
une maladie, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes son
113
animés de cet esprit d’équipe qui seul peut nous
guérir
de l’individualisme, tout en prévenant la maladie collectiviste. C’es
114
tienne. Un régime sain prévient le mal. Mais pour
guérir
une maladie, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes son
115
roduction Que la connaissance du vrai danger nous
guérit
des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
116
onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous
guérir
des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
117
e la « projection » d’un complexe de culpabilité.
Guérissez
ce complexe, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de diab
118
image de névrose, quelque chose qui se soigne, se
guérit
, et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
119
ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez
guéris
de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
120
roduction Que la connaissance du vrai danger nous
guérit
des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
121
onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous
guérir
des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
122
s par la suppression de ceux qui prétendaient les
guérir
par le feu. Au siècle des Lumières, l’Inquisition s’apaise et le puri
123
la « projection » d’un sentiment de culpabilité.
Guérissez
ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de
124
image de névrose, quelque chose qui se soigne, se
guérit
, et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
125
ur le dossier de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour
guérir
cette nausée, il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Com
126
ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez
guéris
de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
127
roduction Que la connaissance du vrai danger nous
guérit
des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
128
onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous
guérir
des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
129
s par la suppression de ceux qui prétendaient les
guérir
par le feu. Au siècle des Lumières, l’Inquisition s’apaise et le puri
130
la « projection » d’un sentiment de culpabilité.
Guérissez
ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de
131
image de névrose, quelque chose qui se soigne, se
guérit
, et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
132
ur le dossier de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour
guérir
cette nausée, il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Com
133
ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez
guéris
de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
134
ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez
guéris
de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
135
e. S’il comprend cela et s’il le croit, le malade
guérira
peut-être. Sinon, il faudra l’enfermer dans une camisole de force. Il
136
supprimer. Il s’agit de les utiliser, ou de s’en
guérir
; sinon soyons certains qu’ils vont revenir en force, sous un déguise
137
pour Weimar. Il a choisi. Il veut durer, il veut
guérir
. Et ce sont ces dix années de silence et de repli, si émouvantes, si
138
é — Goethe figure l’Allemand surmonté, l’Allemand
guéri
. Mais guéri par ses moyens propres, more germanico pourrait-on dire.
139
igure l’Allemand surmonté, l’Allemand guéri. Mais
guéri
par ses moyens propres, more germanico pourrait-on dire. Car le nom m
140
thée, de Wilhelm Meister, ou le Streben de Faust.
Guérir
de son germanisme irrationnel par l’application d’un remède germaniqu
141
ue la grave maladie dont il souffrit à 18 ans fut
guérie
par un médecin de Francfort qui se vantait de connaître les remèdes d
142
forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal
guéris
. Certes Ramuz a toujours beaucoup attendu du peuple russe, de « cette
143
divisée. Comment alors sortir du cercle, comment
guérir
? Comment récupérer la vie totale dans sa bienheureuse unité ? Ce n’e
144
dans leur au-delà, une présence qui pardonne, qui
guérisse
, et qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le
145
urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se
guérit
pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
146
e ses chefs, se préoccupent, aujourd’hui, de le «
guérir
» plutôt que de l’enfermer dans sa misère. Ces deux dernières prises
147
e me paraît propre à maintenir le mal. Comment le
guérir
là-bas, et le prévenir ici ? Faut-il « les » aider ? La Suisse
148
en mesure de reconnaître sa culpabilité, et de se
guérir
de sa névrose. Cette conception me paraît réaliste, et prudente autan
149
urieux, et une politique de cure sévère, propre à
guérir
un peuple intoxiqué ? Je pressens que l’exercice de la seconde méthod
150
iquer le rhume de cerveau, et bien entendu, de le
guérir
. L’argument ne vaut rien, mais il était minuit, et les rieurs sont al
151
urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se
guérit
pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
152
raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle
guérit
! Elle invente des machines qui font déjà 1000 kilomètres à l’heure !
153
iquer le rhume de cerveau, et bien entendu, de le
guérir
. L’argument ne vaut rien, mais il était minuit, et les rieurs sont al
154
urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se
guérit
pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
155
raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle
guérit
! Elle invente des machines qui font déjà mille kilomètres à l’heure
156
lle indique seulement un défaut qu’il convient de
guérir
par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
157
e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —
guérir
de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
158
x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à
guérir
pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
159
t c’est écœurant. Et ça recommence chaque matin. (
Guérir
aussi vite que possible.) Normalement, je suis à sept heures dans le
160
de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se
guérir
, s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
161
he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment
guérie
, 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
162
s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait
guérir
. Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
163
ontre les autres. Et qui ou quoi pourrait nous en
guérir
? — Commençons par nous avouer. Passons outre à nos vieilles pudeurs
164
t de fièvre. Quelques jours plus tard, à peu près
guéri
d’une angine prise en plein été très chaud, je vais voir Jean Paulhan
165
t qu’elle trouvera sa seule garantie. Nous serons
guéris
de notre mauvaise conscience quand nous aurons admis que la tâche con
166
ouple et plus humain que la dictature russe, mais
guéri
de l’obsession de l’argent qui dénature les libertés américaines. Un
167
ouple et plus humain que la dictature russe, mais
guéri
de l’obsession de l’argent qui dénature les libertés américaines ; un
168
raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle
guérit
! Elle invente des machines qui font déjà mille kilomètres à l’heure
169
faire attention suffirait presque à prévenir et à
guérir
. Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite cont
170
tition nouvelle pour les masses, la science « qui
guérit
et qui tue » joue-t-elle dans le monde présent en faveur de la libert
171
ne indéniable consistance psychologique. Ça ne se
guérit
pas en un jour. Tous leurs mots, groupes de mots, et tabous : révolut
172
it « infecté » le monde entier : le monde ne s’en
guérira
plus. À supposer qu’il la refoule un jour, elle renaîtrait irrésistib
173
i en découlent logiquement sont seuls capables de
guérir
des maux permis ou tolérés par votre spiritualité, qui n’était en som
174
, voyager dans la lune, lire les pensées, tuer ou
guérir
sans contact… — tout est là, ou peut l’être bientôt. Déjà nous volons
175
: les miracles d’abord (changer l’eau en vin, ou
guérir
un paralytique) puis les expériences concluantes (l’avion vole, la bo
176
déprime et combat sournoisement notre volonté de
guérir
, dans le temps même qu’il excite contre nous les peuples qui l’ont «
177
à s’accepter, à saisir ses chances de grandeur, à
guérir
de son pessimisme et de ses crampes nationalistes… Puisse cet ouvrage
178
d’un Conseil européen de la recherche Comment
guérir
cette « maladie infantile de l’européisme » dont je viens d’esquisser
179
t de combattre le mal qu’ils ont causé et de nous
guérir
de nos réflexes nationalistes, en réveillant dans chacun de nos peupl
180
prométhéenne du Faust européen, qui lentement se
guérit
de sa cécité — c’est-à-dire de sa superbe ignorance du monde animé pa