1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 sans rêves une langueur dont on ne voudrait plus guérir … Mais nous voyons la ville debout dans ses lumières. Architectures !
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
2 , le siècle ne sera plus malade, les temps seront guéris de leur crise, les valeurs auront retrouvé leur stabilité, et comme M
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 n’est pas en l’ignorant par attitude que vous la guérirez . Au contraire, il s’agit de l’envisager sans fièvre, pour en circonsc
4 mpte, il sera temps de songer sérieusement à m’en guérir . Vous me demanderez « alors » ce que j’attends de ma vie. Je serais t
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
5 forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal guéris . Certes Ramuz attend beaucoup du peuple russe, de « cette immense et
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
6 ats d’un fanatisme à vrai dire splendide. (Qui me guérira de la honte de n’être pas Rimbaud ?) Plus que jamais, il faudrait s’a
6 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
7 Je préférai soudain monter dans un express. Pour guérir de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage : l’on découvre bientôt
8 lle indique seulement un défaut qu’il convient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
9 e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —  guérir de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
11 Je préférai soudain monter dans un express. Pour guérir de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage : l’on découvre bientôt
12 lle indique seulement un défaut qu’il convient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
13 e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —  guérir de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
15 faire attention suffirait presque à prévenir et à guérir . Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite cont
13 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
16 compris la gravité du cas humain. Nous n’avons à guérir personne, mais à montrer que la maladie est sérieuse, si sérieuse qu’
14 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
17 est pur aux « petits purs ». Laissons cela, on se guérit toujours trop tôt de ses vingt ans. Il y a plus grave, et chez des ho
15 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
18 est devenue folle par sa faute, Dieu seul peut la guérir . » Les marxistes n’aiment pas ce radicalisme, qui n’est pas conforme
16 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
19 , où se trouve aussi le remède. Pour connaître et guérir une maladie, il ne suffit pas de voir l’homme seul ; il faut considér
17 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
20 s certains lui offrant une chance admirable de se guérir de son irréalisme. Une pratique assez longue, et d’ailleurs imposée,
18 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
21 un Ramuz qui détiennent les simples par quoi nous guérirons du platonisme et du cartésianisme. Les clercs s’écrient : Esprit ! Es
19 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
22 telle, dont la foi seule, non la vertu, peut nous guérir . Quant à ceux qui le qualifient de « métaphysicien du néant », ils ou
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
23 nce. Et maintenant je demande qu’elle s’abaisse ! Guérir une décadence par un abaissement, voilà qui peut paraître une opérati
21 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
24 r vivre lui-même et dont il faut désespérer qu’il guérisse jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Peuple. Maladress
22 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
25 te la pensée moderne. L’Occident ne pourrait s’en guérir qu’en revenant à une éthique d’engagement personnel et réfléchi. (Au
26 l’idéal ! » N’allons pas croire qu’ils veuillent guérir , simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolution
27 à étouffer la santé nouvelle, bien davantage qu’à guérir des maux déjà anciens, et dont ces médecins-là s’accommodaient très b
23 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
28 nce. Et maintenant je demande qu’elle s’abaisse ! Guérir une décadence par un abaissement, voilà qui peut paraître une opérati
24 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
29 r vivre lui-même et dont il faut désespérer qu’il guérisse jamais, maintenant qu’il les voit confirmées par le Peuple. Maladress
25 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
30 te la pensée moderne. L’Occident ne pourrait s’en guérir qu’en revenant à une éthique d’engagement personnel et réfléchi. (Au
31 l’idéal ! » N’allons pas croire qu’ils veuillent guérir , simplement ils ont peur du remède radical. Sans la menace révolution
32 à étouffer la santé nouvelle bien davantage qu’à guérir des maux déjà anciens, et dont ces médecins-là s’accommodaient très b
26 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
33 he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment guérie , 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
34 s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait guérir . Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
35 tre les autres. Et qui, ou quoi, pourrait nous en guérir  ? — Commençons par nous avouer, passons outre à nos vieilles pudeurs 
27 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
36 de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir , s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
37 de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir , s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
38 he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment guérie , 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
39 s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait guérir . Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
40 ontre les autres. Et qui ou quoi pourrait nous en guérir  ? — Commençons par nous avouer. Passons outre à nos vieilles pudeurs 
30 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
41 du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale guérirait tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
31 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
42 e le pansay. Dieu le guarit. » Nous ne saurions «  guérir  » personne. On ne nous demande qu’un diagnostic exact de l’humain, c’
32 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
43 divisée. Comment alors sortir du cercle, comment guérir  ? Comment récupérer la vie totale dans sa bienheureuse unité ? Ce n’e
44 dans leur au-delà une Présence qui pardonne, qui guérisse , et qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le
33 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
45 e ? À ceux qui veulent savoir, peut-être, ou même guérir  ? Je suis parti d’un type de la passion telle que la vivent les Occid
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
46 son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit . C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
47 ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le guérir . Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
48 onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas guérir , ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
35 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
