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roman allégorique du xviie siècle qui inventa le
happy
ending. Le vrai roman courtois débouchait dans la mort, s’évanouissai
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roman allégorique du xviie siècle qui inventa le
happy
ending. Le vrai roman courtois débouchait dans la mort, s’évanouissai
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à l’Ordre et à sa justice. Elles ne vont pas à un
happy
ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : je
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à l’Ordre et à sa justice. Elles ne vont pas à un
happy
ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : je
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à l’Ordre et à sa justice. Elles ne vont pas à un
happy
ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : Je
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expédie en vingt-quatre heures ». (Il y ajoute un
happy
ending, à la manière de Hollywood, déjà.) Au début du dix-neuvième si
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ieu de culminer dans une tragédie se perd dans un
happy
ending. Comme la passion, la romance est une manière de sentir l’amou
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éaliste, remplace déjà dans bien des scénarios le
happy
ending obligé de naguère. Il se peut que cette réaction se prononce a