49 e Belenoi47. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
50 te ou aille par chemins Puisque celle qui me peut guérir ne me plaint. … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur
51 ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne guérit pas mon tourment avec un baiser (consolamentum) avant le Nouvel An, e
52 mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui guérissent et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
36 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
53 refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la guérir . Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
54 ine, quoi qu’il advienne, — et le frère se trouve guéri , parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
55 it mourir ; Un moment de froideur, et je pourrais guérir  ; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
56 ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
57 n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut guérir  : car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J’
58 chez elle encor le moindre accès Mes desseins de guérir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
59 érir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir  » (entendons : de brûler, donc en fait : sa crainte de guérir !) sont
60 tendons : de brûler, donc en fait : sa crainte de guérir  !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
61 le plus efficace de la passion qu’elle prétendait guérir . D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
62 st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se guérir du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
63 une dernière et impure langueur dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
64 ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous guérira de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
38 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
65 du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale guérirait tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
39 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
66 de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
67 son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit . C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
68 ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le guérir . Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
69 onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas guérir , ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
70 de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
71 te ou aille par chemins Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint         … et ce désir Prévaut — bien que fait de délir
72 ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne guérit pas mon tourment avec un baiser avant le Nouvel An, elle me détruit e
73 mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui guérissent et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
74 refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la guérir . Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
75 aine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri , parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
76 it mourir : Un moment de froideur, et je pourrais guérir  ; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
77 ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
78 n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut guérir  : car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J’
79 chez elle encor le moindre accès Mes desseins de guérir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
80 érir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir  » (entendons : de brûler donc en fait : sa crainte de guérir !) sont
81 ntendons : de brûler donc en fait : sa crainte de guérir  !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
82 le plus efficace de la passion qu’elle prétendait guérir . D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
83 st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se guérir du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
84 une dernière et impure langueur dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
85 ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous guérira de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
86 du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale guérirait tout). Van de Velde ou Hirschfeld voient le remède dans une connaissa
87 mme on le fait d’une fièvre, serait bien moins la guérir que nous priver de nos chances d’en comprendre un jour le secret. Et
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
88 e ? À ceux qui veulent savoir, peut-être, ou même guérir  ? ⁂ Je suis parti d’un type de la passion telle que la vivent les Occ
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
89 son mal. Iseut, princesse royale, le soigne et le guérit . C’est le Prologue. Quelques années plus tard, le roi Marc décide d’é
90 ne de Cornouailles, la seule qui puisse encore le guérir . Elle vient, et son vaisseau arbore une voile blanche, signe d’espoir
91 onsables ; ils se confessent, mais ne veulent pas guérir , ni même implorer leur pardon… En vérité, comme tous les grands amant
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
92 de Belenoi. La « joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de son désir, si justement l’amour sans fin n’était le mal qu’il aime
93 te ou aille par chemins Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint … et ce désir Prévaut — bien que fait de délire — Sur to
94 ui mon cœur s’embrase et se fend. Mais si elle ne guérit pas mon tourment avec un baiser avant le Nouvel An, elle me détruit e
95 mme l’Idée voilée. Elle « connaît les secrets qui guérissent et c’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
96 refuser tout ce qui pourrait la satisfaire et la guérir . Nous ne sommes donc pas en présence d’une faim, mais bien d’une into
97 aine, quoi qu’il advienne — et le frère se trouve guéri , parce qu’il cesse de craindre à l’excès. S’il faut parler encore de
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
98 it mourir ; Un moment de froideur, et je pourrais guérir  ; Une mauvaise œillade, un peu de jalousie, Et j’en aurais soudain pa
99 ant ? Et le malheur d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor serait un curieux monstre ! Disons plutôt q
100 n affirmant le contraire, en affirmant qu’il veut guérir  : car on avoue difficilement le goût du malheur, à cette époque. « J
101 chez elle encor le moindre accès Mes desseins de guérir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir » (entendons : de
102 érir n’auront point de succès. Ces « desseins de guérir  » (entendons : de brûler ; donc en fait : sa crainte de guérir !) son
103 endons : de brûler ; donc en fait : sa crainte de guérir  !) sont en effet couronnés de succès au cinquième acte. Corneille l’a
104 le plus efficace de la passion qu’elle prétendait guérir . D’où la tension inégalée de ce « théâtre du devoir » — comme le réci
105 st pas celui de la santé sensuelle, s’il a cru se guérir du mythe. « Les femmes de ce temps n’aiment pas avec le cœur, elles a
106 e dernière et brûlante langueur dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du troisième acte — l’obsessio
107 ur l’esprit. Et la grande innocence bestiale nous guérira de votre goût du péché, cette maladie de l’instinct génésique. Ce que
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
108 du mal (d’où l’on déduit que la médecine mentale guérirait tout). Van de Velde ou Hirschfeld, Kinsey ou Masters voient remède da
109 mme on le fait d’une fièvre, serait bien moins la guérir que nous priver de nos chances d’en comprendre un jour le secret. Et
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
110 de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes, guérit et ressuscite, c’est-à-dire élève l’initié à la vie de l’esprit. Tout
52 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
111 animés de cet esprit d’équipe qui seul peut nous guérir de l’individualisme, tout en prévenant la maladie collectiviste. C’es
53 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
112 tienne. Un régime sain prévient le mal. Mais pour guérir une maladie, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes son
54 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
113 animés de cet esprit d’équipe qui seul peut nous guérir de l’individualisme, tout en prévenant la maladie collectiviste. C’es
55 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
114 tienne. Un régime sain prévient le mal. Mais pour guérir une maladie, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes son
56 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
115 roduction Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
116 onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous guérir des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
57 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
117 e la « projection » d’un complexe de culpabilité. Guérissez ce complexe, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de diab
118 image de névrose, quelque chose qui se soigne, se guérit , et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
58 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
119 ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez guéris de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
59 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
120 roduction Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
121 onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous guérir des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
60 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
122 s par la suppression de ceux qui prétendaient les guérir par le feu. Au siècle des Lumières, l’Inquisition s’apaise et le puri
123 la « projection » d’un sentiment de culpabilité. Guérissez ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de
124 image de névrose, quelque chose qui se soigne, se guérit , et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
61 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
125 ur le dossier de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour guérir cette nausée, il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Com
62 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
126 ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez guéris de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
63 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
127 roduction Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs Au dessert nous étions d’accord : ce qui manque
128 onne manière. Et c’est peut-être le moyen de nous guérir des fausses angoisses qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
64 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
129 s par la suppression de ceux qui prétendaient les guérir par le feu. Au siècle des Lumières, l’Inquisition s’apaise et le puri
130 la « projection » d’un sentiment de culpabilité. Guérissez ce sentiment-là, vous n’aurez plus de croyance au diable, ni donc de
131 image de névrose, quelque chose qui se soigne, se guérit , et s’évanouit au terme du traitement. On ne demanderait pas mieux qu
65 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
132 ur le dossier de ma chaise. Tout me dégoûte. Pour guérir cette nausée, il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Com
66 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
133 ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez guéris de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
67 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
134 ttre avec succès. Car alors seulement, vous serez guéris de votre naïveté invraisemblable devant le danger totalitaire. Vous p
68 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
135 e. S’il comprend cela et s’il le croit, le malade guérira peut-être. Sinon, il faudra l’enfermer dans une camisole de force. Il
136 supprimer. Il s’agit de les utiliser, ou de s’en guérir  ; sinon soyons certains qu’ils vont revenir en force, sous un déguise
69 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
137 pour Weimar. Il a choisi. Il veut durer, il veut guérir . Et ce sont ces dix années de silence et de repli, si émouvantes, si
138 é — Goethe figure l’Allemand surmonté, l’Allemand guéri . Mais guéri par ses moyens propres, more germanico pourrait-on dire.
139 igure l’Allemand surmonté, l’Allemand guéri. Mais guéri par ses moyens propres, more germanico pourrait-on dire. Car le nom m
140 thée, de Wilhelm Meister, ou le Streben de Faust. Guérir de son germanisme irrationnel par l’application d’un remède germaniqu
141 ue la grave maladie dont il souffrit à 18 ans fut guérie par un médecin de Francfort qui se vantait de connaître les remèdes d
70 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
142 forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal guéris . Certes Ramuz a toujours beaucoup attendu du peuple russe, de « cette
71 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
143 divisée. Comment alors sortir du cercle, comment guérir  ? Comment récupérer la vie totale dans sa bienheureuse unité ? Ce n’e
144 dans leur au-delà, une présence qui pardonne, qui guérisse , et qui leur rende alors la force d’accepter leur moi coupable et le
72 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
145 urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se guérit pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
73 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
146 e ses chefs, se préoccupent, aujourd’hui, de le «  guérir  » plutôt que de l’enfermer dans sa misère. Ces deux dernières prises
147 e me paraît propre à maintenir le mal. Comment le guérir là-bas, et le prévenir ici ? Faut-il « les » aider ? La Suisse
148 en mesure de reconnaître sa culpabilité, et de se guérir de sa névrose. Cette conception me paraît réaliste, et prudente autan
149 urieux, et une politique de cure sévère, propre à guérir un peuple intoxiqué ? Je pressens que l’exercice de la seconde méthod
74 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
150 iquer le rhume de cerveau, et bien entendu, de le guérir . L’argument ne vaut rien, mais il était minuit, et les rieurs sont al
75 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
151 urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se guérit pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
152 raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit  ! Elle invente des machines qui font déjà 1000 kilomètres à l’heure !
77 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
153 iquer le rhume de cerveau, et bien entendu, de le guérir . L’argument ne vaut rien, mais il était minuit, et les rieurs sont al
78 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
154 urope sera plus touchée que l’Amérique.) On ne se guérit pas facilement de l’ablation à chaud d’une coutume ancestrale, du goû
79 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
155 raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit  ! Elle invente des machines qui font déjà mille kilomètres à l’heure 
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
156 lle indique seulement un défaut qu’il convient de guérir par des moyens appropriés, par une politique ou par une morale. D’une
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
157 e et la fatigue qui le fléchit un peu. Toucher, —  guérir de l’écœurement de revivre — toucher un corps livré à la violence imm
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
158 x dans ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépu
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
159 t c’est écœurant. Et ça recommence chaque matin. ( Guérir aussi vite que possible.) Normalement, je suis à sept heures dans le
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
160 de tout l’idéalisme dont les modernes doivent se guérir , s’ils veulent enfin devenir « actuels » ? Est-ce que ce n’est pas au
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
161 he » pour cette jambe cassée et d’ailleurs dûment guérie , 20 sous par jour. Au dernier examen médical, ces cochons-là ont décl
162 s de l’école primaire — est un mal qu’il faudrait guérir . Mais je ne puis m’empêcher de penser que ces « illettrés » sont peut
163 ontre les autres. Et qui ou quoi pourrait nous en guérir  ? — Commençons par nous avouer. Passons outre à nos vieilles pudeurs 
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
164 t de fièvre. Quelques jours plus tard, à peu près guéri d’une angine prise en plein été très chaud, je vais voir Jean Paulhan
87 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
165 t qu’elle trouvera sa seule garantie. Nous serons guéris de notre mauvaise conscience quand nous aurons admis que la tâche con
88 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
166 ouple et plus humain que la dictature russe, mais guéri de l’obsession de l’argent qui dénature les libertés américaines. Un
89 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
167 ouple et plus humain que la dictature russe, mais guéri de l’obsession de l’argent qui dénature les libertés américaines ; un
90 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
168 raient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit  ! Elle invente des machines qui font déjà mille kilomètres à l’heure 
91 1948, Suite neuchâteloise. VIII
169 faire attention suffirait presque à prévenir et à guérir . Il convenait qu’au terme de ces pages j’apporte aussi ma petite cont
92 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
170 tition nouvelle pour les masses, la science « qui guérit et qui tue » joue-t-elle dans le monde présent en faveur de la libert
93 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
171 ne indéniable consistance psychologique. Ça ne se guérit pas en un jour. Tous leurs mots, groupes de mots, et tabous : révolut
94 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
172 it « infecté » le monde entier : le monde ne s’en guérira plus. À supposer qu’il la refoule un jour, elle renaîtrait irrésistib
95 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
173 i en découlent logiquement sont seuls capables de guérir des maux permis ou tolérés par votre spiritualité, qui n’était en som
174 , voyager dans la lune, lire les pensées, tuer ou guérir sans contact… — tout est là, ou peut l’être bientôt. Déjà nous volons
175  : les miracles d’abord (changer l’eau en vin, ou guérir un paralytique) puis les expériences concluantes (l’avion vole, la bo
96 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
176 déprime et combat sournoisement notre volonté de guérir , dans le temps même qu’il excite contre nous les peuples qui l’ont « 
97 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
177 à s’accepter, à saisir ses chances de grandeur, à guérir de son pessimisme et de ses crampes nationalistes… Puisse cet ouvrage
98 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
178 d’un Conseil européen de la recherche Comment guérir cette « maladie infantile de l’européisme » dont je viens d’esquisser
99 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Editeuropa (septembre 1959)
179 t de combattre le mal qu’ils ont causé et de nous guérir de nos réflexes nationalistes, en réveillant dans chacun de nos peupl
100 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
180 prométhéenne du Faust européen, qui lentement se guérit de sa cécité — c’est-à-dire de sa superbe ignorance du monde animé pa